Gérard Genette Palimpsestes

récupère le papier des anciens grimoires pour le laver et y retranscrire d’autres ouvrages. A ce stade de la démonstration, je propose de l’appeler le colleur pour le distinguer du romancier. L’auteur sentant le propos réducteur de l’action de palimpseste, intervient pour rappeler l’autre face de l’intertextualité en tant que jeu de lecture, le lecteur selon son degré de culture étant susceptible de mettre ou non en relation le texte lu effectivement avec d’autres livres déjà parcourus. Bien entendu

l’unique lecture politique que l’imitation de mars 1690. 13 Les paraphrases accommodées, quant à elles, relèvent à double titre du cas particulier : elles combinent la configuration désignée par Gérard Genette comme un cas limite, qui consiste à « transformer et imiter le même texte[16]  G. Genette, Palimpsestes, Paris, Éditions du Seuil,...[16] », et celle de la pratique mixte selon laquelle « un hypertexte peut à la fois, par exemple, transformer un hypotexte et en imiter un autre[17]  Ibid., p. 46

ER SITÉ DE ROUE N NO RMA ND IE – ERIAC sandra.gondouin@univ-rouen.fr ¿Quién dijo que era verde mi país? / es más rojo / es más gris / es más violento (Claribel Alegría). 1. De la transtextualité à l’intermédialité 1. Si, dans les années 80, Gérard Genette a défini la transtextualité en

est appelé l’hypertexte : c’est ce que le texte devient lorsqu’il a été ancré dans une mémoire collective. Lorsqu’on parle de réécriture on parle d’hypertextualité. L’intertexte c’est tous ce qu’il y a autour du texte. Gérard genette, ( narratologue) il parle «  le palimpseste » , terme du moyen âge , on écrivait très peu les textes car les cuire coutait cher et il y avait donc une tradition orale, les clercs utilisais une brosse et grattait le cuire pour efface le premier texte originels pour

le modèle épique de l’Iliade ou même de l’Odyssée, d’illustrer la fixité d’un caractère, mais au contraire d’infléchir ce modèle vers l’écriture romanesque et d’y insérer l’évolution qui doit être le principe de toute formation.ce que Gérard Genette dans Palimpsestes, écrit ainsi : «  On peut donc définir Télémaque comme une greffe sur l’épopée antique d’un (si j’ose ce monstre) Bildungsroman ad usum delphini » (d’un roman d’apprentissage pour l’usage de Monsieur, frère du roi) 2. Ce Télémaque de

promouvoir la compréhension interculturelle. Le mot palimpseste, défini par Gérard Genette dans La littérature au second degré, désigne un « texte occulté par un texte suivant, mais intensifiant le caractère plurivoque de ce dernier (et du premier) » (Dictionnaire International des Termes Littéraires). Godette emploie ce terme « pour montrer qu’un texte littéraire peut toujours en cacher un autre, mais que, comme dans les palimpsestes anciensii, il le dissimule rarement tout à fait, de sorte

Introduction. Inaugurée par Propp, systématisée par Greimas, et approfondie par Barthes, Genette et Todorov, la narratologie occupe une place de choix dans le domaine de la critique littéraire. Ces chercheurs se sont appliqués a mettre au point un modèle applicable a tous les types de récits. Mais au fur et a mesure que la théorie progresse, les applications pratiques se raréfient, et à part quelques échantillons destinés a illustrer des exposés et des exercices des disciples de Greimas, on ne

les plus intéressantes du point de vue du travail de réécriture ou d'adaptation de l'auteur. Nous avons donc un corps d'étude de trois ouvrages de jeunesse: deux adaptations créatrices qui sont la version de Jean-Pierre Kerloc'h[3] et la version de Gérard Moncomble[4], ainsi qu'une réécriture du conte par Anne Ikhlef[5] Ma peau d'Ane publiée à Seuil Jeunesse où l'auteur s'approprie le texte pour en proposer une version nouvelle. Nous étudierons donc les choix d'écriture de ces auteurs à travers ces

| |- Approche théorique : lecture d'extraits de Gérard Genette, | | | |Palimpsestes. La littérature au second degré, 1982 | |Séquence 1 : |- Acte I

SLAMTI SadEléments de critique littéraireSemestre v Université Ibn Zohr2020/ 2021Avertissement L’article intitulé L’ivresse intertextuelle aura comme but de vous amener au lieu de la littérarité chez Baudelaire. Le poète arabe cité comme un intertexte n’est qu’un prétexte pour approcher l’écrire poétique baudelairienne qui est l intertexte sur lequel nous bâtirons notre critique des poèmes proposés à l’étude Avant propos « Qu’on ne me dise pas que j’ai rien