Guyenne et Gascogne

Bretagne et le duché d'Aquitaine. Ces principautés forment de véritables Etats qui sont gouvernés souverainement par des princes héréditaires, beaucoup de ces duchés tirent leur force de leur caractère ethnique, Bretagne peuplée par les celtes, Gascogne par les basques. Pourtant ces principautés sont fragiles, elles vont être à leur tour victimes du phénomène de dislocation. - Au cours du Xe, les principautés éclatent en comtés, cas de la France mineure partie du territoire comprise entre la

revers et que leur politique n’a tendu qu’à l’extension sans faille de leur domaine. Le cas du « dérapage » matrimonial de Louis VII ne doit pas être oublié : en 1137, son mariage avec Aliénor d’Aquitaine lui apporte une dot fabuleuse : la Guyenne, la Gascogne, le Poitou, l’Angoumois, la Saintonge, le Périgord et le Limousin. Seulement, ce mariage, arrangé par son père, ne fait pas l’affaire des sentiments des époux entre lesquels la mésentente est d’abord larvée, puis évidente au moment de la deuxième

[modifier]Après sa conquête par les Normands de Guillaume le Conquérant en 1066, l’Angleterre est impliquée dans les affaires du duché de Normandie jusqu’en 1204. Des héritages lui permettent de contrôler de vastes régions dans l'ouest de la France (Guyenne, Gascogne, Aquitaine...) perdues à la fin de la guerre de Cent Ans. Elle conservera cependant le port de Calais jusqu’en 1558. Le pays de Galles est conquis à partir de 1282, et l’Irlande à partir de 1169. En 1707, l’Écosse et l'Angleterre (gouvernées

propagande et de justification mais il n�a �t� �voqu� qu�au dernier moment. En effet, nul n�a contest� la l�gitimit� de Philippe de Valois � monter sur le tr�ne en 1328 et surtout pas Edouard III qui, l�ann�e suivante, lui pr�tait l�hommage pour la Guyenne# (r�gion qui appartenait en quasi-totalit� au roi d�Angleterre). Et c�est justement cette r�gion qui allait devenir la cl� de vo�te des hostilit�s. A plusieurs reprises, des contestations s��taient �lev�es entre le suzerain fran�ais et son vassal

connaissait. » Mais ajoute Montaigne, « j’avais plus de six ans que je ne comprenais pas encore plus de français ou de périgourdin que d’arabe. » De 7 à 13 ans, Montaigne est envoyé suivre le « cours » de grammaire et de rhétorique au collège de Guyenne à Bordeaux, haut lieu de l'humanisme bordelais, dirigé par un Portugais, André de Gouvéa entouré d’une équipe renommée : Cordier, Vinet, Buchanan, Visagier. Rétif à la dure discipline de l’époque, il gardera le souvenir des souffrances et des déplaisirs

sens familial. Ce qui compte en Europe ce ne sont plus les Etats mais les maisons et les lignages seigneuriaux. L’importance est de savoir qui est le seigneur de ces pays de France. Autour d’Hugues Capet, il y a une maison de Bourgogne, de Gascogne, etc et il s’agit de constituer une maison du roi qu’il tentera d’accréditer comme la maison de France. Cette maison de France c’est une maison familiale et le roi est vu comme le père de la famille des familles de France ; est en train de s’installer

40% d'une machine à laver ). Le développement de la GD est alors indissociable de l'essor de la société de consommation. Le commerce organisé et concentré est présent dès 1960 à travers différents succursalistes (casino, la ruche picarde, guyenne et gascogne... ) mais c’est l’enseigne Carrefour qui sera le premier hypermarché implanté en France. En effet, Marcel Fournier et Louis Defforey (fondateurs de Carrefour) crée le 15 juin 1963 à Sainte-Geneviève des Bois, dans l'Essonne, le premier hypermarché

par l'Empire germanique qu'il ne touchait même pas partout au Rhône et que ni Lyon, ni Bar-le-Duc, ni Cambrai, pour ne citer que ces villes, n'en faisaient partie. Les huit grands fiefs étaient ceux de Flandre, de Normandie, de Bourgogne, de Guyenne, de Gascogne, de Toulouse, de Gothie (Narbonne, Nîmes) et de Barcelone : la suzeraineté capétienne sur ces duchés et ces marches venait de l'héritage des Carolingiens. C'était un titre Jacques Bainville, Histoire de France (1924) 33 juridique qu'il

par l'Empire germanique qu'il ne touchait même pas partout au Rhône et que ni Lyon, ni Bar-le-Duc, ni Cambrai, pour ne citer que ces villes, n'en faisaient partie. Les huit grands fiefs étaient ceux de Flandre, de Normandie, de Bourgogne, de Guyenne, de Gascogne, de Toulouse, de Gothie (Narbonne, Nîmes) et de Barcelone : la suzeraineté capétienne sur ces duchés et ces marches venait de l'héritage des Carolingiens. C'était un titre Jacques Bainville, Histoire de France (1924) 33 juridique

roi de faire appliquer ce droit féodal. (Page 34) Néanmoins le roi est censé pouvoir faire appliquer le droit féodal sur cette zone. Cependant dans le sud, le roi n’a aucune influence, il existe de grandes principautés comme le duché de Gascogne, le duché de Guyenne, ou encore la gothie, il n’entretient aucuns rapports avec ces princes, ces derniers affirment qu’ils détiennent le territoire comme un bien propre hérité de leurs ancêtres et qu’ils tiennent leur pouvoir sur ces terres de Dieu. 2/