Hayek Et La Crise

» 2. Les socialismes « utopiques » : des reconstructions sociétales 17 Marx et le socialisme « scientifique » 1. La « microéconomie » de Marx : aliénation marchande et exploitation capitaliste 2. La « macroéconomie » de Marx : l’analyse de la crise comme expression des contradictions de l’économie capitaliste IV 63 63 64 67 67 68 Table des matières 18 La diffusion du marxisme : les épigones 1. Les « orthodoxes » 2. Les révisionnistes et la réapparition d’un socialisme réformiste

qui mène directement au régime totalitaire, où il n’y a pas de liberté du tout. » 1912 Théorie de la monnaie et du crédit 1922 Le socialisme 1949 L’action humaine * Friedrich HAYEK (1899-1992) Prix Nobel 1974 « Nous pouvons peut-être prévenir une crise en contrôlant l’expansion à temps, mais, une fois la crise déclarée, nous ne pouvons rien faire pour en sortir avant son terme naturel. » 1931 Prix et production 1944 La route de la servitude 1973-1976 Droit, législation et liberté VIII

émerge en Allemagne, l'ordolibéralisme de l'école de Fribourg. Ses principaux théoriciens sont Walter Eucken, Franz Böhm, Hans Großmann-Doerth et leurs collègues de l’École de Fribourg-en-Brisgau, ainsi que Wilhelm Röpke et Alexander Rüstow. Face à la crise de 1929, les économistes du monde entier mettent en place une réflexion afin de comprendre les tenants et les aboutissants de la dépression : l’ordolibéralisme, issu de ces débats, se démarque volontairement et systématiquement du paléo-libéralisme

Suite à la crise économique de 2007, l’on a pu assister à un retour des tensions sociales et des frictions entre couches de la population. Les parachutes dorés ont été au cœur de la polémique et dans une telle période de trouble économique les banquiers, grands patrons et traders n’ont jamais été aussi impopulaires. Nous avons pu en effet devenir témoins des incohérences qui régissent notre société : lorsque Alan Fishman président de Washington mutual (WAMu) s’est vu offrir 14 millions de dollars

la situation observée dans un contexte sans changement important; la modification du contexte, c'est à dire de l'environnement économique, politique, social ou autre. Dans le premier cas, l'exemple du début des années 30, consécutives à la "Grande Crise", vient immédiatement à l'esprit, la théorie néoclassique n'ayant pu trouver les remèdes aux problèmes d'emploi et de reprise. Le paradigme keynésien s'est alors imposé, prenant le précèdent à contre-pied sur un certain nombre de points, mais trouvant

le sujet  La pb : 3 questions maximum. • Questions claires, nettes, précises, qui aient du sens. • Les questions doivent s’enchaîner • Les éléments des questions doivent être en résonnance avec les faits de l’accroche (si question sur la crise, dans l’accroche, on doit avoir des éléments sur ces crises : autrement ça vient d’où ?)  L’annonce de plan : ce n’est pas une simple reprise de la pb o ATTENTION : quel n’est pas mon sujet ? (ici : « la sté de c° durant les 30G, « la sté de

Celle-ci craint que l’Etat se retire de l’économie au détriment du rôle social qu’il souhaite le voir occupé. Le marché serait alors libre de toute réglementation et pourrait pratiquer des politiques d’écrémage sur les zones à faible densité. La crise économique débuté en 2008 incite les Etats en Europe à injecté des fonds dans les grandes entreprises clé afin d’évité la dépression économique. La tendance est donc inversée et les politiques économiques keynésiennes sont à nouveau au goût du jour

une marchandise. Cependant, le développement même des relations marchandes et de la logique capitaliste fait apparaître progressivement, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, que le marché autorégulateur est dans une impasse. La Grande Crise des années 1930 sème le doute sur la viabilité même de l’économie de marché, pourtant, au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, un néo-capitalisme (on parle en Allemagne de l’Ouest d’une économie sociale de marché) s’impose dans le monde occidental

1 et la crise Michel De Vroey Un exposé au séminaire Théorie et philosophie économique Economix, Université de Nanterre 5 mai, 2009 Introduction Mon objet de réflexion dans cet exposé est le libéralisme économique, entendu comme une doctrine spécifique quant à l’organisation économique des sociétés, et sa relation au phénomène de crise économique. La motivation qui m’a poussé à aborder ce sujet est mon insatisfaction par rapport à la manière dont la question du libéralisme est traitée. Le défaut

planifie, on ne fera pas comme les Anglais après leur effort de guerre et avec leur Beveridge ou les Français après leur Résistance et avec leur Pierre Laroque. D’ailleurs ça ressemble, en moins cohérent, à ce que faisait le nazisme, écrit Friedrich von Hayek – pas du tout nazi et qui deviendra après Keynes le deuxième économiste le plus célèbre du XXe s.. La décision clé est celle de libérer les prix le plus vite possible : le plus vite possible, faire qu’ils soient fixés par la loi de l’offre et de la