Hegel Introduction Esthétique

Introduction : Pour que l’histoire et les historiens apparaissent il faut : Des traces (stocks), + en Egy. Non inertes : désir de s’exprimer. On étudie l’histoire à partir du 3ème av JC car écriture sur divers supports. Avec l’histoire on se rend compte de ce qui change. Où cela s’est t-il passé ? - Avec les juifs: en pensant qu’ils sont la création de Dieu. - Puis la Grèce : (1200-700 av JC): à la place des rois descendant de Dieu, arrive la cité : les hommes prennent en charge la

02/10/2014 Introduction à l’histoire de la philosophie politique fredgold@outlook.com Examen en 4 parties : -définitions 4pts -Restitution (réponse en 4-5 lignes sur des détails du cours) 4pts -Comparaison (2 auteurs) 6pts -Réflexion (extrait de texte à lire et proposer qui a pu écrire ce texte et justifier) 6pts En général on commence à parler de philosophie politique à partir du XVIe. On commence cependant au V av.JC avec la pensée grecque. Qu’est-ce que la Philo ? -Philia (l’ami)-sophia

LA TRAHISON DES CLERCS, de Julien BENDA (1867-1956) Collection Les Cahiers Rouges, Editions Grasset, Paris, 2003, pages 49-333 de 334 pages. Première édition, collection Les Cahiers Verts, Grasset, Paris, 1927. [L’édition de 2003 contient une introduction d’André Lwoff, pages 9-27, et un avant-propos d’Etiemble, pages 29-47] Polices de caractères utilisée : Verdana, 12 et 10 points. Mise en page sur papier format LETTRE (US letter), 8.5 x 11’’ [note : un clic sur @ en tête de volume et des chapitres

par : BENAGUID Mohamed Deuxième année G : 2 N° 2537 Année universitaire 2011/2012 ------------------------------------------------- SOMMAIRE I.  Remerciement………………………………………………………………………….3 II. Introduction générale…………………………………………………………………..5 III. Chapitre premier : la Compagnie assurance transport…………………………….. 6 1. Historique……………………………………...............................................................................................

elle évalue, elle est comme un juge intérieur évaluant ce qui est : les faits, les actes et même les pensées d’après ce qui doit être, c’est-à-dire d’après des valeurs ou des normes qui peuvent être morales, religieuses politiques, juridiques, esthétiques, etc. On peut donc se demander s’il faut vraiment séparer cette conscience psychologique et cette conscience morale. Ne serait-ce pas en fait une distinction illusoire ? Toute conscience, nous avons dit, est un certain écart par rapport à ce qui

d’inspiration parnassienne dans La Jeune Belgique. Il part à Paris où il rencontre plusieurs écrivains qui vont l'influencer, dont Stéphane Mallarmé et Villiers de l’Isle-Adam. Ce dernier lui fait découvrir les richesses de l'idéalisme allemand (Hegel, Schopenhauer). À la même époque, Maeterlinck découvre Ruysbroeck l'Admirable, un mystique flamand du XIVe siècle dont il traduit les écrits (Ornement des noces spirituelles). C'est ainsi qu'il se tourne vers les richesses intuitives du monde germanique

produisons. Nous prenons alors conscience de nous même et nous apprenons à nous connaître, non pas immédiatement par une réflexion sur soi ( introspection ) mais médiatement par nos propres création, par la transformation que nous imposons au monde. HEGEL Texte 2 p 24-25 L'homme contraire à un objet se dédouble et va se connaître lui-même au travers des œuvres qu'il produit, il s'extériorise. 2 manières différentes de prendre conscience : Théoriquement qui correspond à l'introspection Pratiquement

partager, faire des rencontres, en faire son métier, elle peut être source de motivation :· Pour l’action : ça va être un moteur Hegel « rien de grand dans l’histoire ne s’est accomplie sans passion » seuls les passionnés accomplissent de grandes actions car ils focalisent leur attention sur un seul point. Tous les passionnés ne font pas forcément de grandes choses. D’après Hegel, ce sont ces passions qui font avancer l’Histoire, celle-ci se nourrie des passions individuelles.· Pour la connaissance : le

la polémique dont Jacobi est l’initiateur contre le rationalisme de l’Aufklärung préfigure assez bien le conflit qui opposera Kierkegaard, défenseur de l’individu que le miracle de la foi (« le saut mortel ») et de la conversion rend unique, contre Hegel, qui ne reconnaît d’autre réalité que celle établie en raison et par conséquent fondée dans l’universel, et non dans le singulier. Tandis que Mendelssohn défend une religion universelle et cosmopolite, Jacobi parle au contraire au nom d’une foi irréductiblement

séparés ou isolés (ils vivent plus “côte-à-côte” qu’ensemble), donc non coordonnés, non-complémentaires, non unis en quelque sorte, si ce n’est à travers leur commune indépendance à l’égard de tous les autres, qui ne fait un guère de lien véritable...Introduction à la première partie Démocratie de Tocqueville : · Point de départ : Nos sociétés occidentales se comprennent selon Tocqueville comme des sociétés qui sont travaillées par un processus