Hobbes Déterminisme

son existence comme on veut ( homme libre :homo liber) et de ne pas être un homme qui sert à servir les projets de quelqu’un d’autre. On trouve que la possibilité de choisir n’est pas absolue parce qu’on n’est déterminé par certains désirs. Le déterminisme désigne la doctrine d’après laquelle nos actes et pensée sont causées par u ou plusieurs motif qui peuvent être extérieur ou intérieurs (événements passées…) Cependant si la définition du mot liberté ce limitait à ça il suffirait de la connaitre

les crimes et délits sont toujours déterminés, souvent par des complexes inconscients, ou des frustrations secrètes. Donc la liberté est en effet une chose qui n’a pas de preuve, mais qui, par la simple expérience de l’Homme peut être validé. Hobbes disait que « l’absence de tous les empêchements qui s’opposent à quelque mouvement : ainsi l’eau qui est enfermée dans un vase n’est pas libre, à cause du vase qui l’empêche de se répandre, et lorsqu’il se rompt, elle recouvre sa liberté » (Le Citoyen)

quelqu'un et ce même s'il en a envie. Sans lois, l'homme serait un loup pour l'homme, il nuirait à son entourage et à la société. La loi positive permet donc de limiter la liberté des hommes afin qu'il ne se fasse pas de mal entre eux, comme le dit Hobbes. De plus il y a aussi la loi morale qui limite notre liberté : l'enfreindre n'engendre pas de punition comme pour la loi positive, mais elle a un impact psychologique sur nous et notre entourage. La confiance trahie par le mensonge est un exemple

lois ne concourrent pas à l'expension toujours plus importante d'une liberté humaine. Pour finir, la notion de déterminisme est importante à analyser ; c'est une théorie selon laquelle la succession des évènements et des phénomènes n'est due qu'au principe de causalité. On parle aussi d'une façon plus générale, de "loi" pour exprimer cette régularité dans les phénomènes. Le déterminisme s'apprente alors au nécessitarisme qui affirme la nécessité des phénomènes en vertu du principe de causalité. Il

c’est faire ce que nous désirons. En effet, le désir est la condition du plaisir. C’est le cas lorsqu’on est rassasié ou las de quelque chose qui nous fait habituellement plaisir. Ainsi, même le gourmand peut en avoir assez de manger. Admettons avec Hobbes dans le chapitre XI du Léviathan que le désir n’a d’autre finalité que de se perpétuer, sans quoi nous serions comme morts, dès lors, nous pouvons faire résider la liberté dans le fait d’effectuer ce que nous désirons, quoi que nous désirions et pour

fondamentale, et qui consiste, précisément, dans le pouvoir de s’arracher aux déterminismes sociaux. Non qu’il s’agisse d’enfreindre ce que prescrivent les lois sociales mais pour en évaluer la valeur morale et en faire des principes autonomes de conduite et d’action. Plus généralement, la liberté suppose que l’homme puisse s’arracher aux différents déterminismes qui circonscrivent sa situation dans le monde : déterminismes historiques et sociaux donc, mais aussi naturels, biologiques, et enfin psychologiques

● Les libertés La question du libre arbitre ● L’approche déterministe de Spinoza – La nature est déterminée. Le libre arbitre est une illusion produite par le langage. La volition est toujours conditionnée. – – – Spinoza (comme Hobbes) oppose la liberté et la contrainte et non la liberté à la nécessité. La liberté ne renvoie pas à un pouvoir indéterminé des possibles, mais à la libre nécessité. Pour être libre l’individu doit comprendre et suivre sa propre nature, ses désirs vraies

autre, c’est se déterminer lorsque plusieurs possibles se présentent à nous. On pourrait affirmer qu’il y a des éléments que nous ne choisissons pas dans notre vie : naître dans tel ou tel milieu, naître dans tel ou tel pays…Mais affirmer que ce déterminisme est définitif, c’est refuser la notion de liberté humaine, c’est réduire l’être humain à être un objet parmi les objets, une chose parmi les choses. Or, nous ne sommes pas des choses, pas des objets. C’est en ce sens que Sartre dira que chez l’homme

essence provient du passé; et le changement : la durée n'est jamais identique à elle-même. Si elle n'est jamais identique à elle-même c'est donc qu'elle est imprévisible. C'est en elle que Bergson fait résider la liberté et s'opposant ainsi au déterminisme. Ainsi tout ne peut être déterminé à l'avance par des liens de causes à effets, puisque l'on ne peut trouver dans le passé la cause d'un événement accompli. Cependant si elle n'est pas déterminée d'où la liberté provient-elle? Puisqu'aucun fait

n'existe plus ... il nous parlait et il se tait ... Jean-Paul Sartre L'existentialisme est une philosophie humaniste car l'homme n'est soumis à aucun principe supérieur et qu'il décide lui-même du sens de sa vie. L'homme n'est prisonnier d'aucun déterminisme, d'aucune fatalité. «L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. Tel est le premier principe de l'existentialisme». L'existentialisme conduit à une morale de l'engagement. S'il n'y a pas de «morale générale», cela ne veut pas dire que tout