Hayek Et Ses Pensées

l’artifice dans la pensée économique. -la pensée économique des grecs rejoint elle celle de la modernité? -principes et limites de la pensée mercantilistes -origine et développement du concept de la valeur travail -apports et limites de la pensée préclassique -comment évolue la croissance et la répartition dans la pensée classique -principes et limites de la loi de Say - en quoi Marx est il le dernier représentant de la pensée classique -convergences et divergences dans la pensée classique Contrairement

processus de creusement des inégalités intrinsèque au Kisme réapparaissent  reconstitutions des ingé et des classes du point de vue objectif mais rien n’est sur que la conscience de classe va réapparaitre. En effet si le cumul des inéga n’est pas pensé dans le contexte des classes soc : ind vont plutôt agir individuellement pour s’en sortir plutôt que collectivement (mais cela va plutôt renforcer les inégalités…) La manière dont les gens se représentent le monde agit sur ce monde  dimension constructiviste

: d’une part le public choice et d’autres part l’école libertarienne. La contestation de l’impôt est surement aussi vieille que lui-même et la progression de son poids dans les sociétés a poussé le développement des thèses anti fiscalistes. La pensée libérale expose l’Etat providence comme un facteur de rigidification des sociétés. Depuis Tocqueville, les libéraux critiquent la progression continue des taux de prélèvement obligatoire et demande un impôt plus modéré et plus efficace voir même

agents économiques qu’ils soient individus, groupes, sociétés ou autres organismes. L’économie est une science : son objet est de dégager des lois économiques ; exemples de lois économiques (voir polycopiés ci-après « les grands courants de la pensée économique) : La théorie de la main invisible (A Smith) : l’individu, en poursuivant ses buts égoistes, personnels, réalise l’optimum collectif. La loi des débouchés (JB Say) : l’offre crée sa propre demande : les producteurs (par leur offre)

produits par l'économie nationale et mis à la disposition du reste du monde. 4) Macro économie et micro économie La macro économie et le micro économie sont deux champs d’analyse distincts qui servent de base d’analyse pour des courants de pensées opposés (néo-classiques et keynésiens). Macro économie : elle s’intéresse aux grandeurs globales ou agrégées (conso, PIB…) et recherche les relations entre ces divers agrégats et a pour but d’éclairer la politique économique. (Les keynésiens)

selon les libéraux, ou bien prôner l'intervention des pouvoirs publics (Keynes n'a rien à voir ici) afin de faire face aux insuffisances du marché. Les 2 parties du devoir sont donc logiques (et dans cet ordre, puisque l'intervention de l'Etat se pense par rapport aux défaillances du marché, comme vous l'avez vu en première), il n'y a pas à inventer. Attention : certains ont ensuite changé leur plan à cause des docs (parce qu'ils n'arrivaient pas à les interpréter). A éviter !!! 2ème étape :

puis d’en développer les détails et d’en tirer les conséquences. Risque de dogmatisme et enjeu politique Or une telle entreprise de définition univoque court un risque important : celui du dogmatisme, de la réduction arbitraire d’une pluralité de pensées à une seule idéologie. Peuton vraiment circonscrire de façon unifiée un terme dont les acceptions sont pourtant si multiples ? Peut-on déterrer une souche commune à des rameaux apparemment aussi différents que libéralisme économique et libéralisme

le futur. Deux grands courants de la théorie économique ont analysé les relations entre l’épargne et l’investissement. Tout d’abord les classiques et néoclassiques estiment que l’épargne doit être préalable à l’investissement. Au contraire Keynes pense que l’épargne peut être nuisible à l’économie et que c’est l’investissement qui détermine l’épargne. Quel est le sens de la causalité entre Epargne et Investissement ? I. L’épargne, un préalable à l’investissement A. Débat théorique En macroéconomie

et sa spiritualité, il faut que la réflexion spéculative atteigne la substance spirituelle et le fondement sur lesquels elle repose. Une pensée philosophique qui refuserait toute ouverture métaphysique serait donc radicalement inadéquate pour remplir une fonction de médiation dans l'intelligence de la Révélation. »5 Critique libérale [modifier] Friedrich Hayek, dans The Counter-Revolution of Science (rédigé entre 1940 et 1951, publié sous forme de livre en 1952), Karl Popper avec Misère de l'historicisme

stagflation. Cette staglation resiste aux politiques de relances keynesiennes. Friedman assure ainsi que les politiques interventionnistes sont inefficaces et pertubent l’économie. Il prone alors plutot l’autorégulation du marché. -> Hayek. Comme Friedman, il pense que les politiques interventionnistes n’aboutissent à long terme qu’à une staglation. Ainsi : L'injection de liquidités augmente la masse monétaire et donne l'impression qu'il y a création de richesse, mais c'est en fait simplement une