Hobbes Raison

peut-il se fier à sa raison? Au premier abord, l'homme est non seulement doté des capacités pour s'y fier, mais en plus il en a l'autorisation légale et légitime. Toutefois la raison peut être induite en erreur. Mais alors vaut-il mieux prendre le risque de se tromper ou ne pas écouter sa raison? N'y a t-il qu'une seule raison? Cette raison est-elle universelle ou bien change t-elle selon les époques et les lieux? La raison agit elle seule ou bien s'associe t-elle? La raison chercher à établir

quel esprit sont conçues les idées de cet ouvrage. Clausewitz (Karl von), De la guerre, trad. par Denise Naville, Paris, Éditions de Minuit, 1955 QUESTIONS : 1° Quelle image l’auteur de cet extrait donne-t-il de la guerre ? 2° Pour quelles raisons présente-t-il une attitude défavorable à propos de la guerre ? 3° Relevez et analysez deux procédés d’écriture qui illustrent cette attitude. ESSAI : « la guerre est une lutte qui consiste à sonder les forces morales et physique », affirme Clausewitz

humain. De quoi s’agit-il ? Selon la conception occidentale traditionnelle de l’être humain, l’homme est composé d’une âme (la connaissance) et le corps. Cette conception affirme la primauté de la raison sur toute chose, humaine ou animale. Freud qu’en t’a lui vient introduire… la raison humaine n’est pas capable d’orienter nos actes. La maîtrise que l’on a sur ce que l’on fait ou dit n’est pas aussi complète/ totale qu’on le voudrait. Chacun peut perdre le contrôle de ses actes. Le comportement

Ce texte de Spinoza, philosophe hollandais du XVII ème siècle, porte sur une conception de la liberté qu'il met en lien avec les notions de raison et d'esclavage. L'auteur expose différentes situations dans la société dans lesquelles on trouve, ou différents types "d'esclavage", ou différents types de liberté.Ainsi on peut poser comme question problématique: dans quelle(s) situation(s) peut-on dire qu'un homme est libre vraiment, et d'ailleurs qu'est-ce que la vraie liberté? Ou encore, obéir est-ce

René, roman d’inspiration autobiographique, a été publié en 1802 par celui que bien des gens décrivent comme étant le père du romantisme, François-René de Chateaubriand. Il faut dire qu’à cette époque, la France commençait tout juste à jouir du courant romantique aristocratique qui prône entre autres l’analyse de soi, le mal de vivre et la relation que l’on entretien avec la nature. L’extrait de ce texte narratif intitulé > met en évidence l’histoire de René, un jeune émigré en Amérique, ainsi la

aumôneries Foi et Raison Noël 2008 Sénevé est le journal des aumôneries catholique et protestante de l’École normale supérieure « Le Royaume des Cieux est semblable à un grain de sénevé qu’un homme a pris et a semé dans son champ. C’est bien la plus petite de toutes les graines, mais, quand il a poussé, c’est la plus grande de toutes les plantes potagères, qui devient même un arbre, au point que les oiseaux du ciel viennent s’abriter dans ses branches. » (Mt 13 31–32) Sénevé Foi et Raison Noël 2008

tout user de sa raison, de faire comme si nous n’en étions pas doué et tout aussi excessif de n’admettre qu’elle, c’est-à-dire de vouloir tout rationaliser ou de prétendre que la raison humaine peut rendre compte de tout ce qui est. C’est la raison elle-même en sa « dernière démarche » qui nous indique ses propres limites. Il y a une expression du réel qui défie la raison, et la raison doit essayer de s’ajuster à cela, de s’ajuster à une sorte de ligne de crête qui la domine. La raison est faible si

Le texte de Hume, Enquête sur l’entendement humain, est un texte philosophique qui a pour thème La raison humaine et ses principales constitutions et objets. C’est à partir de celui ci que nous nous demanderons à quelles différents types de vérités et de savoirs accède-t-on avec les différents objets de la raison humaine. Ce texte nous permet d’y accéder grace aux deux objets de la raison humaine, avec premièrement les relations d’idées et en second lieu les faits. Pour répondre a cette problématique

Subissons-nous le monde qui nous entoure ou est-ce nous qui agissons sur lui ? Existe-t-il un pâtir de l’agent ou l’agent est-il pleinement responsable ? C’est ce sur quoi nous allons nous interroger en nous demandant si un être conscient peut ne pas être responsable de ce qu’il est, et partant, de ce qui le défini, c’est-à-dire de ce qu’il fait. Nous considérons généralement l’ignorance comme une excuse ; pour Platon, nous ne pouvons faire le mal volontairement. Œdipe, qui était dans l’ignorance

Tout d’abord, puisque Dieu, cette réalité transcendante, est inconnaissable. La connaissance est le résultat des perceptions, qui est donc changeante d’une personne à l’autre. Donc même si quelque chose existerait, elle sera inconnaissable car la raison ne pourrait pas le saisir. De plus, même si on pouvait le connaitre, on ne pourrait pas le communiquer. Il serait impossible de le communiquer puisqu’on serait incapable de faire comprendre notre perception entre nous. Pour exemple, une personne