Homme Libre Et De Bonne Moeurs

de « suivre la marche de la nature ». L'éducation d'Émile n'a qu'un but; former un homme libre, capable de se défendre contre toutes les contraintes; et pour former un homme libre, il n'est qu'un seul moyen: respecter la liberté de l'enfant, le traiter en être libre. « Ceux qui voudrons traiter séparément la politique et la morale n'entendrons jamais rien à aucune des deux ». Illusion de vouloir élever un homme librement dans une société où domine l'inégalité; mais pour transformer la société,

classiques + Oppositions baroques - "Don Juan" de Tirso de Molina (16eS) Classicisme 1685: Révolution de l'Edit de Nantes Classicisme Dom Juan, Molière : Libertin: - Libre penseur : Remet en cause les dogmes établies - Libre de mœurs : Plaisirs charnels sans souci moral Don Juan = les deux Ordre classique ou Désordre baroque ? Don Juan: - Libre d'esprit -

siècle, pour trouver la meilleure action à poser. Cet homme a été le fondateur du déontologisme, qui utilise la raison comme seul outil pour agir moralement. À partir de cette doctrine, on peut affirmer qu’il est immoral que Maryse dénonce l’entraineur puisqu’ainsi Maryse serait utilisé comme un moyen et non comme une fin. Donc, on explorera les bases du déontologisme, ensuite, on présentera le principe d’universalité suivi de l’accord libre et éclairé et pour terminer, on établira une critique du

INTRODUCTION A partir du XVIème siècle, avec le relâchement des mœurs, de nouveaux courants de pensées naissent. Ces nouvelles démarches critiques, philosophiques, littéraires, totalement révolutionnaires pour l’époque, inspireront beaucoup d’auteurs du XVIIème et XVIIIème siècle et donneront naissance au courant libertin. C’est ainsi que le libertinage et la libre pensée apparaissent. Avec le temps, ces courants de pensées extrêmement liés, connaîtront une évolution intellectuelle et historique

singularités. Il nous faudra également distinguer la morale de l’éthique : au sens courant, la morale nous viendrait de l’éducation, des normes sociales, etc... Mais en philosophie, elle acquiert un sens plus profond : elle relève de la science des mœurs, (l’on peut douter qu’il puisse s’agir ici d’une science) et cherche la dimension universelle de la valeur pouvant être donnée aux actes humains, dans le repérage bien/mal. L’on pourrait dire avec raison que la morale s’occupe des lois universelles

connaissance qui dépasse ce que nous pouvons connaître au moyen de nos sens, de l'expérience. Dieu, l’immortalité, l’infini sont des problèmes métaphysiques. Kant recherche dans la Fondation de la métaphysique des Mœurs un principe universel et nécessaire de la morale. Concept de la bonne volonté, Concept du devoir. I. Kant y décline la philosophie en 3 sciences : Physique, Ethique et Logique. Les deux premières sont matérielles, car elles se rapportent à un objet –la nature pour la Physique,la

que tous les hommes pourraient partager. Or on peut se poser la question de l'existence de valeurs universelles sur lesquelles les hommes pourraient fonder une vie commune. Existe-t-il un critère universellement valable pour juger qu’une chose est bonne ou mauvaise ? Nous croyons tous en partie à l’idée d’un bien et d’un mal, d’une justice supérieure. Quand nous jugeons des criminels nazis à Nuremberg, nous ne pensons pas que la justice n’exprime là que la loi du plus fort, mais que le mal est dénoncé

libertinage d'idées ou de mœurs.
Le qualificatif de “ libertin ” ne fait son apparition en France qu'au XVIe siècle. Il est alors utilisé pour désigner une secte qui développe des croyances liées à la nature et au matérialisme. Par association d'idées et glissement d'interprétation, il finit par définir, au XVIIe siècle, tous ceux qui s'écartent des dogmes de l'Église chrétienne et qui affichent une certaine liberté de croyance et d'expression.
Le libertin est donc un homme affranchi des conventions

d’une société. Or la vie en communauté nécessite un certain nombre de règles afin de régir la vie des Hommes, lesquelles sont divisées en deux catégories : les droits et les devoirs. Ceux-ci s’inscrivent au sein des mœurs d’une société. D’après Rousseau, dans Le Contrat Social, un homme est citoyen quand il fait les lois et sujet quand il doit y obéir. Il exprime aussi c’est parce que la vie collective n’est pas naturelle et facile pour les Hommes qu’elle nécessite l’instauration de lois. En effet

 ». « Libertinage » et  « liberté » proviennent tous les deux du même mot latin « liber » qui signifie « libre, affranchi ». L’expression « un libertinage poussé à l’extrême » signifie que l’on mène le libertinage au plus haut degré et « perversion de la liberté » signifie que la liberté est en faite une fausse liberté, une liberté apparente qui finalement desservit celui qui croit être libre. Nous allons répondre à la problématique suivante : Comment à travers leurs romans les auteurs montrent