Hegel On Dit Volontier

tristesse et colere soient liees. Il se sent depossede de son etre par la betise et la colere nait de ce sentiment de depossession. La betise est <<ce quelque chose d'infini qui vous separe de votre propre personne et vous rive au non-etre,>> dit Flaubert. Ce quelque chose d'infini s'insinue en soi et c'est alors qu'on s'echappe de son etre, qu'on se perd. Ainsi Flaubert experimente-t-il la betise comme fascination. Nietzsche parlerait, a propos du meme sujet, de <<pesanteur>> et

des principes économiques. Il y recommande, là aussi, une stricte limitation des pouvoirs de l’État. Le Hollandais Bernard Mandeville, dans sa Fable des abeilles (1705), remarque en effet que « les vices privés font la vertu publique », autrement dit que le meilleur moyen de promouvoir le bien commun est que chacun continue de poursuivre ses propres intérêts. Il prend l’exemple d’un libertin : s’il agit par vice, reste que « sa prodigalité donne du travail à des tailleurs, des serviteurs, des

simple médiateur, neutre et sûr, des pensées, dans le cadre d'une relation désintéressée, il n'en demeure pas moins qu'elle se manifeste souvent comme un moyen redoutable, non du commerce d'idées, mais du succès social. L'on peut dès lors concéder volontiers à Locke le fait que la parole est un truchement de la pensée, mais n'est-il pas tout à fait légitime de dire que cette même parole trahit la pensée et va au-delà de la simple communication? Le Phèdre de Platon, Les Fausses Confidences de Marivaux

sera celui de Raymond Boudon. Commençons par cette sociologie descendante qui correspond aux paradigmes holistes. Avec l’individualisme on est dans la logique du contrat social, que l’on trouvera par exemple chez Montesquieu consiste en une fable qui dit qu’à l’origine les individus vivaient isolés et qu’un jour ils ont abandonné cet état de liberté naturelle ou une partie de cet état pour faire société à condition bien sûr que cette société leur garantisse ce qu’on appelle aujourd’hui les droits de

l'histoire comme le progrès parallèle du savoir, du bonheur et de la vertu. Selon cette présentation habituelle, ces traits constituent un horizon de pensée partagé par les principales philosophies de cette époque, malgré leurs différences. Comme le dit Taine dans les "Origines de la France contemporaine": «Aux approches de 1789, il est admis que l'on vit dans le "siècle des Lumières", dans l'âge de raison, qu'auparavant le genre humain était dans l'enfance, qu'aujourd'hui il est devenu majeur.»

profanation. Les règles sacrées servent à ce que les dieux restent à distance. La saleté est un danger ds les 2 sens car elle peut mettre l’individu en contact avec les dieux. (Sacer) (Kaddosh signifie Dieu mais aussi une idée de séparation) Harper dit que ds différentes situations les havik de Malnad font des actes qui polluent et qui sont des profanations mais que dans d’autres circonstances, ces actes sont synonymes de respect. (idée brahmanique que la partie la plus impure de la vache est suffisamment

poésie occidentale : le classicisme (conception rhétorique de la poésie, la poésie ne dit rien d’autre que le langage ordinaire, mais elle le dit avec un agrément supérieur), un deuxième courant avec lequel la poésie inverse les propriétés rationnelles du langage (elle communique ce que le langage conceptuel ne saurait traduire), et enfin un troisième courant qui met l’accent plus sur le jeu du langage que sur ce qu’il dit, où le langage attire l’attention sur lui-même plus que sur le sens qu’il peut porter

discrètement dans l'histoire de la pensée une question à laquelle la philosophie moderne n'a pas été capable de répondre, mais dont elle n'est jamais parvenue à se débarrasser. Et sous des formes diverses, voilà deux siècles maintenant qu'elle la répète. De Hegel à Horckheimer ou à Habermas, en passant par Nietzsche ou Max Weber, il n'y a guère de philosophie qui, directement ou indirectement, n'ait été confrontée à cette même question : quel est donc cet événement qu'on appelle l'Aufklärung et qui a déterminé

Sommaire Thèmes : l’esthétique et la critique L’ESTHÉTIQUE……………………………………………………….…………………...4 Hume…………………………………………………………………………………………7 Baumgarten………………………………………………………………………………… 9 Kant………………………………………………………………………………………....14 Hegel……......……………………………………………………………………………….21 Nietzsche……………………………………………………………………………………22 Valéry……………………………………………………………………………………….24 Bourdieu…………………………………………………………………………………....25 Timothy Binkley……………………………………………………………………………30 LA CRITIQUE……………………………………………………………………………

successivement à partir du texte les idées de représentation, de personne et d'unité. La représentation• Continuellement, des choses se présentent à moi dans le monde et ces mêmes choses, je me les représente dans ma pensée comme dans un miroir. Autrement dit, entre moi et le monde, il y a la représentation. Je n'ai pas directement accès au monde mais à ma représentation du monde. La personne • Être conscient de soi, c'est être une personne. Le mot « personne » est issu, via le latin