Hémistiche

du soleil mais un soleil personnifier puisqu’on lui attribue l’attribut adjectif épithète « cruel » et évidemment aussi par le verbe « frapper » il a une action. Vers 4 -> on s’aperçoit qu’il y a deux hémistiches, le premier est généralisant (sur la ville et les champs) et le second hémistiche est plus précis dans ses lieux (sur les toits et les blés). Un paysage a été posé dans lequel vient s’inscrire le poète. C’est donc là un texte en définitif qui est lyrique puisque on a un poète qui marque

vers en 2 demi-vers ou hémistiches. « Je n’écris point d’amour,/ n’étant point amoureux. » Joachim du Bellay - Le rythme binaire Se dit d’un vers qui comporte 2 ou 4 accents de groupe. « Comme ceux des aimés / que la vie exila. » Paul Verlaine - Le rythme ternaire Se dit d’un vers qui comporte 3 accents de groupe. « Je marcherai / les yeux fixés / sur mes pensées. » Victor Hugo - L'enjambement Se dit lorsque le sens du vers se prolonge sur le premier hémistiche ou sur la totalité du

1. Le schéma narratif : l´intérêt dramatique. La Fontaine veut que son texte ne soit pas monotone : il utilise des effets de suspens. Le rythme narratif doit favoriser l´émotion. -Situation initiale: premier hémistiche -Élément perturbateur: deuxième hémistiche et le deuxième vers. C´est donc un récit qui commence très vite pour attirer l´attention du spectateur il est tout de suite attraper par l´action. -Effet d´annonce: « et voilà la guerre allumée » nous dit qu´une guerre

divine d’Hippolyte est également mise en valeur. Par exemple, l. 31 : « Digne fils du héros qui t’a donné le jour ». On a ici les mots « digne », mis en valeur par sa présence en début de phrase, et « héros », par sa place à la fin du premier hémistiche. Tous ces éléments montrent l’importance de la généalogie divine dans cet aveu. La fatalité de Phèdre est également soulignée par l’idée d’un destin, et d’une faible liberté humaine. En effet, on retrouve à plusieurs reprises des adjectifs qualificatifs

voyage jusqu’à l’âme1-v Prop circ. de tps + «, » : coupure du rythme, ternaire et progressif -> ralentissement => sensation d’apaisement, bien-être : Prop principale / syntagme « les deux…fermés »· Rêverie + confiance = domaine onirique2nd hémistiche : chaleur « chaud » = intérieur : notion d’intimité « la chevelure »= bien être absence du spleen : le 1er sens : le toucher = sensualité du rapport amoureux« Soir… automne » => moment intermédiaire (hiver/jour) passage de la réalité a la rêverieV

relier l’ intrigue politique et l’ intrigue galante. Le début du texte est assez étrange : Junie coupe la parole à Néron, à l’ empereur. De plus, c’ est une femme et une captive. La réplique commence sur une hémistiche. «  Il a su me toucher, » Il a un lien avec le premier hémistiche avec le pronom « il » et « Britannicus ». « toucher » a un sens plus fort, indique l’ idée d’ une forte impression positive ou négative. «  Seigneur, et je n’ ai point prétendu m’ en cacher. » « seigneur »

humain. Il se caractérise par une morphologie anormale, soit par excès, soit par défaut d'un organe. Cette métaphore est renforcée par une structure en chiasme puisque le groupe nominal « Ces monstres disloqués » dans le premier hémistiche du vers 5, fait écho au second hémistiche du vers 6 « Monstres brisés, bossus, » tandis que « jadis des femmes » répond aux noms de « Eponine » et de Laïs au vers suivant. Ce chiasme mime aussi la déformation dont les vieilles femmes sont les victimes. Peindre le

honte à plein verre… ». Hugo utilise cette figure de style pour dès le début définir ses pensées à propos du peuple. On peut observer une mise en relation entre le mot « riche » au vers 9 et le mot « pauvre » au vers 11. En effet, au deuxième hémistiche du vers 9 est présentée une suite de deux insultes : « ventrus » et « coquins » suivies de « riches » ; ce mot prend donc ici une valeur péjorative. De plus, le mot « pauvre » au vers 11 est mis en valeur par l’allitération en « p » chez « pleurs »

partagé entre le spleen et l’idéal. Pour terminer j’étudierai le fait si l’on doit ou non se reconnaitre en eux. Lien : 1ere idée : Tout d’abord, au début du poème, dans le premier vers, Baudelaire fait une auto-injonction avec le premier hémistiche « contemple-les, mon âme », cela marque dès le départ du poème un rapprochement entre le poète et Baudelaire, autrement-dit il écarte, il met à distance de ses pensées les aveugles. Tout au long du poème, sauf au dernier vers et au titre, le poète

l’apostrophe « cher Théramène », indirectement informative comme on l’a dit, le spectateur ne peut laisser échapper l’expression « je pars », mis en valeur au début du deuxième hémistiche. Le présent a ici une valeur de futur immédiat, expression d’une décision irrévocable comme le souligne le premier hémistiche : « Le dessein en est pris ». La tragédie semble donc s’ouvrir sur un départ, doublement paradoxal puisque le lieu qu’il s’agit de quitter est qualifié d’ « aimable » par celui