Hémistiche

- On retrouve toujours la même structure : sujet + verbe + complément. C’est régulier, répétitif. « Flambeau » : métaphorique, qui va s’éteindre un jour. - Du général au particulier, v. 1 à 14 -> processus d’anéantissement - 1ère hémistiche vers 1 et 2ème hémistiche vers 14 sont identiques : structure circulaire en boucle qui peut symboliser la fatalité de la mort. - Rimes masculines : syllabes accentués ; rimes embrassées, suivies et croisées (cf. fiche sur les rimes) -> montre le désordre.

parce qu’il éprouve de l’affection pour ce mendiant. g) Le poète voyant - -La pensée: "Et je lui répondais, pensif et sans l'entendre" au vers 15 : La pensée est ici mise en valeur par la position dans le vers : début du deuxième hémistiche (= moitié d'un alexandrin) - Le songe : "Je songeais que cet homme était plein de prières" au vers 24 : Il est mis en valeur par la position en début du vers. Le mendiant est devenu un saint. Relation surnaturelle entre la pauvreté et la

l’antithèse figure majeure du sonnet, le passé est définitivement enfouie, seul reste la tristesse du présent. * « regrets » (v.11) fait directement référence au titre du recueil. * Vers 12-13 construits de la même manière, 1er hémistiche : passé, 2nd hémistiche : constat de la perte. Répétition phonique, souligne que le poète est dépossédé de lui-même. * Vers 14 : « et » exprime l’addition, ajoute un nouveau poids, construction syntaxique fait attendre le verbe mais il arrive en dernier

pronom : entrelacement incessant). B- Opposition affective : On la découvre dés le 1er vers avec la tournure négative ‘Je ne…’ qui montre qu’il y a une différence entre celui qui parle et la destinataire. Cette différence dés le 1er hémistiche : figure de style ‘litote’ (l’’art de dire peu en disant beaucoup) manifeste la différence entre le poète et sa bien-aimée. Opposition affective clairement affirmée au v.8 (De dédain…) : 3 termes qui montrent que la dame aimée est inaccessible,

AB / BA. Exemples : « On veut haïr et on veut aimer, mais on aime encore quand on hait, et on hait encore quand on aime. » « Il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger.  Hémistiche L’hémistiche est la moitié d’un vers. Dans l’alexandrin, la césure sépare le vers en deux hémistiches de six syllabes. Exemple : « Et rose elle a vécu / ce que vivent les roses » La règle des trois unités Le XVIIe siècle a vu peu à peu s’imposer la règle des trois unités. Cette règle permet

L'indifférence à tout ce qui n'est pas la pensée de la bien-aimée met en relief la profondeur d'une relation sentimentale qui justifie un tel voyage. a) Une relation affective profonde Elle apparaît dans l'interpellation affectueuse qui termine le premier hémistiche du vers 2 ("vois-tu") et dans le rapprochement "je"/"tu", très affirmatif, ("je sais que tu m'attends") ou négatif ("je ne puis demeurer..."). Le premier quatrain souligne par un jeu d'alternance entre "je" et "tu" (v. 2, v. 4) une double certitude

LA FONTAINE, Fables (livre VII, 13) : Les deux coqs Deux Coqs vivaient en paix : une Poule survint, Et voilà la guerre allumée. Amour, tu perdis Troie ; et c’est de toi que vint Cette querelle envenimée Où du sang des Dieux même on vit le Xanthe teint ! Longtemps entre nos Coqs le combat se maintint. Le bruit s’en répandit par tout le voisinage : La gent qui porte crête au spectacle accourut ; Plus d’une Hélène au beau plumage Fut le prix du vainqueur. Le vaincu disparut : Il alla se cacher

|Jeux de sonorités rois/maladroits. Périphrase.+antithèse |Le roi devient infirme, repoussant | | |opposition entre les deux hémistiches |coordination qui appelle les autres coordinations (gauche et veule, | | |

donc l’ironie de l’auteur, signe avant-coureur de la leçon et de la morale. Le second hémistiche de l’avant dernier vers, est composé : - d’une conjonction de coordination « car » : conséquence. - d’une locution adverbiale « tout d’un coup » : effet de surprise - d’un rejet « se referme » au début de l’hémistiche du vers 33, qui marque la sentence. Le dernier hémistiche « et voilà ce que fait l’ignorance » conclue le récit du rat et de l’huître, sur une note moralisatrice

accent mobile accent fixe accent mobile accent fixe Des lèvres’/ que la mort’// va fermer’/ pour jamais’ coupe césure coupe hémistiche 1 hémistiche 2 Comme mentionné précédemment, le poème est composé de huit quatrains, d'alexandrins. Il s’agit aussi d’un poème à forme fixe. il est fortement construit, bien rythmé et richement rimé, nous pouvons aussi bien observer les