Hazaras

Hassan et son père Ali vivent au fond du jardin, il n’y a aucun échange entre les deux amis. Hassan n’est jamais invité lorsqu’il y a du monde chez Amir, car plus que la richesse, l’origine les sépare. L’un est Pachtoun  sunnite  dominant et l’autre Hazara  chiite. D’ailleurs l’amitié de Baba (père d’Amir) et d’Ali (père d’Hassan) est vue comme une anomalie voire une aberration [le lecteur pressent-il un secret ?]. Là commence l’imbrication entre l’histoire personnelle et celle du pays. Cette haine

La jalousie destructrice du héros Amir. La corruption au détriment de la vie des citoyens par les talibans. L’indifférence paternelle de Baba sur Amir menant celui-ci à impressionner son père. Le dénigrement de la religion des Hazaras par les autres peuples conduisant aux inégalités des races. La peur des citoyens face à la guerre menant à l’isolement de ceux-ci. La paranoïa filiale entre Amir et son père face à leurs différents. La dévalorisation du peuple afghan pendant et après la guerre

Moudjahidines, ainsi que les talibans. Il est intéressant de comprendre qu’il existe plusieurs groupes ethniques afghans, tels que les Pachtounes et les Hazaras, qui n’ont pas nécessairement les mêmes valeurs et qui installent des rapports de force entre eux. Dans le roman, il est facile de comprendre que les Pachtounes sont supérieurs au Hazaras. Il s’agit d’une lutte d’appropriation du territoire. Cette série de conflits a créé à travers le pays un climat de peur. À la suite de cette insécurité

Time period – 1970s to early 2000s B. Place – Kabul, Afghanistan and San Francisco, California C. Time Sequence – The story Is told in order. Around 30 years passes. However, the story is told as one giant flashback. D. Standards of Behavior – Hazaras are considered lower than Pashtuns; one should be loyal to friends and family; one is expected to bring honor to one’s family; men are above women; one should put guests’ needs before one’s own Characters: Amir – The story’s narrator and protagonist

réfugiés est une cause dont je me sens proche et qui est chère à mon cœur. Mon rôle est de parler au nom de cette cause et d’être l’avocat public des réfugiés du monde entier. » | | Amir, un puits à faire le garçon pachtoune, et Hassan, un Hazara et le fils de fonctionnaire père d'Amir, Ali, passent leurs journées dans un cadre paisible à Kaboul, cerf-volant de combat, errant dans les rues et d'être des garçons. père d'Amir (qui est généralement dénommé Baba, «papa», tout au long du livre)

ville, l’histoire se poursuit en tueries et incendies. Le jalon du roman est l’amitié entre deux amis, Amir, fils de Baba, riche commerçant et Hassan, pauvre et serviteur de Baba. Ils sont différents, l’un maître l’autre valet, l’un Pachtoun l’autre Hazara et qui met en avant, autant dans l’enfance que devenus adultes, des valeurs telles que le courage, la loyauté, la bonté et le pardon de Hassan, versus la problématique d’Amir : la jalousie, la trahison, la culpabilité et la rédemption. C’est Hassan

FRANÇAIS, 11E ANNÉE PRÉ-UNIVERSITAIRE ÉCOLE SECONDAIRE CATHOLIQUE DE HEARST Novembre 2012 Les cerfs-volants de Kaboul Amir est un petit garçon pachtoun qui est demeuré toute son enfance à Kaboul en Afghanistan. Il avait un serviteur, un hazaras au bec-de-lièvre, appelé Hassan, avec lequel il a passé sa plus tendre enfance. Rien ne pouvait les séparer, même s’il n’était pas de la même classe sociale. Ces deux jeunes enfants avaient une grande passion qui les reliait, le cerf-volant. Le cerf-volant

are bothering me. Afghanistan is the land of the Pashtuns. We are the real Afghans. Not this flat-nose Hazara. His people pollute our homeland. They dirty our blood. If idiots like you and your father didn't take these people in, we'd be rid of them. (car tyres screeching; he looks behind) Hassan: (pulling his slingshot) please, leave us alone, Agha. Assef: put it down, you motherless Hazara. Hassan: leave us in peace. Assef: maybe, you didn't notice, but there are three of us and two of you

boit de l'alcool. Son père était juge. Il est le vrai père biologique d'Hassan. Ali ' Il est le « père » de Hassan. Lui et son fils vivent dans une cabane à côté de la maison d'Amir où Hassan est né. Il est chiite et membre de la communauté des Hazaras. Les muscles inférieurs de son visage sont paralysés. Il devait à la poliomyélite une jambe déformée et crochue. Il a trouvé sa source de joie lors de la naissance de son fils. Il a été adopté par le père de Baba et il a grandi avec ce dernier. Ses

fils d’un riche Patchoun, Baba, craint et respecté dans la région. Son père est son modèle, peu présent pour son fils, Amir va tout faire pour le rendre fier de lui; quitte à perdre sa dignité en chemin. Et Hassan, son ami, son frère de lait, le fils hazara du serviteur de son père, Ali, prêt à tout pour Amir. Il les fait ensuite vivre, évoluer, leur invente à chacun une psychologie. Et puis un drame, le viol d’Hassan, et la lacheté d’Amir, qu’il ne se pardonnera jamais . Le roman comporte deux «parties»