Haine et Passion

est de toute les passions la plus nécessaire à notre bonheur"= Thèse défendue - Elle propose l.14 une conclusion au terme d'un raisonnement logique et inductif ("notre"," toute") --> conclusion sous la forme d'une maxime + présent de vérité générale Etapes du raisonnement : - L.1-4 : Succession logique avec ponctuation forte + connecteurs logiques --> équivalence : sage=heureux=passions (passion = goût fort pour qqch =positif) - Opposition= Antithèse passions négatives : haine, colère >< étude

la pitié et de la crainte, accomplit la purgation des émotions de ce genre. » (Aristote, Poétique). Cette citation d’Aristote signifie donc que : La tragédie est fondée sur une mimésis (représentation de la réalité) Elle permet de se libérer des passions néfastes. Les héros tragiques ont d’abord le sentiment d’être des victimes, mais lorsqu’ils comprennent le sens de leur destinée, ils quittent cet état de victimes pour accéder au plaisir de la connaissance. Le spectateur se sent lui aussi libéré

Introduction : Dans sa tragédie Phèdre, créée en 1677, Racine montre les ravages de lapassion amoureuse. Phèdre, l’épouse du héros Thésée, tombe amoureuse de son beau-fils Hippolyte. Cette passion, considérée comme incestueuse, va provoquer le malheur de Phèdre et de son entourage. Dans la scène 3 de l’acte 1, Phèdre apparaît pour la première fois. Elle est décrite comme très malade, épuisée. Oenone, sa servante, inquiète de l’état de santé de sa maîtresse, tente de lui arracher des aveux. Après

en cinq actes qui se déroule dans le nord de l'Italie : a Verone.Elle conte l'histoire de deux jeunes gens Romeo Montaigu et Juliette Capulet qui sont sont vivement épris l'un de l'autre. Leur amour cependant était condamne dès le départ suite à la haine qui existe entre leur famille. L'issue tragique de leur amour n'en est donc que le résultat logique. Essayons de comprendre l'intrigue puis voir quelle portée à cette oeuvre dans notre société contemporaine. INTRIGUE Dans la ville de Verone

c'est-à-dire Claire, l’archétype de la bonne serviable et humble qui contraste avec la méchanceté de madame. Aussi on se rend compte de la haine que les bonnes éprouvent à l’encontre de Madame. La haine est le sentiment qui les garde en vie, il y' a une perversion du psychisme chez les Bonnes qui se sentent vivre et oublient leur basse condition en projetant leur haine sur Madame. Les rôles sont un peu confus. En effet, par moment Claire-Madame s’adresse à la bonne et à d’autres moments elle s’adresse

entoure et de la présence d'autrui), et au niveau personnel : conscience réfléchie (capacité de faire un retour sur soi-même, d'avoir un jugement). Cette prise de conscience permettra de se gérer, de gérer ses pulsions, ses angoisses et de dominer ses passions, ses instincts. Mais il faut se comprendre et se connaître pour atteindre cette « auto-gestion ». Car dans la mesure où l'on se comprend mieux on peut mieux se gérer, et ne pas se laisser envahir par ses sentiments. Être maître de soi c'est aussi

d’antithèses qui opposent l’amour et la haine, leur rencontre et leur séparation, leur mariage et leur divorce (v. 242 à 248). Elle souhaite boucler la boucle, et terminer son mariage comme il l’avait commencé : dans le crime. Elle avait en effet tué un membre de sa famille et compte faire de même en assassinant ses enfants. Son discours se mélange, elle conte ses crimes passés tout en annonçant ceux à venir, et elle est partagée entre deux passions fortes : l’amour et la haine. Mais les crimes de Médée ne

poème de Lautréamont, dans celui de Baudelaire intitulé "Charogne" il y a beaucoup de marques d'énonciations comme au v.34 : "Nous regardait d'un oeil faché", au v.1 : "Mon ame", au v.23 : "On eut dit que les corps", au v. 41 : "Vous, mon ange et ma passion!", v.48 : "Que j'ai gardé la forme et l'essence divine" et au v.49 : "De mes amours décomposés!". Toutes ces marques d'énonciations nous permettent de deviner que c'est Baudelaire l'énonciateur. 2- Dans le poème de Baudelaire, ce qui m'a choquée

et collègue, Laurent. La jeune Thérèse attendant depuis longtemps l'amour, sans vouloir se l'avouer, tomba immédiatement sous le charme de cet homme pour le moins surprenant. Non indifférent l'un à l'autre, Thérèse et Laurent devinrent des amants passionnés l'un de l'autre, ne songeant qu'à leurs violentes retrouvailles secrètes et passionnelles, dont personne ne soupçonnait l'existence. Usés de vivre leur amour secrètement, et n'ayant plus d'autres alternatives que de supprimer Camille l'époux gênant

176. La sympathie est impuissante à fonder la société 177. Les dérèglements de la sociabilité 178. La justice ne se ramène pas à la sociabilité 179. La fraternité est un but, non un principe 180. La passion d'indifférence C Justice humaine 181. La justice n'est rien qu'humaine 182. La justice est en nous 183. La justice n'est pas un pur concept 184. La justice est une force 185.