Hémistiche

LLN°2 Le poème « Une Charogne » est extrait de la section « Spleen et Idéal » des Fleurs du mal .Il fait partie des poèmes censurés lors du procès fait à Baudelaire pour « offense à la morale publique et aux bonnes moeurs »lors de la publication des Fleurs du mal . le titre du recueil « Les Fleurs du mal » qui est un oxymore affirme qu’il existe une beauté propre au mal et que l’on peut extraire de la beauté de la laideur.Le poème « Une charogne » illustre parfaitement cette conception selon laquelle

donc comme le poète voit, c'est parce qu'il éprouve de l'affection pour ce mendiant. b. Le poète voyant - la pensée : "Et je lui répondais, pensif et sans l'entendre" au vers 15 : mise en valeur par la position dans le vers : début du deuxième hémistiche (= moitié d'un alexandrin) - le songe : "Je songeais que cet homme était plein de prières" au vers 24 : mis en valeur par la position en début du vers. Le mendiant est devenu un saint. Relation surnaturelle entre la pauvreté et la dignité. - le

par une sorte d’enjambement de strophe à strophe, la question du vers 11 semble se poursuivre dans le vers 12, que ses brèves et nombreuses évocations et ses coupes multiples rendent haletant, dans une double gradation semblable dans chacun des hémistiches. L’idée de l’éternité est cependant atténuée par un substitut : le voyage, l’espoir que la beauté, qui est si «fugitive» à Paris, se déploierait librement sous d’autres cieux. Mais, à l’élan d’«Ailleurs», succèdent la fatigue de «bien loin d’ici»

et Jason/ses enfants. On remarque le rythme du débat intérieur avec des balancements binaires qui montre un balancement entre sa gloire passée et son amour pour Créuse. Au vers 169, le balancement est 2 hémistiches, avec Médée à la césure et Créuse à la fin du second hémistiche: elles sont aux places les plus importantes du vers. On a 8 vers, mais une seule phrase ponctuée de «;» qui constitue des respirations. On a Médée qui s’oppose non pas à Créuse mais à Créon avec «je dois tout» vers

( n.f.) Répétition dans un vers ou une phrase d’un son vocalique (voyelle suivie ou non d’une consonne). Ex : « C’est l’arbre toujours touffu de toutes les prières » Apollinaire,  Alcool, « Zone » hémistiches alexandrins et décasyllabes. ( n.f.) : Coupe principale qui sépare en deux hémistiches alexandrins et décasyllabes. ( n.f.) : Elle s’oppose à la synérèse. La diérèse coupe un son en deux pour l’équilibre du vers. Dans le même objectif, la synérèse peut regrouper deux sons. Ex : Les vi-o-lons

la femme rappellent l’ambivalence de la poésie baudelairienne (Spleen et Idéal) Une femme passa, d'une main fastueuse -passage rapide d’une femme (inconnue), raconté en un hémistiche, alors que c’est le sujet principal du poème ; emploi du passé simple souligne la soudaineté de son apparition - dans le 2ème hémistiche, retour à la description. Gros plan sur la main et son élégance, mais l’action de la main est mise en attente et rejetée au vers suivant pour créer à nouveau un effet de lenteur

l’Apologue | Fiche élève | Séance 1 : La fable ou l’art de transmettre par le burlesque et l’implicite. Supports : Livre septième-Fable XIII.Les deux coqs- Jean de La Fontaine Notions :fable-fabuliste-Apologue-Personnification-Vers-Rimes-Allitération-Hémistiche –Tonalité burlesque-Tonalité épique. Durée : 2heures Apologue : Un apologue est un court récit en prose ou en vers qui contient une morale. L’apologue est apparu dès l’Antiquité (Procédés courants : caricature, figures de l’exagération, allégorie

Caracterisés par leur radicale difference :   LES MARINS | L’ALBATROS | Anonymat, déshumanisation : Qualifiés par un hémistiche au v1 (« les hommes d’équipages »),Puis par des pronoms indéfinis monosyllabiques v11 et 12 (« l’un », « l’autre ». | Éloge (lorsqu'il vole, qu'il est dans son élément): - qualification longue (périphrases): v2: un hémistiche (« vastes oiseaux des mers »), v3: 9 syllabes (« indolents compagnons de voyage »). - harmonie et symbiose avec le paysage: hypallage

d’esope Talent de conteur de LF => recit dynamique rythmée avec des effets d’accélération / décélération Micro-récit de 32 vers =Schéma narratif : * Situation initiale : premier hémistiche du vers 1= une paix qui dure longtemps « Deux coqs vivaient en paix » * Elément perturbateur : deuxième hémistiche « une poule survint »= utilisation du passé-simples => action soudaine le lecteur est immédiatement placé au cœur de l’intrigue (début in media res ) + utilisation de la parataxe

alexandrins (1 alexandrin = vers de 12 syllabes) 4 strophes : - Quatrain (groupe de 4 vers) - Quatrain - Tercet (groupe de 3 vers) - Tercet Alexandrin C’est | un | trou | de | ver|dure | où | chan| te u|ne ri|vi|ère 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Hémistiche Césure Hémistiche Rime féminine : se termine par –e Comptage des syllabes : Prononcer certains /e/ dits « muets ». Mais on ne prononce par le /e/ si :  Il se trouve en fin de vers  Il est suivi d’une voyelle (A, E, I, O, U, Y) …chandelle …filant