Hémistiche

distique Le tercet Le quatrain Le quintil Le sizain Le huitain Le neuvain Le dizain Le onzain Le douzain B)Le rythme: 1. La césure et la coupe: La césure est la coupe essentielle qui sépare un vers d'au moins huit syllabes en deux hémistiches (moitié de vers). → Mon cœur, lassé de tout,// même de l’espérance (Lamartine). La coupe correspond à une pose brève après une syllabe accentuée, généralement la dernière syllabe d'un mot ou d'un groupe de mot, ou l'avant dernière est un e muet

souligne le mot. De plus, il est affecté à la mesure la plus courte (2-4-3-3) - la mesure la plus longue ("s'est mise en route") concerne la caravane qui s'ébranle. Le premier hémistiche montre le point de départ : allitération de dentales [d] et [t], de labiales [p] = chaos du convoi + [r] = roulement - Les 3 hémistiches (vers 1, 3 et 4) miment le rythme régulier - univers lié entièrement à la faim et la fuite : poids de la fatalité - Bohémiens méprisés, traqués : Baudelaire fait ressortir le

semble pas avoir peur de la mort « v.215 » V.213 « Mille exploits » = hyperbole qui valorise la guerre. Valorisation des exploits de Titus avec l’énonciation v230/231 : « reste pâle et sanglant » « Il faut qu’à sa vertu, mon estime réponde. » Hémistiche, qui marque l’opposition entre « vertu » et « estime », opposition des termes laudatifs pour T. et des termes négatifs pour A. Termes Négatifs pour A : « sans espoir, trahi, lassé de vivre ». « Malheureux rival »=périphrase. « Tandis que » =

l’infini de l’Océan, enfin enfermé, prisonnier du «concert hurlant des mourantes rafales». Cette impression d’enfermement est d’ailleurs confirmée par la place des expressions définissant le locuteur, au centre du quatrain - second hémistiche du deuxième vers et premier hémistiche du troisième vers -, en somme au centre des éléments, mais aussi enfermé dans sa méditation, dans son spleen. Enfin cette impression est résumée, après la description, à un endroit traditionnel dans un sonnet, dans les deux premiers

première phrase. V1&2 → rythme croissant, ouverture du poème. V3&4 → rythme fluide, croissant, qui ouvre l'espale. Fluidité du v4 qui évoque la majesté, beauté de cette représentation, mouvement; pas de virgules mais des "e" sonores au milieu de chaque hémistiche. Élément sonore : assonance en [a] + allitération en [s] dans "vastes" et "albatros" v2. ALBA = blanc (en latin). On trouve l'adjectif "blanche" au v7. 3 personnifications : "compagnons de voyage", "rois de l'azur" et "prince des nuées". b) La

Rodrigue dans Le Cid ) pour exprimer les tensions internes au personnage ou sa plainte (les stances de Polyeucte condamné à mourir) ». B. L. Stichomythie  : « dialogue rapide (vers à vers ou hémistiche contre hémistiche) propre au situation de conflit ou à l’échange amoureux ». B. L. Tirade  : « Désigne toute réplique dans laquelle une ou plusieurs idées sont développées sans interruption. » D.E.T. Vraisemblance

« discorde ») ; pour A, renvoie à la séparation de la France en 2 zones = Titre programmatique de l’œuvre. ( structure du poème : 7 quintils de 4 alexandrins + 1 hexamètre reprenant à chaque fois le 1er hémistiche du 4ème alexandrin / 1 sizain de 4 alexandrins + 2 hexamètres, le 1er reprenant le 1er hémistiche de l’alex précédent. Retour de l’hémistiche = refrain / forme de la chanson médiévale + idée de circularité. ( système de rimes complexe : rimes internes (« chœur » / « cœur » ; « descort » / « encore » ;

« Harmonie du soir » de BaudelaireSoyez au point avec la définition des termes « pantoum, encensoir, reposoir, ostensoir » !Pantoum  : désigne un poème à forme fixe d’origine malaise, entré dans la poésie française à l’époque romantique. Le mot est daté de 1829, date à laquelle Hugo introduisit ce genre. On trouve un « Pantoum malais » chez Leconte de Lisle et un « Pantoum négligé » chez Verlaine. Le pantoum fut codifié par Théodore de Banville dans son « Petit traité de poésie française »

le veut)– périphrase démonstrative « cette » = Loreley pousse pensée de l’évêque V11-12 : -inversion vers 5-6 : évêque brule au lieu de Loreley -asyndète entre 2 hémistiches de v12 -> pouvoir immédiat de la sorcière V13 : -rôle inversé = Lore reproche évêque (la femme fait œuvre de religion et l’évêque œuvre de maléfice)

qu’il aime, Emilie, qui a perdu son père à cause d’Auguste. Cette idée est renforcée par l’utilisation de deux temps : l’imparfait dans le premier hémistiche « j’avais » et le futur dans le deuxième hémistiche « j’aurai ». Il est en de même au vers 668 : « S’il n’eût puni César, Auguste eût moins osé ». En effet, ce vers se divise en deux hémistiches : le premier hexasyllabe montre une antériorité par l’emploi du plus-que-parfait du subjonctif, alors que le deuxième hexasyllabe utilise l’imparfait