Hilotes

habitants. a) Les spartiates viennent de la classe aristocratique et sont les seuls avec tous les droits politiques. Ils sont guerriers et ils vivent d’un kléros (lot de terre attribué par l’état et cultivé par des hilotes). Ils ont tous des revenus identiques et égaux. -Les hilotes (esclaves), ils sont devenus esclaves par la conquête, sont attachés aux terres qu’ils cultivent au profit des Spartiates, leur supériorité est écrasante. -Les périèques (étrangers) se sont des hommes libres sans droit

populaire et aime se battre. L’embuscade Adolescent, Eurymaque rejoint la cryptie. Cette organisation initie à la survie et au meurtre d’un hilote. Lors d’une embuscade, c’est Lycos, le père adoptif de Nessos, qui en est la victime. Au même moment un tremblement de terre dévaste le pays. Tous croient à la colère des dieux ! Golgos, le chef des hilotes décide alors de lever une armée contre la tyrannie des Spartiates. L’insurrection Nessos ayant appris l’origine de na naissance prend

de Delphes qui donne crée un document fondateur la Grande Rhetra. Ces institutions répondent à un objectif politique qui est : - finir avec les divisions familiales liées à l’existence des tribus -mettre en place un objectif militaire -contrôler les hilotes et les périèques Le régime politique était composé de deux rois, d’un conseil des Anciens, de cinq éphores et d’une assemblée. D’après Aristote, c’est un système qui tient tout à la fois de la monarchie, de l’oligarchie, de la démocratie et de la tyrannie 

potidée et de Mélos. Symmachie à l'arché -mise à l'écart ligne 28-29 L'envoyé ath évoque les valeurs Spartiate qui les isolent du reste des grecs. En effet Sparte Etat caserne, tourné vers la guerre et l'ordre public. Le travail (réservé aux hilotes), les arts et la littérature y sont méprisés. Sparte est l'antinomie d'Athènes. Rejet des étrangers contre accueil. Conclusion Oui, Athènes est bien devenu une cité empire, dans le sens qu'elle à cherché durant le V ème siècle à accroitre son

citoyen dans la vie économique qui individualise le mieux les cités. De Sparte - l'exemple extrême -, où le citoyen se consacre tout entier aux affaires de la cité, nourri qu'il est par la rente (apophora) du cléros que lui attribue l'Etat, avec les hilotes chargés de le mettre en valeur, aux cités où, comme à Athènes ou à Corinthe, le travail artisanal est toléré, voire bien considéré, les cités offrent une gamme variée de possibilités: à Thèbes, par exemple, la citoyenneté est liée étroitement à la

disparition des hilotes de Spartes et l’extermination des Juifs pendant la seconde guerre mondiale. Les hilotes, catégorie servile de la population lacédémonienne, étaient indispensable à Sparte mais ils étaient aussi craints donc on organisa leur disparition. On ne connaît pas les détails de la disparition, ni si la mort fut administrée collectivement ou individuellement. Un rapprochement est marquant : le mépris institutionnalisé contre les Juifs aussi bien que contre les hilotes à l’époque de Sparte

former une ligue, il envahit la Laconie pendant l'hiver 370-369 et campe devant Sparte, dépourvue de remparts (l.3). -Xénophon nous explique que le roi Agésilas II se voit obliger d'improviser une défense de la ville, en recrutant notamment 6000 hilotes, sous promesse de liberté (l.6). Cet attroupement d’hilotes, une fois réunis, suscitèrent les craintes d’une révolte armée de la part des homoioi (l.8). -Les Thébains et leurs alliés se contentent d’abord de ravager le pays, comme on peut le voir

Dieux et d'importants pouvoirs législatifs et judiciaires. A la ligne 5, il dit « fait l'expérience de la guerre ». Ici, le roi fait référence à la bataille en 471 av J.C lorsqu'il écrasa les cités arcadiennes liguées contre Sparte, et lorsque les hilotes messéniens se soulevèrent après le tremblement de terre de 464 av J.C; c'est le roi Archidamos qui organisa la défense contre la révolte. C'est donc un roi ayant l'habitude des affrontements qui nous donne son opinion sur cette probable guerre dont

historiques considérés comme inferieurs, « entachés de honte ». Les partheniens vont en tous les cas être composés d’enfants, de femmes ou de lâches. Les origines des partheniens vont donc les exclure de la communauté des citoyens tout comme les hilotes par leur lâcheté. La norme sociale spartiate à l’époque archaïque qui définit les Homoioi (honneur et sentiment d’appartenance à la cité) va donc conduire au déshonneur des parthenies (lâcheté et/ou pas de père), ils rejoignent les tresentes (tremblants)

femmes, les hommes libres et les hilotes, les citoyens et les métèques. De plus, l'Etat ancien ne pose aucune séparation entre le droit et la religion (les rois ont tous pouvoirs). Une contradiction se pose, à savoir, comment assurer une harmonie, une égalité, s'il existe différents groupes sociaux ? La présence dans le Monde antique d'une distinction fortement marquée entre les groupes sociaux provoque une répercussion sur le Monde politique : les « hilotes » se désinterresseront et seront