Hannah Arendt Considérations Morales

populiste………………………………………………………………………… 4)- La bureaucratie autoritaire………………………………………………………………… Section IV- Les régimes totalitaires………………………………………………………………… A- Essai de définition du totalitarisme……………………………………………………………. 1)- Le régime totalitaire selon Hannah Arendt……………………………………………. 2)- Le totalitarisme selon Carl Friedrich et Zbigniew Brzezinski…………………. B- Les origines du totalitarisme……………………………………………………………………… Encadré n°4 : Cédric Polère : «Démocratie : de quoi parle-t-on ? »………………………. Chapitre IV : Les

accidentelle le fait qu'on en tire des leçons pour l'avenir, et le fait qu'on redouble de volonté pour surmonter les séquelles de l'accident. En ce sens, en effet, "à tout malheur quelque chose est bon". Mais on voit moins quel bien on peut tirer d'un mal moral subi ou commis, s'il nous traumatise ou nous avilit. Si on prétend que même lorsqu'il nous plonge dans l'horreur, un mal est toujours porteur d'un bien sous prétexte que de tout mal on peut tirer un bien, alors il s'agit d'un paradoxe étrange et choquant

territoriale outre-mer. Il considérait en effet que l'acquisition de colonies étais substantiellement inutile pour l'économie allemande et trop onéreuse, ainsi que dangereuse pour le maintien de bons rapports avec la Grande-Bretagne (toutes des considérations qui se démontreront exactes par après). Mais quand le partage de l'Afrique étais sur le point d'être conclu, des courants pangermaniques exercèrent des pressions tellement fortes sur Bismarck qu'il fini par s'y rattacher en lançant rapidement

l'administration[modifier] État d’arbitraire[modifier] L'expression État d’arbitraire (ou État de police) sans connotation péjorative qualifie les États agissant selon leur libre arbitre, non soumis à un droit positif mais seulement à des limites d’ordre morales ou religieuses. Cela se justifie par le fait que le chef de l’État (le Roi dans l’Ancien Régime en France par exemple) a le monopole de la contrainte : lui seul peut édicter des règles contraignantes, qu’il n’a pas à suivre. De plus le Roi étant le

pragmatique. La vie idéale, c’est un corps sain et un esprit sage qui se consacre à la Culture, donc aux œuvres de l'esprit. Que l’on puisse voir dans le travail le but de la vie, voilà qui paraît servile et étranger à la mentalité grecque. (texte) Hannah Arendt rectifie ainsi un préjugé que nous avons tendance à projeter sur la conception grecque du travail : « croire que le travail était méprisé parce qu’il était réservé aux esclaves », c’est complètement se méprendre : « les anciens faisaient le raisonnement

pragmatique. La vie idéale, c’est un corps sain et un esprit sage qui se consacre à la Culture, donc aux œuvres de l'esprit. Que l’on puisse voir dans le travail le but de la vie, voilà qui paraît servile et étranger à la mentalité grecque. (texte) Hannah Arendt rectifie ainsi un préjugé que nous avons tendance à projeter sur la conception grecque du travail : « croire que le travail était méprisé parce qu’il était réservé aux esclaves », c’est complètement se méprendre : « les anciens faisaient le raisonnement

c’est-à-dire sur une contrainte exercée par le regard de l’autre. Le pouvoir va asseoir son emprise sur le savoir scientifique à des fins politiques. C’est aussi un moyen de discipliner les détenus (bio politique : politique qui repose sur des considérations scientifiques ou pseudo scientifiques, ex : traitement chimique des enfants hyperactifs…). Là où il y avait de la croyance divine, il y a maintenant des savoirs scientifiques. Le pouvoir invente ou utilise des techniques au service de l’objectif

symbolique : il est indispensable à ma prise de conscience en tant que citoyen, il est le lien neutre , abstrait et élevé au-dessus de la société vers lequel je peux me tourner en tant que citoyen pour qu’il me représente. Le mouvement social et moral peut etre interprété comme un effort pour surmonter l’abstraction du régime moderne sans aller contre la société moderne. L’Etat doit aujourd’hui garantir l’homme concret avec ses appartenances et identités. Les individus réclament un pouvoir étatique

politique ne s’intéresse plus à une vérité abstraite que l’on trouverait dans le «Ciel des Idées» mais s’occupe du concret des faits et des effets : Machiavel parle dans Le Prince de considérer «la vérité effective des choses»[4]. À partir de ces considérations établies, comment le prince doit-il se comporter ? Ce qui compte pour parvenir à l’obéissance de ses sujets, c’est sa «réputation»[5]. La réputation est le fait d’être connu pour quelque chose. Le prince doit avoir la maîtrise symbolique de son

Kant, Macbeth et l’équivoque du mal Un premier aperçu Que peut-il y avoir d’équivoque chez Kant? Quelle ambiguïté possible dans un système érigé sur le socle d’une légalité a priori structurant tout à la fois la connaissance empirique, l’action morale et la contemplation du beau? Quelle noirceur dans les lumières de cette philosophie moderne et donc éclairée? Il y a, à première vue, très peu de place pour le mal, encore moins pour l’équivoque, dans l’éthique kantienne. Le sujet, rationnel et autonome