Hémistiche

déjà annoncée grâce à la rime riche des vers 2 et 3 «majestueuse», «fastueuse». Plaisir et mort sont mêlés : "la douceur qui fascine et le plaisir qui tue" (v8) par la conj de coordination « et » + 1er hémistiche régulier 3/3 avec des sonorités douces ("douceur" et "fascine"), 2nd hémistiche irrégulier 4/2 avec l'antithèse "plaisir/tue", 2 monosyllabes brutaux "qui tue" et présente cette image d’une femme fatale :. l’amour est violent et dangereux. Ainsi le portrait moral confirme

populaire. Ces répétitions sont renforcées par des assonances en « é » et « a » et des allitérations en « v », reprise des sons comme un refrain. Aux rimes classiques de l’alexandrin s’ajoutent des rimes à l’hémistiche. Le premier hémistiche du vers 1 rime avec les hémistiches des vers 6 et 13, celui du vers 2 avec ceux des vers 4 et 7 ainsi se dégage comme dans un chant, une musicalité. Cette recherche de sonorités et de rythmes est particulière, elle illustre le don du poète. Conclusion (résumé

personne familière et proche et cette annonce prend une tournure qui pourrait signifier une impatience d’amoureux qui se sont donnés rdv. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Vers équilibré : construction en parallèle sur les deux hémistiche (1 hémistiche = ½ vers)Répétition du verbe aller au futurDétermination du poète (j’irai …j’irai)Aucun obstacle ne semble pouvoir l’arrêter, ni forêt, ni montagne : il semble devoir franchir des obstacles et faire un long et difficile trajet. Je ne puis

uriel dans  le Q1 : les, prennent, au singulier au Q3 : il, ce … B) Ce récit oppose deux personnages radicalement différents : 1) Les marins * le premier vers est scandé en gradation : 2-4-6. Le GN les hommes d’équipages représente un hémistiche. Les  * Marins apparaissent donc nobles, majestueux. Le pluriel nous indique qu’il s’agit d’une communauté. * •  Rapidement,  les  marins  sont  discrédités.  Ils  sont  anaphorisés  par  des    pronoms  indéfinis  v.11-12 : l’un, l’autre

est composé de quatre quatrains d’alexandrins. Les rimes sont croisées et en alternance féminines masculines. Quelle image Baudelaire donne-t-il du poète à travers l’analogie de l’Albatros ? Dans une première partie nous étudierons ………. Hémistiche ; la moitié d’un vers > 6 syllabes I. L’albatros un oiseau des mers 1) un oiseau dans son univers 2) L’oiseau, un ami de l’Homme II. L’albatros, prisonnier des marins 1) L’albatros, une proie facile 2) Un oiseau martyrisé III. Le

dans le récit (fictif). I : Un éloge de l'éloge par ses conséquences : Premier vers : « On » pronom indéfini qui renvoie à tous les hommes, aux poètes. Les deux premiers vers sont une maxime citation de Malherbe, ainsi que le précise lepremier hémistiche du vers 3. Le deuxième implique le poète (j' et moi) qui est d'accord avec la citation. v. 4 octosyllabe conclusif expliqué par les deux vers suivants : personnification de la louange et verbes chatouillent (flattent) et gagnent (conséquence de

l'impression d'un tableau de peinture hollandaises où le soleil est reflétée avec l'image des yeux mouillés et brillant. Ici l'image de la femme donné par Baudelaire n'est pas celle de la mairesse qui veut rester elle même. Le refrain commence par un hémistiche et 3 mots conclut par le mot volupté : l’idéal, l'intellectuel, la beauté, le luxe et se termine en multipliant les sensations voluptés. La strophe 2 est un intérieur hollandais c'est dans ce lieu que l'amour trouve sa correspondance. L'ordre,

et la complaisance à ces deux vices, surtout au deuxième. 1. La méchanceté On retrouve bien sûr le champ lexical de la méchanceté : "méchants", "malfaisants" (vers 2), "méchants" (vers 3). De plus tous ces termes sont situés dans le second hémistiche des vers et attirent donc l'attention. L'attention est d'autant plus attirée qu'il y a une récurrence du son avec l'assonance en [an], comme une sorte d'obsession chez Alceste. Il y a également la mise en scène d'un "scélérat" (vers 7), mot très

vers, donne son rythme à la poésie. • Les vers longs, c'est-à-dire essentiellement les décasyllabes et les alexandrins, se partagent le plus souvent en deux hémistiches (= moitié de vers), autour d'une césure (= milieu du vers). Par exemple, le vers suivant : « Tout m'afflige et me nuit // et conspire à me nuire » est composé de deux hémistiches, de six syllabes chacun. La césure est alors une pause, un repos de la voix (qui peut correspondre à une reprise du souffle, mais n'est pas nécessairement

son valet au v.225 : « il est vrai que je rêve » = cela sonne comme un aveu inconscient de l’illusion dans laquelle le personnage évolue, sans le savoir. Rq : Le verbe rêver est d’ailleurs dans les 2 vers placé stratégiquement à la fin du premier hémistiche • Matamore semble en effet se construire malgré lui une image de guerrier invaincu puis une image de l’amoureux transi (avant celle de l’amant victorieux qui prendra la suite de l’extrait) avec d’ailleurs l’utilisation significative du verbe songer