Hamlet Terreur Et Pitié

Comme dans le théâtre antique, la tragédie a une fin morale. Elle doit permettre aux spectateurs de s'améliorer sur le plan moral en combattant certaines de leurs passions. À la suite d'Aristote, on considère que la tragédie doit inspirer « terreur et pitié » face au destin de héros broyés par les conséquences de leurs erreurs. Ces deux sentiments doivent permettre aux spectateurs de se désolidariser des passions qui ont poussé les héros à agir et donc de ne pas les reproduire eux-mêmes. Par ailleurs

(Troilus and Casilda en 1602, Measure for Measure en 1603). De plus, en 1600, les théâtres sont en guerre : une querelle éclate entre les théâtres privés et les théâtres publics populaires, qui influe sur l’écriture des pièces de cette période. Dans Hamlet, Shakespeare prend parti pour les théâtres populaires. 2) Le rôle prépondérant du mécène. Dans une période antérieure à celle que nous étudions, le mécénat était déjà présent par exemple au temps de François 1er qui protégeait Léonard

longue liste de ses travers. Le principal est de ne pas respecter la morale : « se railler ouvertement de toutes les choses divines et humaines ». Lorenzo pervertit François de Médicis, et Varchi ne manque pas de condamner cette attitude en prenant en pitié le jeune homme déchu qu’il appelle « le malheureux » (Varchi avait déjà employé le terme pour l’assassinat du duc « la mort malheureuse » au début de l’extrait, laissant entendre qu’il désapprouvait la conduite de Lorenzo). Puis l’auteur rappelle le

liste de ses travers. Le principal est de ne pas respecter la morale : « se railler ouvertement de toutes les choses divines et humaines ». Lorenzo pervertit François de Médicis, et Varchi ne manque pas de condamner cette attitude en prenant en pitié le jeune le » homme déchu qu’il appelle «  malheureux  (Varchi avait déjà employé le terme pour l’assassinat du duc « la mort malheureuse » au début de l’extrait, laissant entendre qu’il désapprouvait la conduite de Lorenzo). Puis l’auteur rappelle

vie de Coriolan, figure légendaire des débuts de la république romaine. Elle fait partie d'une série d’œuvres dont le sujet est tiré de l'histoire romaine comme Le Viol de Lucrèce, Titus Andronicus, Jules César et Antoine et Cléopâtre. Hamlet, prince de Danemark (Hamlet, Prince of Denmark) : La plus longue et l'une des plus célèbres pièces de William Shakespeare. La date exacte de composition n'est pas connue avec précision ; la première représentation se situe sûrement entre 1598 et 1601. Le texte

contribue puissamment à évoquer l’universalité du Mal, sa puissance, ses caractéristiques secrètes, son surgissement imprévu, sa collusion avec les forces surnaturelles, en un mot sa nuisance insoupçonnée. Il aide à créer ce climat fantastique, cette terreur sacrée propre au registre tragique. Les sorcières Les sorcières et la lune maléfique (Hécate) permettent à Shakespeare de parfaire cette poésie inquiétante de la démonologie médiévale. Avec elles, il peut jouer sur plusieurs tableaux pour évoquer

devient 1 prescription générale et necessaire, elle devient caractère, Parole d’autorité. L’unité de lieu est du 16e siècle. L’Art antique devient un modèle. L’Age Classique a ignoré le problème de la Catharsis (purification) : il pense la terreur et la pitié mais très peu. Aristote la donne comme évidente. La tragédie=cérémonie religieuse=purification. Les dieux et les hommes : concept Grec. Cromwell the préface Dans ce texte nous sommes en 1827, en pleine polémique : la naissance du théatre

publique, une sorte de gloire... Mais limitez le danger de ces expériences à ce qui est strictement nécessaire.  « Il y a plus de choses sous le ciel et sur la terre, Horatio... » - Vous me rappelez, dit-il, que je dois un soir vous emmener voir Hamlet... Bonne nuit. IX Je n’étais pas allé aussi souvent à l’hôpital Saint-Barnabé sans avoir fait la connaissance de quelques-uns des médecins. Plusieurs fois James m’avait emmené prendre un repas dans la salle à manger résidents. Là, j’avais parlé

tragédie doit susciter crainte ou pitié= conflit entre Bien et Mal - le méchant n'est aucunement exclu de la scène tragique - pour Aristote, l'œuvre d'art a pour fonction de susciter un plaisir de nature esthétique à travers la représentation du réel « ce que le poète doit produire c'est le plaisir qui, par la représentation, provient de la pitié et de la frayeur. » (Poétique 53 b 12) - finalité du plaisir= amélioration et apaisement du cœur= catharsis - pitié= émotion altruiste, frayeur= émotion

fois que deux scènes s’enchaînent sans changement). C’est l’occasion pour Koltès de proposer une scène onirique dans laquelle le personnage se lance dans un monologue aussi inattendu que lyrique, regrettant une Gamine, qui à l’image de l’Ophélie de Hamlet (Cf. documents) a été engloutie par un torrent de boue. Question : en quoi le passage est-il représentatif d’une crise propre au tragique ? II) Lecture analytique 1) L’expression plaintive et lyrique du sentiment a) L’expression amplifiée de la