Guelfes et gibelins

interdire les tanneurs dans la ville, donc les activités sont extrêmement polluantes ou malodorantes. Des émeutes éclatent aussi entre magnats dans les cités qui se déchirent lors d’émeutes pour faciliter l’accès au pouvoir de son camp (guelfes et gibelins à Rome par exemple). Certains métiers se rebellent contre les familles qui détiennent le pouvoir, comme les drapiers de Flandres au XIIIè siècle, ou les marchands florentins en 1293 qui mènent une révolution et privent du pouvoir les

amende honorable, mais Philippe IV le Bel fait proprement enlever le pape à Anagni. De cette conception politique, une lutte ouverte entre partisans et adversaires du pouvoir pontifical apparaît et déchire l’Italie jusqu’au xvie siècle (voir Guelfes et gibelins). Au-dessous des prestigieux suzerains, souverains sacrés, se trouvent les grands vassaux, dont souvent la souveraineté n’a rien à envier à celle de leur suzerain : simplement, ils doivent, par le rituel régulièrement répété de l’hommage

siècle en Italie.1) Les Etats Italiens au XIVè-XVè siècle L'Etat est purement temporel (Machiavel)- Venise : de constitution aristocratique - Florence : de conception démocratique + soumission de Pise à Florence en 1409 (victoire des guelfes [pape] sur les gibelins [Empereur]) - Milan : sous Henri II, dans les mains des Visconti. Etat renforcé par Jean Galéas (1385-1402) qui se proclame roi d'Italie=> 1450 : Francesco Sforza prend le pouvoir et mène des guerres contre Venise, Naples et Florence

appelé Empire Romain-Germanique) Empire Romain-Germanique refuse de se soumettre à l'autorité des papes. L'enjeu est la domination du systèmes, commander aux différents rois. Siècle de lutte et conflits, guerres par alliées interposés, guelfes (partisans du pape) gibelins (partisans empereurs). Empereur devient titre honorifique. Pendant qu'ils se font la guerre, les monarchies ont pris leur indépendances pour devenir aujourd'hui des États souverains. B – Le reste du monde 1) L'empire byzantin Place

famille Einberg entre juifs et protestants par celle entre Guelfes et Gibelins qui étaient, dans l’Italie du Moyen Âge, les uns les partisans de l’empereur, les autres les partisans du pape. D’où : «l’équilibre entre les Guelfes et les Gibelins» (page 75) - «Bons et Méchants (Guelfes et Gibelins)» (page 95) - «Mme Glengarry, la grande réconciliatrice, l’amie du Guelfe comme de la Gibeline […] se pend aux lèvres du Guelfe. Le Guelfe […] Le Guelfe […]» (page 175). L’Histoire du Portugal est évoquée

 Capuleti et Montecchi, apparaissent au xive siècle dans la Divine Comédie de Dante, au chant VI du Purgatoire3, mais seuls les Montaigu sont de Vérone. Les Capulet sont de Crémone, et la rivalité entre les deux maisons s’inscrit dans le conflit entre guelfes et gibelins dans toute la Lombardie, sans qu’il soit fait mention d’aucune histoire d’amour4. Une première ébauche de l’intrigue apparaît en 1467 dans la nouvelle Mariotto et Ganozza de Masuccio Salernitano, dont l’action se déroule à Sienne5. Cette version

Ces 3 questions ne sont pas tranchées. Le projet Machiavélien se situe en opposition avec l’Eglise ; rien dans ses écrits n’est hérétique. On ne sait pas s’il était athée ou non, s’il « jouait le jeu ». Parti guelfe : parti impérial. Parti Gibelin : Parti du pape. Machiavel est un guelfe. Il veut l’unité italienne : il faut que l’Italie de décléricalise : les clercs ne doivent plus avoir le pouvoir. Doctrine de Machiavel qu’on voit dans ses œuvres : ses 2 ouvrages ne soutiennent pas les mêmes

les évêques et Henri IV conteste car les évêques sont des seigneurs ecclésiastiques et c’est donc dans ses pouvoirs de les nommer. Cette querelle se double d’un problème car certaines villes d’Italie sont pour le pape, les Guelfes et d’autres sont pour l’empereur, les Gibelins. On peut remarquer toujours ce problème récurent du pouvoir spirituel et temporel. Grégoire 7 pour s’imposer décide d’excommunier l’empereur Henri IV, c’est un acte symbolique très grave qui risque d’effondrer le Saint Empire

incompris par les théologies des universités de Paris et de Louvain. Son dernier ouvrage est un échec, il rencontre de l’indifférence. Luther refuse de s’entendre avec lui sur la même écriture. Erasme disait : « je suis un gibelins pour les guelfes, et un guelfes pour les gibelins ». En 1531, les idées d’Erasme sont condamnées par la Sorbonne. Il rencontre également des adversaires en Espagne, triomphant dans les années 1530. La position d’Erasme se fragilise en Août 1529, Charles Quint quitte la

d’autre part les maraudeurs, ennemis pires45. » Il n’a pas répondu à l’appel convoquant la noblesse à combattre dans l’armée royale. Son abstention le rend suspect aux deux partis : « Je fus étrillé par toutes les mains : pour le Gibelin, j’étais Guelfe, pour le Guelfe, Gibelin46. ». La peste fait son apparition en août et gagne toute la région. Le 1er septembre, Castillon tombe. Pour fuir la peste, Montaigne abandonne son château avec sa mère, sa femme et sa fille dans des chariots. Pendant six