Hegel Et Le Déterminisme

connaissance scientifique fera l'objet du deuxième point de notre chapitre. Au deuxième chapitre, nous aborderons « l'esprit scientifique, savoir méthodiquement fondé » en analysant les concepts comme « épistèmè », « rationalisme », « réalisme », « déterminisme » et « indéterminisme ». Nous chercherons à voir comment le savoir scientifique se démarque de la connaissance ordinaire, de la connaissance naïve. Le troisième chapitre traitera de « l'esprit objectif comme lieu d'émergence de l'esprit scientifique

extérieures est déjà inscrit dans les premiers penchants de l’enfant ; le petit garçon qui jette des pierres dans le torrent et admire les ronds qui se forment dans l’eau admire en fait une oeuvre où il bénéficie du spectacle de sa propre activité". HEGEL. Esthétique (1832) D'un point de vue technique, on distingue deux types de conscience. La conscience immédiate est assimilable à la perception et correspond à être conscient de ses actes et du monde qui nous entoure de façon spontanée. La conscience

réseau de dépendance multiple. Cet État ne s'oppose pas comme un mur face au volontés des citoyens mais il canalise l'action des citoyens par un réseau de règles qui ne se font pas sentir mais auxquelles le citoyen se plie plus surement. Pour Hegel, le libéralisme est le régime le plus fort car il ne tente pas de réduire les différences qui se trouvent dans la société civile mais s'y adapte. Les citoyens ne se trouvant pas confronté à une loi qui serait contraignante, ne songeront pas à ce rebeller

1950, p. 7).) vhj bg Au moment ou la connaissance du globe, de la terre, sont repoussées à leur limite, est ce la fin de la géographie ? Au contraire, la philosophie des Lumières, va y apporter un vent de renouveau. Nota en Allemagne. Kant puis Hegel, vont souligner l'importance de la connaissance du milieu pour connaître l'homme. Ainsi la géographie physique, permettrait de comprendre la géographie supérieure, celle politique par exemple. Car le milieu détermine la société. On a donc un renouveau

d’insolubles contradictions. Présence conjointe d’une rupture et d’un lien causal entre les deux niveaux d’engendrement du phénomène, ce que nous avons pu inscrire dans le couple continuité/discontinuité, effets non proportionnels à leurs causes, déterminisme des règles d’engendrement contre imprédictibilité du résultat, irréductibilité du tout par rapport aux parties qui le constituent néanmoins, les différents paradoxes constitutifs de l’émergence semblent ainsi résister à la logique traditionnelle

l’humanité = la pensée, recul entre soi et soi-mm, nous dégage de tte immédiateté, impossible prégnance du corps, interdit l’inconscience, distingue hme/nature - Double existence de l’hme : matérielle, phénoménale (facticité, déterminisme physique) Nouménale : pour soi (Hegel)= réflexivité, être doté d’esprit, capacité d’introduire entre lui et tte autre chose la pensée (Pascal) ➢ Analyse du pouvoir de dire JE (Kant) - représentation de l’hme à lui-mm (dématérialisation au profit d’une pensée

production. Décrire le mode de production capitaliste, décrire la modernité. La description du capitalisme est un enjeu pour son dépassement. Forme d’ambition scientifique : discute avec d’autres disciplines. (Philosophie : se positionne par rapport à Hegel, économistes classiques : à la fois dans leur continuité et à la fois dans leur critique). Ambition politique : il ne cherche pas simplement à décrire mais aussi à transformer le monde. B. Concepts et méthodes Il propose une démarche en termes de matérialisme

nature naturante, c'est-à-dire les divers modes par lesquels s'exprime cette substance Introduction : Michel Foucault disait des sciences humaines qu'elles avaient signé la « mort de l'homme ». En effet l'homme est comme un objet soumis à des déterminismes de toutes sortes, les sciences on ramené l'homme au niveau de tout objet de la nature et ont tué l'idée de l'homme surnaturel. L'idée que l'homme à une nature implique qu'il agit, existe, se comporte, conformément à cette nature. C'est pourquoi

s’interroger par là sur le statut de l’image, car l’art est de l’ordre de la représentation, de l’ordre du sensible. Il se donne à entendre, à voir… I- De l’art religieux à la religion de l’art ou de l’artiste… II- L’histoire de l’art selon Hegel Puis nous partirons de l’art contemporain, qui met en question le statut de l’art, et nous poserons quelques grandes questions qui intéressent la réflexion philosophique sur l’art : - il relève souvent du hasard, et non du savoir-faire (d’ailleurs

l'admiration et le plaisir, mérite-t-elle encore, le nom d'oeuvre d'art? Ce problème étant posé, comment définir la création artistique? Les sciences humaines, en particulier la sociologie et la psychanalyse, lorsqu'elles expliquent la création par des déterminismes sociaux ou affectifs, privent par là même la subjectivité de sa liberté souveraine dans le jugement esthétique. Si la création relève des pulsions, dans quelles conditions peut-elle être l'objet d'une reconnaissance universelle? Si le sentiment