Hobbes Celui Dont Les Désirs

façons, mais aujourd’hui nous nous intéresserons à la liberté la plus commune, celle qui n'est au fond pas dans ce qu'on fait, mais dans la manière dont on le fait. La liberté est une attitude, celle de l'homme qui se reconnaît dans sa vie, qui approuve l'histoire du monde et des évènements. C'est pourquoi la liberté consiste souvent à « changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde » (Descartes). C'est à une telle conception (celle des stoïciens) que les modernes comme Sartre ou Kierkegaard, sont

les systèmes démocratiques, la loi de la majorité est une étape majeure pour le bon fonctionnement de l'état et de la cohésion sociale. Pour Hobbes, cette alliance entre l'état démocratique et le peuple n'est possible que par l'existence du droit naturel. Ce droit naturel, issus de l'existence, nous conduit à la guerre de chacun contre chacun. Pour Hobbes, le désir d'association que nous avons n'est que pour se sécuriser. Il s'agit d'échapper avant tout à la guerre de chacun contre chacun en se

commune, le bonheur est personnel. Enfin, la première régit l’espace public, tandis que le bonheur semble être une affaire privée. Mais on oppose trop rapidement vie publique et vie privée. Notre bonheur ne se réalise-t-il pas dans la sphère publique, dont la stabilité est garantie par la loi ? Par ailleurs, nos idéaux ne sont-ils pas déterminés par la société dans laquelle nous vivons ? La capacité à choisir ses valeurs n’est-elle alors pas illusoire ? Décide-t-on vraiment de son bonheur ? On pouvait

que sous le regard de l’autre, et ce regard n’est pas dénué de jugement. Lorsqu’autrui me regarde, il me fait exister mais il me juge, et lorsqu’il me juge, c’est tout comme si mon existence était réduite qu’à ce que l’autre n’a décrété, je deviens celui ou cela, selon son imagination, il m’attribue ainsi des caractéristiques fixes comme on l’ attribue à une chose. En ce sens, il me chosifie, et nie en moi toute possibilité de changement, de « pour-soi » je deviens « en-soi ». Enfin, Sartre énoncera

LOCKE Est-ce bien raisonnable qud on a peur des renards de se jeter dans la geule du loup ? « L’homme est un loup pour l’homme » selon Hobbes et Locke transforme les loups en renards et en fouine. Les hommes ne sont pas des loups mais des fouines. Locke n’a pas cessé de croire en Dieu-> socinien Mais certains tirent des csq radicales des relectures de l’évangile, ils vont donc se réfugier en Hollande et Locke lui-même a fuit l’angleterre absolutiste qui va bientôt être révolutionné en

naturelle, est ce qu’on peut faire tout ce qu'il nous plait. La question posé est : la vie en société a –t-elle tendance à diminuer ou augmenter la liberté des êtres humains? D’un côté, La vie en société restreint la liberté des êtres humains selon Hobbes. Le type de la liberté offerte au peuple n’est pas satisfaisant parce que c’est une liberté négative, pour lui d’être libre c’est d’avoir moins de sécurité. La liberté naturelle diminue au profil de la sécurité. D’autre côté, Selon Rousseau la

liberté, au contraire, cette dernière est une condition nécessaire pour trouver son bonheur. Prenons un individu x, si pour celui-ci le plaisir c’est s’installer à y endroit, alors dans une liberté au sens strict, rien ne pourra l’empêcher d’agir de la sorte. De même si ce même individu désire posséder une arme, alors rien ne l’en empêche, car il sera libre d’agir de la manière dont il le souhaite. Mais quand est-il alors des biens en quantité limitée ? On pourrait se dire qu’il est impossible pour un

vision du cosmos change en permanence. La destruction de l’image du monde chrétienne n’était cependant pas une condition suffisante à la destruction de la théologie politique chrétienne. En effet, s’il est dorénavant impossible de connaître la façon dont Dieu souhaitait que l’homme se gouverne par la nature, l’idée d’une révélation divine, communiquée aux hommes par le truchement de l’Église, reste possible pour fonder les principes de la vie politique. 2. L’homme religieux : stoïcisme et épicurisme

impose une autre c’est que Rousseau imagine qu’au départ la naturel était luxurieuse et abondante, tout était à disposition. C’est une vie ou les hommes vivaient au fond comme des animaux ou ils répondaient à leurs besoins. Ils vivent seul sans désirs puisque qu’ils ne se comparent pas à autrui. Cependant, il va imaginer que des catastrophes naturelles, aurait rendu la nature moins généreuse ce qui aurait forcé les hommes a coopérée pour s’en sortir, de travailler. Ils vont aussi commencer

L'État est-il un mal nécessaire ? Corrigé Introduction Sans aucun doute, chacun d'entre nous aimerait pouvoir faire ce qui lui plaît quand cela lui chante. Mais nos désirs viennent bien souvent se heurter à l'interdiction de la loi civile, nous exposant du même coup au châtiment prévu par la loi, si on leur laisse malgré tout libre cours. Ainsi, c'est un fait, les lois de l'État viennent entraver notre liberté d'action. Pourtant, chacun reconnaît également, pour peu qu'il prenne la peine d'y