Homme Libre Hobbes

A) Il n’y a pas de société sans droit. 1) Omniprésence du droit : 2) L’Homme, animal social ? : 3) La justice et le droit : B) Le droit nous rend libre. 1) La liberté politique : II) Le droit peut en même temps réduire la liberté d’une civilisation. A) Obéir est-ce renoncer à sa liberté ? 1) L’obéissance est un renoncement libre à la liberté. 2) L’obéissance comme condition de la liberté. B) L’Etat : répression de la liberté ou au contraire garant ? 1) Etat et pouvoir :

représente le pays Auteur qui s’est penché sur des questions : Qu’est ce qui a donné naissance de l’état ? Théorie du contrat sociale : HOBBES, LOCKE, ROUSSEAU Chez HOBBES l’homme à exister à l’état de nature mais cet état été très in sécuritaire et pour avoir la sécurité les hommes vont passer un contrat et crée un état dont le but sera de protéger les individus. HOBBES a développé sa théorie dans le Léviathan. Une fois que ce contrat est passé, le Léviathan (l’état) est créé. Cela signifie 2 choses :

Peut-on avoir peur d’être libre ? Selon l’opinion commune, être libre consiste à faire tout ce qui nous plaît. En effet, rien ne peut alors faire entrave à nos envies, à nos désirs, lorsque nous sommes libres. La peur, quant à elle, est un sentiment souvent incontrôlé, involontaire. L’agoraphobie, par exemple, est une peur démesurée de se trouver au milieu d’une foule. A voir peur de quelque chose nous pousse donc à fuir celle-ci. La notion de la possibilité suppose qu’il soit possible, mais pas

De nos jours, il est également attribué à une personne enseignant un savoir spécifique. Peut on légitimer l’établissement de l’un de nos semblables en tant que maître ? Quels seraient alors les critères permettant de mesurer la valeur d’un Homme que l’on considérerait comme son supérieur ? Par ailleurs, la notion de domination n’est-elle pas inhérente à l’homme ? Quels peuvent être les dangers que soulève la présence d’une conscience dominante qui serait notre semblable ? Le problème serait

économique. 2 exemple de mouvement d'idées qui vont faconner le savoir économique. Il y a des auteurs qui vont considéré que l'économie est une système qui potentielement es auto réguler, un système qui fonctionnerai mieu s'il était beaucoup plus libre. Il y a d'autres auteurs qui vont pensé que l'économie ne peut pas se réguler d'elle meme, qu'elle nécéssite, qu'elle appel un contrôle politique. Conclusion : dans le domaine de l'histoire de la pensée, il n'y a que des interprétaion, des manière

a besoin d’une sanction intimidatrice qui est serte insatisfaisante du point de vue de la morale mais qui permet de prévenir la désobéissance à la loi. Rousseau évoque deux concertions qu’il a développé dans les chapitres précédents : « aucun homme n’a une autorité naturelle sur son semblable », « la force ne produit aucun droit ». Puis il conclue qu’il ne reste qu’ « une convention » mise en place entre les hommes pour rendre légitime l’autorité qui les gouverne. Cette dernière conception on

..................................................................1 I. La liberté extérieure ..............................................................................................................2 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes)........................................................................2 B. La liberté et la loi.........................................................................................................................3 C. Travail et liberté...

chose, son essence (exemple : l'être de l'homme). 5) Avec une majuscule (l'Être), l'être absolu, l'être parfait, Dieu. seul : Isolé, retiré du commerce des hommes. libre arbitre : Pouvoir de choisir. Le libre arbitre se rapproche de la liberté d'indifférence, qui est le pouvoir de choisir entre des contraires. L'homme seul est libre parce qu'il ne dépend pas d'autrui et ne subit pas les innombrables contraintes qu'impose la société. Agir librement, c'est nécessairement agir contre le conformisme

d’entraves (Hobbes) 2 B. La liberté et la loi 3 C. Travail et liberté 6 II. La liberté intérieure 8 A. L’origine du concept de liberté intérieure 8 B. La liberté de vouloir 9 C. La liberté de penser 11 D. L’aliénation 12 III. Liberté et déterminisme 15 A. L’affirmation du libre arbitre 16 B. Le libre arbitre est une illusion 17 C. Liberté et déterminisme ne s’opposent pas 19 IV. Liberté et morale 21 A. Tu dois donc tu peux (Kant) 21 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) 21

d'idées. Quelles idées? La démarche des économiste classique: Ce sont des philosophe ou des praticiens en général qui n'adhère pas a l'utilisation de l'arithmétique (Condillac, Smith). ce sont parfois des professionnels, comme Cantillon qui est un Homme d'affaire. Turgot, conseiller du roi. Les éco classique revendiquent des grandes lois. Les lois sociales et naturelle découvertes (naturelle et physique), entraine l'intérêt dynamique des économies sur l'évolution de la société. Les classique sont