Hémistiche

l’effort de la tempête », « tout me semble zéphyr », « je couvre », « je vous défendrais ». Il se prend pour le protecteur des soi-disant plus faibles que lui. Il se montre arrogant, en appuyant fortement sur cet aspect.On trouve aussi un hémistiche au vers 10. Un hémistiche est la moitié d’un vers ; dans ce cas c’est un alexandrin, marqué par une césure. La césure marque l’opposition entre le chêne et le roseau : « Tout vous est aquilon, tout me semble zéphir ». Un aquilon est un vent du nord impétueux

un nombre de syllabes qui s'allonge = renforce longueur et pénibilité. + 'éternellement' . → v.6 : travail comparé à une prison. Même mouvements + 'accroupis' → v. 9 : 'bagne' parallélisme de construction entre les deux hémistiches. Antinomie dans chaque hémistiche (termes qui s'opposent). → v.10 : Rejet de 'ils travaillent' = inhumanité. Le travail n'a pas la fonction qu'il doit avoir. Personnification 'souffle étouffant' v.18. + v.22 : image : montre que le travail transforme, détruit

highlighting certain qualities of a character. Looking at Phèdre’s opening ‘rant’, one may notice that she shifts grammatical tenses from present to imperative as she gives Oenone the order “Chache-moi bien plutôt” in the first hemistich of line 740. The second hemistich however “je n’ai que trop parlé” contrasts the former in its use of the passé compose. These different tenses give insight into Phèdre’s psyche; although she admits her own actions with the use of the passé compose, she states that

| | |Aux XVIIe siècle, le vers classique supportait deux accents : l'un en son milieu qui est la césure et l'autre à sa fin qui est la rime. Ces deux | | |accents divisent le vers en deux parties qu'on appelle hémistiches. Mais au XIXe siècle le vers ne supporte plus de césure. | | |Exemple : | | |Un jour

- On retrouve toujours la même structure : sujet + verbe + complément. C’est régulier, répétitif. « Flambeau » : métaphorique, qui va s’éteindre un jour. - Du général au particulier, v. 1 à 14 -> processus d’anéantissement - 1ère hémistiche vers 1 et 2ème hémistiche vers 14 sont identiques : structure circulaire en boucle qui peut symboliser la fatalité de la mort. - Rimes masculines : syllabes accentués ; rimes embrassées, suivies et croisées -> montre le désordre. II. Le texte propose une

compléments circonstanciels occupant le deuxième hémistiche énumèrent (approximativement de haut en bas, selon une logique descriptive caractéristique du genre du "blason") des parties du corps féminin : les "oreilles", le dos (de ta "nuque" à tes "reins"), les seins ("mammes" est un néologisme, synonyme élégant de "mamelles", tiré du latin "mamma"), le "flanc". Si l'on excepte le vers 4, le groupe sujet-verbe-attribut qui occupe le premier hémistiche de chaque alexandrin adopte le ton de l'éloge.

l'automne Commentaire Ce poème aligne trois strophes irrégulières formées successivement de sept vers, de cinq vers, de trois vers, des vers aux rimes suivies qui sont pour la plupart des alexandrins, certains étant cependant formés de deux hémistiches (vers 2 et 3), d’autres, légèrement plus longs (vers 6, 8, 9, 10, 11, 12, 14), pouvant avoir douze syllabes, au prix de quelques élisions audacieuses (par exemple : «Qui batt(ent) comme les fleurs battent au vent dément», mais que l'on peut également

premier vers « Où suis-je ? Qu’ai-je fait ? Que dois-je faire encore ? » nous pouvons comprendre son sentiment de perte grâce à l’utilisation des trois temps : le présent, le passé puis le futur. Ainsi dans le premier hémistiche nous comprenons qu’elle est perdue puis dans le second hémistiche nous voyons qu’elle hésite. De plus, son orgueil de princesse, sa fierté, se manifestent par la rage et la colère qui l’emportent lorsqu’elle évoque la cruauté de Pyrrhus à son égard. Hermione fait preuve cependant

période baroque. Nous nous demanderons donc par quel biais le poète tente de rendre compte de la beauté du paysage alpins.1) Ces atomes de feu // qui sur la Neige brillent, 1+3+1+1 // 1+1+1+2+1 • feu VS neige : antithèse avec les hémistiche • Neige : majuscule, personnification de la neige, animisme (un esprit, une force vitale, qui anime aussi les éléments naturels, que l'on retrouve tout au long du poème • Les « atomes de feu » : jeu de lumière du soleil sur la neige => atome

- On retrouve toujours la même structure : sujet + verbe + complément. C’est régulier, répétitif. « Flambeau » : métaphorique, qui va s’éteindre un jour. - Du général au particulier, v. 1 à 14 -> processus d’anéantissement - 1ère hémistiche vers 1 et 2ème hémistiche vers 14 sont identiques : structure circulaire en boucle qui peut symboliser la fatalité de la mort. - Rimes masculines : syllabes accentués ; rimes embrassées, suivies et croisées (cf. fiche sur les rimes) -> montre le désordre.