Hegel Tout Ce Qui Est Réel Est Rationnel Tout Ce Qui Est Rationnel Est Réel

constats opérés ne permet de conclure à un lien nécessaire. Ce n’est que par habitude qu’on peut admettre la causalité de certains phénomènes. A cause de son empirisme, le lien causal n’est que le résultat d’un enchaînement de phénomènes qui pourrait tout fait être différent de ce qu’il est. Ce questionnement, dans sa justesse, va susciter l’interrogation et le mouvement de la philosophie kantienne. Du point de vue de la sensation, je ne peux que confirmer des enchaînements d’évènements contingents ;

Malgré l'imperfection de nos sens, nous avons accès à une partie de la réalité qui nous entoure. Néanmoins, nous n'entendons pas toutes les fréquences, ne voyons pas dans le noir, et parfois ce que nous croyons voir n'existe pas : alors que je regarde le reflet de mon visage dans un miroir, je crois que l'image qu'il me renvoie est mon visage, alors que je sais qu'il est inversé et peut-être même déformé. Ainsi chaque jour, nous expérimentons les erreurs, défaillances sensorielles et illusions. Nous

L’inconscient - Le désir - L’autrui - La première personne est la manière particulière de parler à soi-même et de soi-même. Cette question est d’abord apparue sous forme de confession (journal intime) avec Augustin, Rousseau et tout les romantiques. (cf : cours sur la dialectique). - La réflexivité c’est la réflexion consciente, il y a deux aspects : * La construction de soi par sois c’est-à-dire que chacun de nous deviens de lui mm (de : c’est nous qui vivons ceci de cette

Il est vrai que le désir de boire quand on a soif semble légitimer l'association besoin / désir : je désire ce dont j'ai besoin (= de l'eau)... mais : 1. Jusqu'à un certain point seulement, car je peux aussi désirer ce dont je n'ai nul besoin réel : le besoin est en quelque sorte "réaliste", tandis que le désir implique une vie imaginaire. Le désir, d'ailleurs, se renouvelle et prend des figures sans cesse changeantes − tandis que le besoin tend à se répéter à l'identique : contrairement au

(je suis conscient de ce que je vois en même temps que de voir) ; d’autre part, elle nous donne le sentiment d’être un moi singulier (le sujet s’affirme en s’opposant à tout ce qui n’est pas lui-même). 2 Situation et conséquences du cogito cartésien La pensée présente à elle-même Pour échapper à l’erreur, Descartes suspend tout jugement par un doute « hyperbolique ». Il met fin à ce dernier en découvrant la première vérité indubitable : le « je pense donc je suis ». L’existence humaine est ainsi

général, s’attachent à l’Ordre Universel et divin du Cosmos. Pour les Grecs, la Loi s’est d’abord affirmée comme écrite mais les Grecs reconnaissent l’existence de règles qui ne sont pas consignées dans les textes mais dont la prégnance est réelle et souvent forte. Ces règles se rattachent soit à l’autorité divine soit à un idéal éthique, ce qui introduit la dimension morale. On peut considérer que si les Grecs reconnaissent les Lois non écrites, cela montre une limitation, une insuffisance

qu'entretiennent les mystiques avec le Christ. * Plus l'homme est repéré par son versant rationnel, plus la passion apparaît dangereuse. Il convient alors d'en calculer un bon usage. C'est ce qu'entreprend Descartes dans Les Passions de l'âme (1649). S'appuyant sur un dualisme strict, qui distingue les passions provenant du corps et de ses "esprits animaux" de celles qui appartiennent à l'âme, Descartes, tout en affirmant que les passions sont utiles au corps et déterminent l'appréciation du bon ou

vérité existant, c’est-à-dire le réel. Les rationalistes croyaient pouvoir atteindre le réel par la raison. Contrairement à eux les empiristes considéraient l’expérience comme la seule moyenne sûre capable de refléter la réalité. On se demande si l’esprit est un miroir du réel. On entend par l’esprit, la raison, les pensées, le jugement. Le réel représente le monde, il est universel. L’esprit est-il suffisant pour former une image du réel ? Comment l’esprit et le réel sont liés ? L’expérience est-il

puis je être sûr que le simple fait de refuser quelque chose prouve qu'il s'agisse de l'expression de ma volonté? PLAN I Dire non comme expression existentialiste A- Le fait de refuser ce qu'autrui pourrait m'imposer est le résultat d'un choix rationnel. En effet, la tendance instinctive est de se laisser faire, dans le sens où l'on ne s'extériorise pas donc on exprime pas sa volonté. Le consentement est alors implicite, car on n'oppose aucune résistance Condillac, Traité des animaux "Je veux

savoir ce qui constitue encore le propre de l’Homme. Selon lui, deux autres caractéristiques définissent l’homme et lui appartiennent : sa nature politique, et sa nature rationnelle. Ainsi la parole ne serait que la conséquence de ces deux caractéristiques ? La parole ne constitue-t-elle pas une faculté qui dépasse les autres tout en les fondant ? l’Homme, animal politique vit dans la parole. Tandis que les animaux peuvent utiliser les sons de la voix pour exprimer la douleur ou le plaisir