Hannah Arendt Considérations Morales

Flux pour Articles Commentaires « Présentation du chapitre XVIII: la politique. Machiavel. Morale et politique. » Comment concevoir les rapports de la morale et de la politique? 14 mai 2008 par Simone MANON Pb: Pourquoi a-t-on tendance à confondre les ordres? Pb: En quoi consiste leur hétérogénéité? Pb: Comment concevoir leur articulation? I) La confusion de la morale et de la politique. La réflexion morale a pour objet le bien. Cette valeur concerne aussi bien ce qui rend un homme bon que ce qui

-Des affaires publiques -Les fondements et l'organisation de la Société Société et Pouvoir Politique sont conditionné par des facteurs Or toute société Humaine repose sur un système de valeur , que le Pouvoir politique doit prendre en considération Ex : Respect de la vie privé, dignité humaine
Respect de la croyance, religion  Dans une démocratie comme la démocratie FR, les citoyen ont le droit d’exprimer lors d’élections libres et transparentes leur opinion 
(droit de choisir leur

continue de défendre la situation. Domination moral sur le politique. Le politique c’est le royaume du mal. * Tenants de l’état Prônent la séparation entre politique et religion. Dans l’ordre terrestre seul valent les raisons de l’état. (Machiavel : le prince de Machiavel 1513 le prince doit faire l’usage de la force et de la ruse indépendamment de toute considération de la religion). L’action politique relève de l’ordre pratique et non plus de l’ordre moral. Elle n’est pas inspirée par Dieu, elle

. L’idée cartésienne d’une technique au service de la vie humaine nous apparait donc, fort de cette expérience, quelque peu naïve . Le progrès technique des hommes ne s'est pas accompagné d'un progrès moral des hommes: ça ne les a pas rendus meilleurs, mais au contraire cela leur a donné de plus amples moyens pour accomplir des actions inhumaines et immorales. 1. Le machinisme : Marx : Avec

qui naît : un 27 Abbé Grégoire, Rapport sur la bibliothèque présenté à la Convention nationale, le 22 Germinal de l’An II (1794), cité par François Dagognet, Le musée sans fin, Champ Vallon, Seyssel, 1993, p. 109. 28 Quatremère de Quincy, Considérations morales sur la destination des ouvrages de l’art, in François Dagognet, op. cit., p. 125. Voir Françoise Choay, « A propos de culte et de monuments », préface à Le culte moderne des monuments, son essence et sa genèse, d’Aloïs Riegl, trad. franç.

Angleterre de Coleridge à Bradley, Neuchâtel, 1955. (N.d.T.) 4. Thomas Hill Green (1836-1882), professeur de philosophie morale à Oxford et grand représentant du néo-kantisme et du néo-hégélianisme en Angleterre. Très influent de son vivant (notamment sur Bosanquet), il s’inscrit en réaction au naturalisme de Spencer et au sensualisme de Stuart Mill. La philosophie morale consiste pour lui à appliquer à la vie sociale les résultats des réflexions de la métaphysique sur la nature de l’homme.

politique, de l’état de la France, de son amitié avec François Mitterrand. Duras, dans son exigence de liberté, va s’en prendre à toutes les formes de l’autorité. Son travail d’écrivain prendra la forme d’une agression contre les valeurs (sociales, morales, esthétiques) de la société française. « Produits » d’une société favorisée qu’ils critiquent de l’intérieur, Anne-Marie Stretter et le vice-consul se 200 ANNA LEDWINA distinguent par leur refus de la société de consommation dans laquelle

Pour W.H. Auden Ce texte rédigé pour une conférence prononcée à la New School for Social Research le 30 octobre 1970 et remanié pour sa publication sous le titre Thinking and Moral Considerations: A Lecture, dans la revue Socia.l Research (38/3, FaU 1971), constitue le premier écrit du projet, dont Hannah Arendt n'a laissé à sa mort que des notes, rassem­ blées et éditées par Mary McCarthy sous le titre La Vie de l'esprit (en 2 vol. PUP., 1981-1983). Parler de la pensée me semble tellement présomptueux

sociale et la sécurité, se maintenir au pouvoir ou encore garantir l’union nationale. Cette phrase bien connu de Machiavel « la fin justifie les moyens » démontre bien que le Prince ne doit pas agir en appliquant les grands principes issus de la morale chrétienne comme le pense Erasme, mais doit agir en utilisant tous les moyens possibles pour parvenir à son but. Le Prince a plus d’intérêt à être craint qu’aimé afin de préserver l’intérêt général de la nation, il peut ainsi user de subterfuges tels

professeur Rajaee, le rétablissement du dialogue et l'émancipation de l'humanité doivent passer par la communication, entre les principales civilisations mondiales et en leur sein. La vision du professeur Rajaee est imprégnée d'un pro-fond engagement moral envers l'être humain — valeur et dignité —, sentiment que partagent la plupart des grandes religions du monde et les humanistes profanes. Dans cette vision, il nous faut aller au-delà du système des catégories « l'un ou l'autre — ou » pour juger les