Hegel Et Le Déterminisme

blanche, impossible à écrire par avance. Le futur échappe à toute connaissance parce que l’histoire laisse place à la liberté insaisissable de l’homme et à la contingence. Dans la nature, les phénomènes peuvent être prévus car ils relèvent de déterminismes mesurables : l’éclipse s’explique à partir des lois de la mécaniques. Par contre, l’avenir de l’homme ne peut être connu avec certitude. La contingence définit le caractère d’un événement qui aurait pu ne pas arriver : il n’est pas nécessaire

avoir conscience a un modèle concernant le comportement qu’un enfant doit avoir selon son sexe, ceci influencera son enfant dans la construction de son identité ce qui conditionnera ses choix et sa volonté. - Thèse de Bergson (concilie liberté et déterminisme) • Au quotidien nous sommes déterminés, des « automates conscients », mais il existe des actes libres exceptionnels qui ne sont pas déterminés, sans entraves et imprévisible. LE BONHEUR - Définition courante • Satisfaction intégrale et durable

ne punit plus un enfant parce qu'on considère qu'il est de toute façon irrécupérable… Comme le dit Hegel : "Le châtiment est le droit du criminel". Donc, c'est le point qu'il faut retenir, la justice issue de l'humanisme républicain insiste sur la restitution de la dignité de la personne, en la considérant comme libre (c'est-à-dire responsable de ce qu'elle a fait, et non pas victime de déterminismes de toute sorte) et égale à toute autre. Soit dit en passant, vous voyez qu'ils s'agit d'une

génie Le modèle romantique Chapitre 1 : Hegel, l’art n’imite pas la nature mais révèle l’esprit 1. Vers un nouveau classicisme 2. Art et histoire 3. la mort de l’art Chapitre 2 : Taine, l’art, écho de la société 1 . La thèse déterministe Biographie 2. Les notions primordiales La race Le milieu Le moment 3. critique du déterminisme Chapitre 3 : Nietzsche, exprimer la multiplicité

prend sens que lorsqu’on l’examine sur un temps long. D’où la célèbre phrase de Hegel qu’on trouve dans les Principes de la philosophie du droit: « La chouette de Minerve ne prend son envol qu’à la tombée de la nuit » (Minerve étant la déesse de la sagesse). Si tel est le cas, l'histoire peut nous enseigner maintes choses, dont le fonctionnement de l'évolution des sociétés. Conscients de cette forme de déterminisme, nous pourrions agir sur les causes pour obtenir les effets désirés et orienter

définissent en réalité un domaine d'action où la liberté peut exister, ce qui est tout autre chose. • Une critique déterministe : s'abandonner à ses désirs, n'est-ce pas leur obéir, et dès lors un tel abandon ne relève-t-il pas d'une forme déguisée de déterminisme ? Nous serions alors victimes d'une illusion de libre arbitre : nous aurions une fausse conscience de la liberté de notre volonté parce que nous ignorons les véritables causes qui nous font agir. Ainsi, Spinoza écrit dans L'Éthique : « Telle

morale. Date de la révolution 1776 aux USA et 1789 en France. L’objet politique s’autonomise de l’économie à cette époque. Problèmes économiques au départ qui ont fait émerger une conscience politique (classe bourgeoise pendant la RvFr). Friedrich Hegel distingue l’autonomie de l’objet politique par rapport à d’autres considérations ! Apparition d’une administration moderne : personnel qui administre (routes, sécurisation du territoire, impôts) donc commence à se construire le droit administratif

plus radicale, menace mon identité profonde, fondamentalement il fait obstacle à l’affirmation de mon vouloir vivre égocentrique. * Ego : un autre moi, un autre « égo » mon semblable, nous partageons des conditions d’existence similaires. Déterminisme corporé, sexué, psychologique, socioculturel. Première médiation qui fait d’autrui un égo avec qui je peux communiquer : le langage. Autrui m’apparait comme une énigme parce qu’il conjugue deux réalités opposées : c’est l’énigme de l’altérité

elle-même ne porte pas sur un objet qu’on expérimente dans l’action ? Enfin, si cette conscience de soi, si elle est possible, ne permet-elle pas d’agir en «  connaissance de cause », en maitrisant ce que l’on n’est capable de faire sans subir des déterminismes ? Autrement dit, la conscience de soi rend-elle plus libre ? 1-      Avons-nous un libre accès à la conscience de soi ? A-    un «  moi » qui est multiple La question « Qui suis-je ? » peut sembler insolite dans la mesure où, au-delà du simple

(autre que moi : ≠ ; autre moi : même) limite : restriction condition : nécessaire et/ou suffisante liberté : absence de contrainte, faire ce qui me plaît (/désir), ce qu'on veut (/volonté, libre-arbitre, obligation, autonomie), connaissance des déterminismes Problème : rapport entre autrui et ma liberté de sujet Problématisation : Spontanément autrui semble s'opposer à ma liberté, poser des limites à mon désir. Mais cette définition de la liberté comme absence de contrainte me condamne à une