Hautbois

que les deux armées." Nous avons ainsi l'impression d'assister a un défilé millitaire plutot qu'a un combat de guerre. Cet impression est renforcer par une liste d'instruments de musique rappelant la aussi la fête "Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie". Cependant l'auteur crée un constraste avec le dernier instrument " canon " qui vient casser le coter optimiste et mettre en evidance la réaliter de la guerre. On peut aussi avoir l'impression que

Des sons graves et lents puis une accélération très progressive du tempo. A chaque séquence, le rythme double de vitesse Apparaît ensuite le thème I aux cors puis aux trompettes. Accélération et montée dans l’aigu. Un autre thème ( flûtes et le hautbois). Un passage plus paisible. Retour du thème I aux trompettes sur un rythme irrégulier, haletant. Crescendo de tout l'orchestre . Le thème 2 éclate aux trompettes et finalement domine l'orchestre. La machine est à l'arrêt, toute sa puissance contenue

familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondentDans une ténébreuse et profonde unité,Vaste comme la nuit et comme la clarté,Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies,Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encensQui chantent les transports de l'esprit et des sens. Correspondances, de Baudelaire,

guerre et ses effets en montrant que la guerre est un spectacle d’épouvante. D’abord, il utilise un champ lexical directement lié au théâtre pour décrire une scène de guerre. Avec l’énumération d’instrument de musique « Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours » (ligne 2), il nous fait sentir la facette spectacle de la guerre. Il emploie même des figures style dont une substitution, soit la personnification : « Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté;

noire de Harlem devrait «Écoutez la mesure battement de votre coeur nocturne, rythme / et le sang du tambour» et «permettre l'écoulement de sang noir dans / de votre sang». « Ecoute New York ! ô écoute ta voix mâle de cuivre ta voix vibrante de hautbois, L’angoisse bouchée de tes larmes tomber en gros caillots de sang Ecoute au loin battre ton cœur nocturne, rythme et sang du tam-tam, tam-tam sang et tam-tam » Ses propres recueils de poèmes Chants d'ombre (1945), Éthiopiques

poème Baudelaire ne fait qu’illustré ces associations appelées synesthésie. Il les illustre, fait des analogies, des points communs. Par exemple « il est des parfums frais comme des chairs d’enfants » relit l’odorat et le toucher, « doux comme les hautbois » relit le toucher et l’ouïe. Baudelaire va encore plus loin et écrit des correspondances entre certain sens et des qualités morales : les parfums peuvent donc être « corrompus, riches, et triomphants » vers 11. Le poète doit mobiliser tous ces sens

borde le puits sombre ? », « Ou le fruit du tuba, de cet arbre si grand/Qu'un cheval au galop met, toujours en courant/Cent ans à sortir de son ombre ? », « Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois/ Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois/Plus éclatant que les cymbales ? », « Que veux-tu ? Fleur, beau fruit, ou l'oiseau merveilleux ? » Auxquelles l’enfant ne répond pas, les remèdes semble ainsi insuffisants ou encore inadaptés. Ses questions sans réponse nous préparent à la réponse

« brillant », « bien ordonné ». On a une accumulation d'adjectifs élogieux renforcée par un adverbe intensif. Cela donne l'impression d'avoir un tableau. Dans la deuxième phrase on a une accumulation d'harmonies auditives: « les trompettes , les hautbois, les fifres, les tambours, les canons.. ». Par humour, il glisse une arme pour tuer dans les instruments de musique, c'est la première dénonciation (les canons). Il présente l'ordre et la beauté alors qu'il s'agit d'une bataille qui donne la mort

être finalement jouée par l’ensemble de l’orchestre dans la coda. Instruments : Le Boléro est écrit pour orchestre symphonique. Parmi les bois, certains musiciens utilisent deux instruments de la même famille : le Boléro requiert deux piccolos, un hautbois d’amour, un saxophone sopranino et une petite trompette en ré. Certains instruments ne sont utilisés que le temps de quelques mesures (saxophone soprano, grosse caisse, cymbales, tam-tam). Il existe 2 thèmes, le thème A : En do majeur comporte seize

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