Guerre Juste Guerre Injuste

Il est remplacé par le maréchal Pétain, vainqueur de Verdun. A 49 ans, Charles de Gaulles est un brillant officier. En mai 1940, il s'attaque avec ses chars à l'armée allemande, mais reçoit l'ordre de Pétain de se replier, le maréchal croit la guerre perdue et veut négocier avec les Allemands. Membre du gouvernement, de Gaulle refuse l'arrêt des combats. Le 17 Juin, il s'envole pour Londres tandis que Pétain annonce à la radio : «c'est le cœur serré que je vous dis qu'il faut cesser de se battre»

est en situation de guerre civile.Autre exemple la guerria on a une partie de territoire sur lequel l'etat ne peut pas exercer sa violence legitime . Car une autre puissance parvient à lui resister. Exemple : ONU : force publique a le droit de faire usage du monopole de la violence mais n'a pas ce droit au niveau mondial. C'est une armée oligopole c'est à dire que c'est une armée comme toutes les autres. Elle n'a donc pas le droit de desarmer un etat c'est pour ça que la guerre continue entre les

plaidoirie de « Le fond de sa pensée… » à « …se rendre compte de ce qu’il faisait.» - Pages de … à … Introduction Nous sommes en présence d’un extrait tiré de l’étranger d’Albert Camus rédigé en 1942 ayant passé une partie de sa vie en Alger durant la guerre d’Algérie (1954 à 1962). Le personnage principal est le narrateur ; c’est lui qui nous conte son procès. Il se nomme Meursault et est accusé d’un meurtre, l’assassinat d’un maghrébin, dont il se sent innocent. Il raconte le réquisitoire de l’avocat

la concupiscence : c’est un désir de domination hors de son ordre, qui mène donc à l’affrontement. Elle veut obtenir une chose par une voie injuste. Les événements récents, en l’occurrence la guerre contre le roi d’Espagne, qui mènera au traité des Pyrénées, donne une autre définition de la tyrannie : « Quand il est question de juger si l’on doit faire la guerre… c’est un seul homme qui en juge, et encore intéressé. » 2) Le caractère misérable de la condition humaine est à chercher ds l’inconstance

sommes-nous pas ici victimes, après tant d'autres, comme Bougainville, qui voyait dans la Polynésie la "Nouvelle Cythère", du mythe du bon sauvage ? Hobbes, quant à lui, affirme dans ce texte extrait du Léviathan (1651) que l'état de nature est un état de guerre perpétuelle, et que seule l'autorité politique établie à l'état social permet aux hommes de vivre ensemble, et même tout simplement de survivre. On voit que la réflexion politique, chez Hobbes, s'articule sur une certaine anthropologie : c'est la

vis-à-vis de son entourage ou vis-à-vis de la société. De plus, il existe deux sortes de responsabilité : la première est légale : nous devons nous soumettre aux lois. La deuxième est morale, notre conscience trouvera certaines choses justes et d’autres injustes et nous prendrons des mesures pour faire selon notre conscience. Tout d’abord, la responsabilité signifie que nous possédons une certaine maturité psychologique qui nous permet d’avoir la faculté de prendre des décisions justes, raisonnables

d’être guidé mais que cette nécessité peut être remis en question. Le concept de hiérarchie, souligne l’organisation méthodique des Hommes, tels que les fondements moraux des lois. Sans lois les hommes, juste dotés de leur libre arbitre ne seraient pas, ce qui peut être bon pour lui et pour les autres. Lorsque nous prenons l’exemple du code de la route, sans des règles établies la conduite serait très dangereuse car tout le monde ferait comme bon lui semble

la cause du droit ainsi que son propre fondement. Cela revient à dire que j’ai le droit de faire ce que j’ai la force de faire parce que la force est une puissance dite naturelle et que c’est cette nature qui est la norme universelle de ce qui est juste. - Une obligation : Une obligation est ce à quoi je ne suis pas contraint mais que je me sens moralement tenu de faire ou de ne pas faire. - Une contrainte : Une contrainte est ce à quoi je ne peux pas échapper, ce qui ne dépend pas de ma volonté

: « Allah n'est pas obligé d'être juste dans toutes ses choses ici-bas.», reprend-il à maintes reprises. (p. 7) La négation suivie du verbe «juste» constitue une figure ironique. Dans chacune des grandes religions qui éclairent le monde actuel, une puissance divine juste, bonne et sage est mise en valeur. La justice serait donc une des fonctions premières d'un dieu digne de ce nom. Or, le protagoniste, en affirmant qu'Allah n'a pas toujours le devoir d'être juste, semble plutôt avancer qu'Allah manque

religions n’ont pas de preuves pour démontrer leurs affirmations parce que celles-ci reposent toutes sur la foi (la foi ne prouve rien et par définition, elle n’a pas besoin de preuves ni de miracles) et alors on a des conflits, de violence, des guerres de religion. Avec cela on veut dire que les religions incitent la violence. Cela est moralement condamnable. Par conséquence, on ne peut pas dire que la religion est le fondement de la morale. Si les religions ne sont que des superstitions qui