Guelfes et gibelins

Charlemagne qui devrait être appliqué. Lorsque cette théorie devient importante, on l’appelle le gibelinisme, et ceci est lié qu’au treizième siècle il y a des défenseurs des papes qui se réunissaient autour des Guelfes= défenseurs de l’Eglise. De l’autre côté, un Prince était poursuivi par les gibelins. Leur théorie selon laquelle le pouvoir de Dieu doit avoir un représentant depuis la mort du Christ, et qu’il n’y a pas plus de raison que ce soit l’Eglise que le Prince. Il y a une théorie : pour

Empire romain germanique. Pendant le 11ème au 13ème, l’Eglise avec le Pape d’une part et l’empire avec l’empereur d’autre part, se livrent à une compétition acharnée pour obtenir le continent. L’Italie sera partagée entre les guelfes (partisan du pape) et les gibelins (Partisans empereur). Seule l’Eglise est en mesure de contrer les ambitions territoriales des empereurs germaniques. C’est dans ce but que l’Eglise va donner naissance à des royaumes destinés à interdire toute expansion territoriale

I) Le mot parti C'est un mot qui vient du Moyen Age, ca signifiait un détachement de soldat. Le sens evolue a la renaissance, on évolue vers : raiseau d'allégence. Ce n'est pas quelque chose de bien organisé. A Florence : le parti des Guelfes et les Gibelins. Le premier soutient le pape, le deuxième soutient l'empereur du saint empire germanique. On les retrouve a l'oeuvre dans toute l'italie (et même dans Roméo et Juliette). La conception du parti va évoluer au 18ème 19ème, en Angleterre dans

contre-coup, l'existence d'un corps électoral passif constituent des conditions indispensables à la vit de tout parti politique. Mais la structure même des partis politiques peut varier. Les a partis » des villes médiévales, par exemple ceux des Guelfes et des Gibelins, ne se composaient que de clients. Si l'on considère le Statuto della par-te Guelfa, si l'on se souvient de certaines dispositions comme la confiscation des biens des Nobili - toutes les familles qui vivaient à la manière des chevaliers et

citoyen de Florence , c’est un grand poète « la Divine Comédie) mais aussi un politicien , il prend partie pour l’Empire contre la Papauté. Pourquoi ? Il est intéressé au destin de l’Italie. L’Italie était alors divisée entre les Guelfes ( favorables au pape) et les Gibelins ( favorables à l’empereur). Dante va s’engager politiquement, sa pensée est a mi-chemin entre l’idéal universaliste de l’Empire et une sorte de pré-patriotisme italien , il est favorable à un empire universel qui selon lui est

(subdivision d'une troupe armée). Le sens est plutôt péjoratif → C'est devenu avec le temps, un embryon de parti politique. Ce dernier va permettre de désigner dans un premier temps, dans l'Italie médiéval, à la renaissance : les partis « Guelfes » et les « Gibelins » → En Angleterre, lors de la guerre des deux roses, au 15ème siècle on entend parler de « partis » avec les « Lancastre » et les « York » → Pendant la révolution française on retrouve le mot « parti » avec les « Jacobins » (centralisateurs

pays divisés sont infailliblement et bientôt perdus ; car le parti faible se joindra aux forces extérieures, et l'autre ne pourra plus résister. Les Vénitiens, qui, je crois, pensaient à cet égard comme nos ancêtres, entretenaient les partis guelfe et gibelin dans les villes soumises à leur domination. A la vérité, ils ne laissaient pas aller les choses jusqu'à l'effusion du sang, mais ils fomentaient assez la division et les querelles pour que les habitants en fussent tellement occupés qu'ils ne

pays divisés sont infailliblement et bientôt perdus ; car le parti faible se joindra aux forces extérieures, et l'autre ne pourra plus résister. Les Vénitiens, qui, je crois, pensaient à cet égard comme nos ancêtres, entretenaient les partis guelfe et gibelin dans les villes soumises à leur domination. A la vérité, ils ne laissaient pas aller les choses jusqu'à l'effusion du sang, mais ils fomentaient assez la division et les querelles pour que les habitants en fussent tellement occupés qu'ils

pays divisés sont infailliblement et bientôt perdus ; car le parti faible se joindra aux forces extérieures, et l’autre ne pourra plus résister. Les Vénitiens, qui, je crois, pensaient à cet égard comme nos ancêtres, entretenaient les partis guelfe et gibelin dans les villes soumises à leur domination. À la vérité, ils ne laissaient pas aller les choses jusqu’à l’effusion du sang, mais ils fomentaient assez la division et les querelles pour que les habitants en fussent tellement occupés qu’ils ne

pays divisés sont infailliblement et bientôt perdus ; car le parti faible se joindra aux forces extérieures, et l'autre ne pourra plus résister. Les Vénitiens, qui, je crois, pensaient à cet égard comme nos ancêtres, entretenaient les partis guelfe et gibelin dans les villes soumises à leur domination. À la vérité, ils ne laissaient pas aller les choses jusqu'à – 93 – l'effusion du sang, mais ils fomentaient assez la division et les querelles pour que les habitants en fussent tellement occupés