Handicap Mental Et Automutilation

24/09, 08/10, 14/01, 13/05, 10/06, 11/06 Programme : L’étudiant sera capable : de définir et illustrer le champ d’action de la psychopédagogie ; d’illustrer des notions telles que : comportement, apprentissage, intelligence, émotion, normalité, handicap ; de décrire en quoi les apprentissages sont en lien avec les sentiments, l’intelligence, l’affirmation de soi, la motivation, l’environnement,… en s’appuyant sur des théories scientifiques de pédagogues référents ; d’illustrer en quoi l’action éducative

NOMENCLATURE ET CLASSIFICATION DU HANDICAP/DÉFICIENCE INTELLECTUELLE Confusion mentale : Perte momentanée d’efficience intellectuelle Démence : perte irrémédiable d’efficience intellectuelle chez qqun qui a connu une efficience intellectuelle →qq qui a été intelligent mais qui ne le sera plus Idiot : qqn qui n’a jamais bénéficié d’efficience intellectuelle et qui ne le sera jamais Au début du 20ème siècle, l’école devient obligatoire et met en évidence le fait que certains enfants n’arrivent

à de jeunes déficients intellectuels moyens ou profonds, autistes ou à tendances autistiques, souffrants de troubles de la communication. En effet, je constate que le travail mené avec ces jeunes était sans cesse confronté à divers obstacles : automutilation, difficultés à communiquer, stéréotypies, résistance aux changements, repli sur soi, rituels,... Face à cela, je me trouvai, comme toute l'équipe éducative, impuissante, désarmée. Par manque de méthode et d'outils ainsi que par inadaptation

novembre 1989), la maltraitance renvoie à « toute forme de violences, d’atteinte ou de brutalités physiques et mentales, d’abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d’exploitation, y compris la violence sexuelle ». Pour l’Observatoire national de l’Action Sociale Décentralisée (ODAS., 1993), l’enfant maltraité « est victime de violences physiques, d’abus sexuels, d’actes de cruauté mentale, de négligences lourdes ayant des conséquences graves sur son développement physique et psychologique »

symptômes. Le symptôme doit être associé à son histoire, ce qui ne veut pas forcément dire une psychanalyse. = C’est par la parole, par l’élaboration, par la perlaboration qu’il y a du thérapeutique. UNAFAM : Union Nationale des Familles de Malades Mentaux. Question de celui qui demande : l’enfant ne demande pas pour lui, c’est le parent qui le fait souvent. La pathologie ne consiste pas dans le fait de troubler l’ordre social. Certains enfants dont on a l’impression qu’ils sont ailleurs on besoin

(celle qui suppose une connaissance du développement normal et pathologique) mais aussi une part subjective qu'il faut savoir écouter mais aussi analyser pour qu'elle soit fiable. CONTEXTE HISTORIQUE Jusqu'au début du XIXème siècle, la pathologie mentale de l'enfant, quelle qu'elle soit, était considérée comme l'expression d'une déficience du développement de l'intelligence. La psychose (ou la "folie") était à cette époque considérée comme exclusivement liée à l'adulte. Depuis, des similitudes cliniques

avant même sa dénomination par L. Kanner en 1943, tient une place particulière dans les débats : c’est l’enfant sauvage d’Aveyron… De là, s’ouvrent les premières discussions entre aliénistes et éducateurs, de l’infortune à la misère, de la folie au handicap, de l’incurabilité à l’éducabilité… Ainsi, l’histoire se nourrit, se forge, fonde son historicité. S’il ne s’agit pas là de la répéter, mais plutôt de s’en décaler, nous proposons de saisir dans quel contexte l’appréhension de l’autisme a été bouleversée

seulement des garçons. Aujourd’hui l’établissement n’a plus l’agrément pour accueillir des enfants atteint de déficiences mentales, il ne peut qu’accueillir les enfants qui ont des troubles du comportement. 1.2 Motivations Je me suis orienté vers ce type de structure car je n’avais aucune expérience ni aucune connaissances en ce qui concerne les personnes porteur de handicap. Pour commencer j’ai pensé que les enfants et adolescents serait un bon point de départ. Ce qui m’a beaucoup intéresser c’est

adolescents âgés de 18 ans ont subi un traumatisme tel qu'il est défini par le DSM-III-R [4] et que plus de 6 % ont un diagnostic sur toute la vie d'ESPT. Ils peuvent avoir un évolution prolongée sur des années, se compliquer, être responsables d’un handicap marqué et peser lourdement sur le développement à ces âges de grande vulnérabilité. L’étude longitudinale de Sack et al [5] sur des réfugiés du Cambodge montre la persistance de l'ESPT de l'enfance à l'adolescence et à l'âge adulte, jusqu'à 29 ans

(fausse-route) Risgue élevé de Risque d'inhaler des sécrétions gastriques et/ou oro-pharyngées, des solides ou des liquides dans la trachée et les bronches (à cause d'un dysfonctionnement ou de l'absence de mécanismes de protection normaux). AUTOMUTILATION Risque élevé d. Risque élevé de se blesser sans intention de se tuer produisant des lésions tissulaires et une sensation de soulagement. AVALER Incapacité partielle ou totale d' Diminution de la capacité de faire passer volontairement des