Hamlet Terreur Et Pitié

immédiatement le rôle que prenait l'acteur. Aristote a dégagé 2 fonctions essentielles du théâtre : La Mimesis qui est une reproduction de la réalité et la Catharsis qui est une reproduction des peurs, de la terreur et de la pitié. Le spectateur a pitié pour le héros et la catharsis le dépossède de cette pitié. Les auteurs. Eschyle (525-456 av. J-C) : c'est le fondateur de la tragédie grecque. Une pièce : L'Orestie. Sophocle (495-406 av. J-C) : Il s'attache à montrer les drames qui naissent des passions

alors qu’il travaille toujours pour devenir fonctionnaire. En 1876, il devint un critique de théâtre pour le Dublin Evening Mail et avait déjà quelques nouvelles et romans à son actif. Il écrit une critique positive pour le jeu de Henry Irving dans Hamlet et après que Irving l’eut contacté, ils devinrent amis. En 1878, Stoker maria Florence Balcombe et ils emménagèrent à Londres, où l’auteur devint administrateur du Lyceum Theatre, un poste qu’il eut pendant 27 ans. C’est alors qu’il prit réellement

appartiennent à l’Histoire Antique (Néron par exemple dans Britannicus de Racine) ou aux mythes de l’Antiquité (Phèdre par exemple). Le héros est écrasé par le destin. 2 Le but de la tragédie classique : la catharsis La tragédie doit inspirer la terreur ou la pitié. Son but est la catharsis1. En montrant les conséquences ultimes et catastrophiques des passions, la tragédie purge l’âme du spectateur de ces mêmes passions et l’incite à ne pas imiter les héros tragiques. Le théâtre rendrait ainsi le monde

scènes 5 et 6 : le dernier combat de Dom Juan. Lectures complémentaires : Euripide, extraits de Médée (431 av. JC) et Anouilh, Antigone (1944) Antigone et Médée, révolte ou folie ? Du problème de l’identification au personnage révolté. Shakespeare Hamlet (1603), extrait de l’acte III, scène 2 : le théâtre baroque au service de la révolte. Molière, le Misanthrope (1666), extrait de l’acte I, scène 1 : la révolte d’un anti Don Juan. Ionesco, Rhinocéros (1959), monologue final : de la difficulté de la

ensuite, les dramaturges comptent sur la « catharsis » (du grec κάθαρσις : purification), ou purgation des passions : les spectateurs d'une tragédie sont ainsi censés se purger, se purifier des passions en les vivant par procuration, en éprouvant terreur et pitié, comme l'écrit Aristote dans sa Poétique. Depuis quelques années est apparu un genre nouveau : le théâtre témoignage. Les premiers spectacles abordaient la question des drames vécus par les personnes ayant subi des licenciements économiques

ensuite, les dramaturges comptent sur la « catharsis » (du grec κάθαρσις : purification), ou purgation des passions : les spectateurs d'une tragédie sont ainsi censés se purger, se purifier des passions en les vivant par procuration, en éprouvant terreur et pitié, comme l'écrit Aristote dans sa Poétique. Depuis quelques années est apparu un genre nouveau : le théâtre témoignage. Les premiers spectacles abordaient la question des drames vécus par les personnes ayant subi des licenciements économiques

ensuite, les dramaturges comptent sur la « catharsis » (du grec κάθαρσις : purification), ou purgation des passions : les spectateurs d'une tragédie sont ainsi censés se purger, se purifier des passions en les vivant par procuration, en éprouvant terreur et pitié, comme l'écrit Aristote dans sa Poétique. Depuis quelques années est apparu un genre nouveau : le théâtre témoignage. Les premiers spectacles abordaient la question des drames vécus par les personnes ayant subi des licenciements économiques (Les

travers que les genres cherchent progressivement une fusion au cours des temps. Mais on s’intéresse surtout au théâtre de Shakespeare, et spécifiquement à la pièce « Hamlet ». On demandera aux élèves de lire la version anglaise, dont on se servira parfois pour souligner certains passages les plus célèbres. -Etude de « Hamlet » de Shakespeare. -Texte 1 Acte II sc.1 (Apparition d’Ophélie « Il m’a pris le poignet… ») On présente le rôle de la scène d’ouverture. Quel est l’intérêt de l’opposition

les danseurs, qui ne se confondent pas aux acteurs; ni les footballeurs, au temps où les matches n'étaient pas "arrangés"...). Souvenons-nous surtout que la guillotine ou les supplices proposaient il n'y a guère de terrifiants spectacles, et que la terreur loge depuis l'origine au coeur du dispositif. Si la touche replay n'est pas indispensable à sa définition ni à son parfait déroulement, il demeure par contre essentiel de suspendre toute réaction du public autre qu'émotionnelle. Un spectacle est programmé

ressort secret, un de ses mécanismes. En tout cas, l’opposition est nette. Bergson commente « je ne veux pas dire que nous ne puissions rire d’une personne qui nous inspire de la pitié, par exemple, ou même de l’affection : seulement alors, pour quelques instants, il faudra oublier cette affection, faire taire cette pitié ». C’est assez étrange comme nous pouvons basculer de la pointe du tragique, au comique le plus déridé. Il est remarquable que d’ailleurs les plus grands artistes comiques se reconnaissent