Hobbes Raison

Doit-on tout soumettre à la raison ? Analyse du sens du sujet : 1) Doit-on tout subordonner, inféoder à la raison ? Autrement dit, doit-on ériger la raison en autorité absolue ? 2) Doit-on tout exposer à la raison ou encore, tout passer au crible de la raison ? Proposer à l’examen de la raison... (cf. « soumettre » une idée à qn) [Et de quelle raison parle-t-on ? De l’instance morale ou de la faculté de penser ?] Explicitation des deux sens du sujet : 1) Y a-t-il un devoir d’obéissance

de Voltaire, (Traité sur la tolérance, chap. XXIII, 1763) Intro : Traité sur la Tolérance Dans ces 25 chapitres, après avoir évoqué l’innocence de Calas et les méfaits du fanatisme, Voltaire plaide la cause des protestants. Le progrès de la raison, l’adoucissement des mœurs, la force du gouvernement permettraient de tolérer maintenant les calvinistes sans craindre de désordres : le retour des exilés enrichirait la France. Le philosophe fait alors l’historique de l’intolérance à travers les

Je me permets de vous écrire cet article pour répondre au procès de 20 août 1857, en ce qui concerne mon recueil Fleurs du Mal. Je veux tout d'abord répondre à l’E. Pinard (procureur général) qui accuse ma poésie de manquer « au sens de la pudeur », de multiplier « les peintures lascives ». En effet, ces arguments qui ne sont pas convaincantes lesquelles disent que mon livre est condamné pour «délit d’outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs », à cause de «passages ou expressions obscènes

Introduction La volonté est la faculté d’exercer un choix libre et rationnel indépendamment des tendances instinctives En philosophie elle est la capacité à accomplir un acte intentionnel, consciemment. En droit la volonté est un concept associe a l’intentionnalité. Et enfin en politique la volonté populaire et le fondement de la démocratie. Les réflexions sur le concept volonté sont différentes. Kant parle de la bonne volonté et Aristote parle de la responsabilité. Kant et la volonté de

signifie confiance. La foi implique-t-elle d'être irraionnable? Faut-il avoir une confiance aveugle? Si la coyance religieuse démissionnée de la raison, seraitelle encore une croyance reigieuse? La religion a -t-elle es principes rationels, doit-elle en oulier la raison? La croyance religieuse est-elle rationelle? La croyance religieuse a -t-elle perdu la raison? Faut-il être raisonnable et rationel pour croire? La naissance de Jesus ainsi que sa mort sont des phénoménes que lon ne peut expliquer.

oeuvres de Rousseau qui suppose le plus de réflexions.  Il ne faut pas voir dans l'Émile un traité de pédagogie mais le roman de l'éducation dans la nature. Considéré de ce point de vue, il a de réels mérites et de graves défauts. Rousseau a raison d'insister sur la gravité du problème pédagogique, de rappeler aux mères leurs devoirs, et de faire une large place dans l'éducation à la formation des sens et en général à la culture physique. Sur ce point et sur le développement de l'esprit par

sur le principe que : "La nature raisonnable existe comme fin en soi." C'est ainsi que nous devons nous représenter notre propre existence ainsi que celle d'autrui, et ce principe doit sous-tendre toutes nos actions. La moralité, soit l'usage de la raison dans le domaine pratique, repose par conséquent sur la maxime suivante : "Agis de telle sorte que tu traites l'humanité, aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre, toujours en même temps comme une fin, et jamais simplement comme

réinterprété sa pensée. Le droit selon grotius est issu de la raison humaine et la deuxième idée est que le droit doit être définit comme une liberté. A) un droit issu de la raison humaine selon aristote et saint thomas d’aquin, le droit devait se découvrir par l’obeservation du monde extèrieur. On considère qu’à l’interieur de l’homme, un dieu a gravé un certain nbr de principe moraux qui sont des principes juridique. La raison va être à la fois le moyen et le lieu ou l’on découvre quels sont

Analyse d’un extrait du Criton de Platon (Socrate) 2 a) À la page 143, au milieu, Socrate dit a Criton : «Par, conséquent, il ne faut pas répondre à l’injustice par l’injustice et faire du tort à qui que ce soit, quel que soit le mal subi. 1» Socrate trouve que la justice et faire du tort a quelqu’un sont des concepts universels qui s’appliquent dans n’importe quelle circonstance. De ce fait même, il ne veut pas que Criton batte l’injustice avec plus d’injustice, peut importe la situation dans

faire. Elle revient à affirmer qu'il faut renoncer à chercher une vérité sur laquelle plusieurs personnes pourraient s'entendre: le vrai ne serait pas propriété commune mais individuelle. Il s'agit là d'une thèse sceptique (tradition selon laquelle la raison humaine est incapable d'accéder à une quelconque certitude). Introduction : position du problème. Première partie : étude de l'expression « À chacun sa vérité » du point de vue de sa signification. 1)  Circonstances qui déterminent l'usage