Homme Libre Hobbes

et divine Enjeu du génie technique et génie politique et moral : Distinction hiérarchique : Génie technique : Voler le feu, offert par un titan Génie moral : Don de Hermès offert par un dieu (Zeus) Chrématistique = pas le propre de l'homme libre, disqualifie les activités de l'ordre de l'artificiel Métisse = Savoir faire, méthode acquise expérience → Pouvoir technique = Pouvoir dangereux Sémiotique = Animal qui use de signe éthique = sciences de la morale et des mœurs Cours :

ai-je besoin d'autrui pour être conscient de moi-même ? • Pour Hobbes j'ai besoin d'autrui parce qu'il est dans la nature humaine de désirer l'honneur, c'est-à-dire de désirer qu'autrui admette ma supériorité. La rencontre d'autrui nous révèle donc ce qu'est le fond de la nature humaine : le désir de pouvoir. 5. Quel est le sens de la thèse de Hegel ? • Autrui est comme un miroir me disant qui je suis : je ne deviens pas un homme tout seul, parce que c'est autrui qui m'accorde le statut d'être

Sparte est la cité des aristocratiques ; Athènes est le berceau de la démocratie (au sens de la participation citoyenne), il faut la distinguer de notre démocratie actuelle ; l'Empire d'Alexandre est le fruit de la conquête opérée par un « sur homme », cet Empire dépasse la cité. Les grecs ne s'entendent pas entre eux. Mais ce qui les réunit, ce sont la langue, la culture, le Panthéon des dieux et les jeux olympiques. §1. Sparte, le modèle de la cité aristocratique Sparte est aussi

le mettant en scène, il est d’origine populaire et enseigne dans les rues. Il exerce l’art d’accoucher les esprits par la discussion, il cherche ainsi à faire accoucher les vérités qui ont en eux mais dont ils sont inconscients. Il était un esprit libre très critiques, il défend la nécessité du discernement : l’exercice de la pensée dans lequel l’homme se libère des pensées irréfléchies des lieux communs. L’homme s’en libère en utilisant la raison lors d’un examen rigoureux pour distinguer le vrai

toute puissance même si celle-ci appartient à Dieu. Au nom de quoi un homme pourrait-il prétendre avoir un pouvoir équivalent ? Dieu et l’homme sont séparés dans le judaïsme mais dans le christianisme le christ est à la fois homme et Dieu. C’est la base sur laquelle le Pape va se mettre à prétendre qu’il exerce un pouvoir qui est à l’image de Dieu. Au Moyen Age le Pape se dit le vicaire de Dieu. De même que Dieu s’est fait homme à travers le christ, le Pape s’est fait le divin dans l’Eglise : le Pape

sociétés qui se sont constituées en refusant le modèle organisationnel d'un pouvoir distinct du corps social. Dans ces sociétés, point de maîtres, ni d'esclaves : s'il y a bien un chef, il n'a aucune marge d'initiative, il ne peut absolument pas laisser libre cours à son arbitre pour imposer sa loi aux membres du groupe et leur faire ainsi violence. Au contraire, nul dans le groupe ne décide de la loi, mais son origine se perd dans la nuit des temps. Le chef n'en est que le porte-parole ou l'aide-mémoire

fonction public la domanialité public… On trouve également les finances publics c’est-à-dire la manière de prélevé l’impôt et de sa distribution. Enfin on trouve un droit international qui va régir soit les relations entre les Etats soit entre un homme est un Etat. Toute ces branches présente de nombreux point de convergences exemple de la peine de mort qui relève du droit pénal mais en même tant la prohibition est constitutionnel. Le contrôle de constitutionnalité de la loi permet cette convergence

découvrir ce droit naturel par induction et de la formuler sur le mode indicatif. L’école du droit naturel moderne est celle qui enseigne, principalement sous l’influence de la philosophie nominaliste, que la seule réalité est l’individu et que chaque homme possède, en vertu de sa nature propre, des droits. Ces droits dits « subjectifs », il est possible de les découvrir à l’aide de la raison, par le seul examen de la nature de l’homme. Le pouvoir politique ne les crée pas. Il a le devoir de les consacrer

et qu'ils usaient de tous les moyens. Cormery avait pris son air buté. "Peut-être. Mais ils ont tort. Un homme ne fait pas ça". Levesque avait dit que pour eux, dans certaines circonstances, un homme doit tout se permettre et tout détruire. Mais Cormery avait crié, comme pris de folie furieuse : "Non, un homme ça s'empêche. Voilà ce qu'est un homme, ou sinon...". Albert CAMUS, Le premier homme, Gallimard, 1994, p. 66 Les atrocités commises par les nazis durant la seconde guerre mondiale, celles

extérieure, alors rien ne garantit que leurs actions soient coordonnées. Si être libre c'est pouvoir laisser libre cours à ses choix individuels alors, en effet, on voit mal comment parvenir à une coordination des individus sans une institution contraignante. Il faudrait alors limiter la liberté d'action pour la sauver, en quelque sorte. Pourtant, cette conception est trop simpliste car elle se rapporte à une vision d'un homme qui agirait sans souci des autres. Or, il est bien évident qu'à regarder les