Hémistiche

courants dans la poésie française : - L’alexandrin : il tient son nom d’un poème sur Alexandre le Grand. C’est un vers de douze (12) syllabes. On distingue : . l’alexandrin classique (ou tétramètre) : il se divise deux hémistiches séparés par la césure // . Chaque hémistiche compte six syllabes. Exemple : «  Nous partîmes cinq cents // mais par un prompt renfort Nous nous vîmes trois mille // en arrivant au port. » Corneille.

Mise en place de l’analogie entre le roi et le poète tous deux maîtres d’un royaume sinistre ; vers l’effacement du « je » poétique (v. 1 à 4) · Le poète est présent dès le premier mot du 1er vers, il affirme son état dans un hémistiche puissant de 6 syllabes qui affirment par la comparaison « je suis comme le roi », avec le mot roi à la césure, la puissance du « je » comparé au « roi », déterminé par l’article défini « le » , ce n’est pas « un » roi,

[t] : Qu’as-tu tant à te plaindre? (vers 13) et que ne te tiens-tu coi ? (vers 14). .la réplique du cochon, mise en valeur par un rejet (vers 18) et le parallélisme antithétique des deux hémistiches de ce seul hexasyllabe de la fable (Il est sage. - Il est sot), expose une argumentation de qualité et le fait paraître raisonnable. L’exemplum se termine sur l’apparente supériorité du raisonnement du cochon.

qu’à notre époque où la comparaison avec le Sahara n’est plus possible. « Vrai Sahara français » : image apposée à Landes. Rythme : alexandrins, rimes croisées. Majestueux. v.1 3/3/3/3 rythme régulier et majestueux : voyage. v2. hémistiche. v3. hémistiche- opposition herbe sèche/eau verte. v4 : surprise : quelle est cette plaie ? 2ème Strophe : Commence par « car », elle va donner une explication, elle va expliquer la « plaie ». Le symbole se dégage petit à petit. Il y a un

partie (hemistiche) du vers 3) fait de chacun d'eux une étape importante et décisive de l'itinéraire. Ils ponctuent le texte en soulignant une volonté que rien ne saurait arrêter. C'est précisément cette détermination, et la manière de voyager, qui font apparaître ce voyage non comme un simple déplacement, mais comme un itinéraire sentimental.  II)Immortalité de la poésie A) Relation effective entre Je/tu Elle apparaît dans l'interpellation affectueuse qui termine le premier hémistiche du vers

sont-ils semblables ? Quelle image Beaudelaire donne-t-il de lui dans ce poème ? (l'albatros plus grand oiseau des mers) I – La rencontre tragique 1)Les étapes Q 1 – capture des albatros par les hommes Sujet albatros par équipage, accentué et hémistiche Entre vers1 et vers 2 enjambement donc attente. Albatros mouvement vertical (prennent) contre horizontal (suivent) Antithèse entre compagnons de voyage et équipage. Ø = mais albatros < Mouvement mis en avant par allitération en « s » Q2

par des phénomènes d'assonance en "é" et en "a" et d'allitération en "v". Des rimes à l'hémistiche viennent encore affaiblir la rime essentielle dans le poème classique ( vers 1). Le premier hémistiche du vers 1 rime avec les hémistiches des vers 6 et 13. Le premier hémistiche du vers 2 rime avec les hémistiches des vers 4 et 7. Une mélodie monotone s'installe. Conclusion Ce texte illustre certaines règles romantiques : expression des sentiments et des sensations, expression du cosmos. Il met

mourir. Cette seconde partie se divise en deux mouvements inégaux. Des vers 20 à 29 nous avons le refus du vieillard de suivre la mort qui se découpe elle-même en deux parties : du 2ème hémistiche du vers 21 au premier hémistiche du vers 24 nous avons un discours indirect libre suivi dans le 2e hémistiche du vers 24 au vers 29 par un discours direct où le vieillard s'adresse directement à la mort. Il exprime son refus dans une plainte où il expose ses griefs. La mort vient trop vite, il n’a

d’agoniser, ils le suivent à la trace. Idée d’une poésie de la cruauté, de la blessure, la plaie. Sang très présent dans l’œuvre d’Apollinaire. Dans le poème « Chantre » p36, il y a une césure, « Et l’unique cordeau (premier hémistiche) // des trompettes marines (deuxième hémistiche) ». Chantre = soliste dans les églises, maître de chœur. C’est aussi un poète épique ou lyrique. p146 : « du Thrace magique. O délire ! » Orphée était ce Thrace, et Homère était le chantre d’Ionie. Dans « Chantre » Apollinaire

d’éternité illustrés par cette union des (v.7) Mains dans les mains » rappelle des moments inoubliables et hors du temps. D’où cette construction symétrique constituée de deux métaphores lexicalisées (expressions ou images figées) dans le 1er hémistiche et le 2nd hémistiche « Les mains dans les mains (1er hémist.) / restons face à face (2nd hémist.) » = l’image de l’amour éternel est marquée par l’union du regard et des mains = à partir d’une expression métaphorique qui relève d’une grande simplicité et pureté