Grotesques

: Cette caractéristique souligne avec précision le caractère élevé de la réflexion rabelaisienne. La conclusion finale :-Réponse à la problématique Ce passage, par le biais d’une anecdote grotesque, nous propose un questionnement de grande valeur. -Bilan de l’analyseTout débute par une expérimentation grotesque qui vise à trouver le meilleur torche-cul. Or tout ce passage doit être lu en tenant compte des symboles proposés. Le questionnement de Gargantua renvoie tout d’abord à un raisonnement scientifique

la peau de tout le monde « Le fou et la Vénus » (7) : indifférence de la déesse devant un bouffon ridicule (sublime et grotesque) « Déjà ! » (34) : mépris pour les voyageurs qui veulent quitter la mer « La femme sauvage et la petite-maîtresse » (11) : délicatesse blasée de la maîtresse et nature « sauvage » d’une femme mariée qui passe Le laid et le beau/Le sublime et le grotesque/ Le contraste (2) « Le thyrse » (32) : contraste entre la ligne droite et le sinueux Les êtres solitaires/La solitude

le mélange des genres et des tons est développé à travers l’antagonisme au sein d’un même personnage. Cette caractéristique du drame romantique consiste à exposer à la fois le sublime, qui est relié au spirituel, au bien et aux vertus, et le grotesque, qui correspond au mal, au matériel et aux vices. Les auteurs du drame romantique ont décidé de faire ainsi afin de produire des œuvres qui s’apparentent davantage à la réalité, composée à la fois de tragique et de comique. Dans la pièce de Victor

Paris et que ça se passera dans 3 jours. Shakespeare est un auteur du 16eme siècle qui s'inscrit dans le théâtre Elisabethain lequel anticipe avec trois siècle d'avance le drame romantique. Dans les deux cas le sublime cohabite avec le grotesque. Roméo et Juliette est joué en 1592 au théâtre du globe devant un public extrêmement varié, ce qui est une clé de compréhension pour l'oeuvre. Dans notre extrait, Juliette désespérée par l'annonce de son mariage très proche avec Paris, alors qu'elle

prologue devient pédagogique et tout comique a disparu du début de la phrase. Dans la fin de la phrase Rabelais décrit l’extérieur des boites par une longue énumération  ; les illustrations qui les ornent sont grotesques « des harpies…des cerfs attelés » et représentent des hybrides. L’auteur réutilise le comique, on le voit avec l’expression « figures comiques et frivoles ». Il utilise cette description pour plaire au lecteur, aiguiser son imagination, piquer sa

farouche mais par sa longueur tend à accentuer le caractère grotesque du personnage, tandis que Wilson montre un visage souriant. Wilson s’est servi de la gravure de 1882. Il garde la fraise, le justaucorps moulant, les bas et les souliers à boucles, le chapeau avec de petites plumes. Mais il a renoncé aux couleurs clownesques et a préféré un costume noir sobre dans lequel il est très serré, presque saucissonné, ce qui rend sa silhouette grotesque. Il a ajouté de la dentelle et des grelots pour donner

la peur qu'éprouve la servante. Cela montre bien la volonté de l'auteur de montrer la réalité comme elle l'est. L'acte de Félicité pourrait passer pour un acte de bravoure si la mise en scène faite par Flaubert ne le rendait pas quelque peu grotesque, voire risible. La servante commence par ordonner à sa maîtresse : «Non ! non ! moins vite !», puis finit par crier : «Dépêchez-vous ! Dépêchez-vous !». Cette impression de girouette que nous donne Félicité est un peu pitoyable. Par la suite on lit

Son mariage semble apparemment heureux. 3. Le couple Roland M. Roland est toujours aveugle et ridicule. Leur conversation occupe la deuxième partie de l’extrait et les paroles de Roland donnent au texte une tonalité humoristique car il apparaît grotesque et toujours en contraste avec sa femme qui pleure. Mme Roland est toujours sensible. II LA FOCALISATION SUR MME ROLAND 1. Importance du regard et de la subjectivité Louise a la volonté de suivre jusqu’au bout la disparition de son fils

c’est la couleur des anges et des saints. Le noir, lui, symbolise, la tristesse, le deuil, le mal et les péchés... Quant au rouge, il symbolise la passion, l’amour, le démon et la sexualité. Les deux personnages masculin noir étant caricaturés et grotesque font références au stéréotype des noirs comme étant des sauvages sans âmes avec des comportements bestiaux. Ces caractères sont décrits par l’utilisation du rouge et du noir. Le blanc et donc utilisé pour apaiser leurs image et pour en prouver le

rapport à l’espace est plus proche de la peinture que de la littérature. -L’homme est un clown comme le montre la position du clown et du « je ». l.21= JE n’étais… importance. » -Question de comique, de grotesque pour mieux souligner le tragique de la condition humaine. -Gradation= grotesque… esclaffement=l’éclat du rire révélateur. -Le poème se clos sur une figure risible. -En acceptant de devenir clown, l’homme se débarrasse de sa prétention, il se libère, les moyens pour arriver a ce résultat