Hémistiche

Volte). Il revient à la réalité en constatant une brûlure sur son pouce (2nd tercet - Pointe). On se demandera comment le poète parvient à ironiser son ennui par la poésie.1er quatrain :· Le 1er hémistiche marque le désespoir du poète, le monde est ennuyeux et monotone. Dans le 2ème hémistiche, on a affaire à un poète athée qui refuse toute croyance à l’au-delà, cette idée est marquée par l’emploi du mot « sornettes » qui signale une critique religieuse dès le 1er vers.· Dans le second vers

Lecture linéaire n°2 :« Le crépuscule », L’Ame en fleurs, Livre 2 : Les Contemplations , Victor Hugo Introduction : Il s’agit du poème « Le crépuscule », de Victor Hugo datant de 1856. Ce poème se situe dans la première partie des Contemplations, « Autrefois », dans le livre « L’Ame en Fleurs ». Il s’agit d’un poème composé de 7 quatrains en rimes riches. Ce poème est un souvenir amoureux.LectureAnnonce problématique :En quoi ce crépuscule présente la

le doux masqu//(e) aspirant/ une fleur (= 1/3-1//3/3) - Verlaine - I.2.3.1. Rythme et limites métriques Le découpage rythmique opère à l'intérieur des limites métriques (à l'intérieur du vers et des hémistiches) et ne forme de mesures rythmiques ni d'un vers à un autre, ni d'un hémistiche à un autre, même si le sens incite à d'autres regroupements. Bérénic/(e) à mes vœux // ne serait plus/ contrair(e) (= 3/3//4/2) - Racine - Cependant certains vers font exception à partir de Victor Hugo

des paysages • Rythme (vers 3) : deux hémistiches, rythme binaire => redondance. • Chemin de pèlerin : épreuves, à pied jusqu'à Harfleur ! C. L’énonciation : la présence du poète par le « JE » • Pronoms personnelles : « je marcherais » « moi » • Détermination du poète : - Je partirais - J’irais futur + marque la progression du voyage sans pause, verbe placé en - Je marcherais évidence après ou avant hémistiche - J’arriverai (ce voyage à

- On retrouve toujours la même structure : sujet + verbe + complément. C’est régulier, répétitif. « Flambeau » : métaphorique, qui va s’éteindre un jour. - Du général au particulier, v. 1 à 14  processus d’anéantissement - 1ère hémistiche vers 1 et 2ème hémistiche vers 14 sont identiques : structure circulaire en boucle qui peut symboliser la fatalité de la mort. - Rimes masculines : syllabes accentués ; rimes embrassées, suivies et croisées (cf. fiche sur les rimes)  montre le désordre.

chagrin de la séparation. L'indifférence à tout ce qui n'est pas la pensée de la bien-aimée met en relief la profondeur d'une relation sentimentale qui justifie un tel voyage.  Elle apparaît dans l'interpellation affectueuse qui termine le premier hémistiche du vers 2 ("vois-tu") et dans le rapprochement "je"/"tu", très affirmatif, ("je sais que tu m'attends") ou négatif ("je ne puis demeurer..."). Le premier quatrain souligne par un jeu d'alternance entre "je" et "tu" (v. 2, v. 4) une double certitude

On peut donc imaginer qu'elles peuvent symboliser l'invasion sournoise et implacable de la vieillesse . B) Rapidité Proximité entre la vieillesse et la mort Les mots sont tres prôche puisque vieilllesse apparaît au 1er hémistiche du V2, et la mort au 1ere hémistiche du V3 . Ds la rime entre sentir/ partir on a ici un raccourci frappant, saisissant de cette accéleration: à peine commence t'-on à sentir la vieillesse qu'on doit partir V5/ 6 = comparant : = Soleil represente vie de l'homme

v1 chaque animal se trouvait rejeté aux extrémités de l’alexandrin alors que dans le vers 2, ils se trouvent dans le même hémistiche : le chat par le verbe dont il est le sujet et le moineau par le pronom « lui ». le v3 achève de les réunir de façon nette : « cage » et « panier » désignent par métonymie les 2 animaux et ces 2 derniers se trouvent dc encore dans le même hémistiche. De plus, les 2 subst st coordonnés et sujet d’un même vb. L’identité est même évoquée dans « mêmes pénates ». Ainsi ces

l'humour noir par un décalage entre la métaphore culinaire et la torture subie par le Loup : "D'un loup écorché vif appliquez-vous la peau". Et il y a décalage aussi entre la cruauté du dépeçage du Loup vivant dans le premier hémistiche et le ton didactique neutre dans le second hémistiche. "On écorche, on taille, on démembre" présente la torture comme un acte culinaire. La rime entre "beau" et "peau" dans "appliquez-vous la peau" et "Le secret sans doute en est beau" souligne l'ironie. Donc, cette torture

s’opposent entre les vers (par exemple entre les vers 580 et 582 : « A connaitre un pourpoint avec un haut de chausse. Les leurs ne lisaient point, mais elles vivaient bien ; Leurs ménages étaient tout leur docte entretien, ») mais aussi entre hémistiches (comme dans le vers 583 « Et leurs livres, un dé, du fil et des aiguilles, »). Cette opposition sert à montrer que Chrysale ne comprend pas pourquoi sa femme Philaminte, sa sœur Belise et sa fille Armande ne se comporte pas comme de simple « femme »