Hammourabi

devenir modèle et la comptabilité devenue ambitieuse s’essaie à donner une image globale d’elle-même : on veut communiquer. 2. Le degré zéro de la comptabilité : La capacité de compter L’humanité a d’abord essayé de compter. Le roi babylonien Hammourabi qui régna vers 1800 av JC, exigeait que l’on tienne les comptes du royaume : c’est l’ancêtre de la comptabilité moderne. Les sumériens disposaient de sortes de fiches comptables. Ils étaient des financiers avisés qui manipulaient les tables de carrés

civil englobe le DOC : VRAI Le DOC traite de la conclusion et de l’exécution de l’ensemble des contrats : VRAI La décision du médiateur a force de jugement : FAUX Les premières traces écrites d’existence d’un droit commercial correspondent au code Hammourabi en Egypte. VRAI 2      Toute personne est capable d’obliger et de s’obliger à condition qu’elle n’en soit pas déclarée incapable par la loi Le premier tribunal de commerce au Maroc date de 1997 Le mineur marocain acquiert la capacité de faire

papyrus – l'archivage Rome : – les mensores (personnes qui notent les différents échanges dans les ports commerciaux, scribes) – l'amortissement des esclaves Dérivé de crédit : acheter le droit d'acheter une action dans X temps. (code hammourabi) Moyen age Dès la fin du moyen age, une forme et rationalisation s'est développée dans le monde des affaires et s'est exprimée en adaptant la tenue de comptes à l'expansion du commerce. Ouvrage du célèbre moine franciscain connu sous son patronyme

transition vers une modernite juridique. La codification avait pour longtemps été ignoree, sans etre vue comme une necessite. C’est surtout a cause des circonstances politiques, sociales et techniques qu’elle s’est fait developpee. Dès le code de Hammourabi, le sixieme roi de la premiere dinastie de Babylone, connu pour l’ampleur de son œuvre politique et legislative, en passant par Justinien, Louis XIV, Bonaparte pour que plus tard les codes participent a l’affirmation de l’independance politique

société. Par exemple, en Mésopotamie, le roi Hammourabi, faisant partie de la première dynastie babylonienne, va créer le Code d’Hammourabi, établi entre 1792 et 1750 avant JC (période de son règne). Il l’a édifié sous la dicté du dieu Shamash. Ce texte juridique concerne plusieurs domaines sociaux, des personnes, pénal… Il a ainsi pour objectif de maintenir la paix sociale. Dans cette situation c’est le dieu Shamash qui crée la loi et c’est le roi Hammourabi qui applique sa volonté à travers la création

d'Hammourabi Hammourabi (1792-1750 avant notre ère) a été le roi de babylone, fondateur de l'Empire babylonien. Quand on parle du "Code" d'Hammourabi, on parle d'un mélange de dispositions de natures différentes : règles de droit civil, de droit pénal, de procédure... Certaines dispositions ont été prises par Hammourabi, mais il s'agit aussi de dispositions coutumières datant d'avant son règne. On a 282 articles que l'on appelle des décrêts d'équité avec un prologue à la gloire du Roi Hammourabi. Ce

jardinier, puis renverse son bienfaiteur et lui succède. Naram-Sin, petit-fils de Sargon, se donnele titre de «roi de l’univers» et de «dieu d’Agadé». La croyance de diverses cités en un dieu commun apparaît comme un fondement de l’unité politique. Hammourabi, roi de Babylone, impose une religion d’État avec dieu unique (Mardouk), afin de favoriser la cohésion d’un empire fait de peuples disparates. Le roi est le représentant visible du dieu sur la terre. • L’influence égyptienne La religion égyptienne

transmission orale. Progressivement la coutume a été relayé par le droit. L'écrit c'est emparé de la coutume. Toujours de façon progressive les dirigeants des civilisations antiques ont décidé d'écrire des droits. Puis des codes ont été écrit. Hammourabi a rassemblées coutumes et déclines ces coutumes dans un code. Ce code est une compilation de la coutume. L'écriture n'est pas le point de départ du droit mais vient rendre certain la source du droit oral. L'écriture ne permet pas de faire une

brutal, des prix agricoles anciens). A long terme, on retrouve les variations de ce que les économistes appellent la bimetallic ratio, c’est-à-dire le rapport de valeur entre or et argent il est de 9 à 1 vers 2700 av. J.-C., de 6 à 1 vers 1800 sous Hammourabi, de 12 à 1 au VIe siècle av. J.-C. On constate donc, dans ce très ancien empire, une formation de valeurs d’échange variables. Mais y avait-il réelle circulation de pièces ? Même si les lingots étalonnés servaient de moyen de paiement, ce n’était

héréditaire, mais difficile d’affirmer que c’est un esclavage privé). Le code de Lipit Ishtar développe essentiellement les questions économiques, avec beaucoup de disposition sur le droit des obligations, les louages, les prêts. Le code de Hammourabi unifie des populations différentes sous un même droit. Il appelle les juges de l’ensemble de l’empire à suivre cette prescription, car « La conscience de l’unité de l’état passe par la conscience de l’unité du droit. » C’est un droit d’origine