Homme Libre Hobbes

d’extermination des nazis envers les populations juives est une duperie parce qu’elle est unilatérale : c’est un crime. En second lieu, on objectera que la guerre ne saurait se réduire aux combats, au déroulement matériel des hostilités. Comme le remarque Hobbes au chapitre XIII du Léviathan5, la guerre doit se comprendre comme un état, une situation s’inscrivant dans la durée. Toute guerre comporte des trêves, c’est-à-dire des moments plus ou moins longs de suspension des combats, ce qui ne l’annule pas

substituer d'une part celle d'impulsions naturelles et d'autre part celle de fondements. Les impulsions naturelles des hommes sont 1/ l'amour d soi ( à ne pas confondre avec l'amour propre ), et 2/ la pitié. L'amour de soi est ce qui fait que chaque homme cherche à se conserver en vie, la pitié est la répugnance à voir souffrir tout être sensible ( y compris les animaux donc ). Ces deux impulsions ou passions naturelles font que les hommes cherchent leur bien en faisant le moins souffrir les autres

comme il convenait saurait les distinguer de la façon la plus perspicace : dès lors, son sentiment de déplaisir étant plein de justesse, il louerait les belles choses, en jouirait et les recevrait dans son âme, se nourrirait d’elles et deviendrait un homme de bien, tandis que les choses laides, il les blâmerait avec justesse et les détesterait dès sa jeunesse, avant même d’être capable d’entendre raison ; puis, quand la raison lui serait venue, il la chérirait, reconnaissant d’autant mieux sa parenté

l’individu ne peut exister que dans et par la société. Ce qui en vient à se demander comment l’individu peut être lui-même s’il est soumis à la société ? Les individus ne chercheraient ils pas non plus à se différencier les uns des autre est à être libre ?   En effet nous venons de voir que l’individu dépend de la société. Les individus qui sont poussé à l’isolement développent leurs propres qualités et ainsi il se distingue des autres. Ce raisonnement conduit à dire que si l’individu se résout

de sa réalité, de son effectivité ? [énoncé du sujet]Ainsi, on peut se demander si le pouvoir de choisir que tout homme possède peut constituer à lui seul une preuve de l’existence de la liberté.[problématisation] Si quelqu’un doutait de son existence, suffirait-il qu’il éprouve en lui-même et de lui-même son pouvoir de choisir ? La liberté peut en effet se confondre avec le libre-arbitre, c’est-à-dire le pouvoir qu’a notre volonté de choisir de manière contingente entre plusieurs actions possibles

Rousseau, en s’interrogeant ici sur le fondement des inégalités se voit dans la nécessité de se questionner sur la nature humaine. En effet pour décrire ce sur quoi repose les inégalités, il faut déjà décrire le caractère naturelle de chaque homme. Selon Hobbes, cet état de nature est un état de guerre, ou la violence est présente naturellement en nous. Rousseau va tenter d’expliquer le naturel de l’homme d’une manière presque anthropologique, plus que scientifique. Il va à travers ce texte s’interroger

AUTRUI Dun point de vue grammatical, autrui est un pronom masculin singulier. Il sutilise donc sans dterminant et toujours au singulier. Il signifie lautre homme, lautre sujet, celui qui est comme moi mais qui nest pas moi autrui, en effet cest lautre, cest--dire le moi qui nest pas moi ... et que je ne suis pas (Sartre, Ltre et le nant). Il se prsente ainsi comme mon alter ego. Le concept dautrui implique ainsi la fois une ressemblance (physique, mais surtout spirituelle conscience, raison, sentiment

qu’est concrètement la liberté car beaucoup pensent qu’un homme libre, est une personne qui dispose librement de sa personne et de ses biens. Par ailleurs, d’autres pensent que l’homme pense qu’il est libre alors qu’il est déterminé par des causes qu’il ignore. Ils se posent donc le problème de la définition de la liberté et de ses limites. Ainsi la liberté peut-elle être illusoire ? ou encore l’homme est il véritablement un être libre. Tout au long de notre analyse dans une première partie nous

PHILOSOPHIE POLITIQUE : LA NOTION DE CONTRAT SOCIAL HOBBES : Léviathan (1651 ch7) « … » ... .La seule façon d'ériger un tel pouvoir commun, apte à défendre les gens de l'attaque des étrangers, et des torts qu'ils pourraient se faire les uns aux autres, et ainsi à les protéger de telle sorte que par leur industrie et par les productions de la terre, ils puissent se nourrir et vivre satisfaits, c'est de confier tout leur pouvoir et toute leur force à un seul homme, ou à une seule assemblée, qui puisse réduire

comment peut-il y avoir un libre consentement à une soumission qui restera contrainte ? Kant, « Comment une autorité irrésistible peut être légitime en elle-même quoi qu'elle ne soit limitée nullement de l'extérieur même par les droits des autres, car alors on aurait dû faire appel à une autorité supérieure. » ==> ce qui délégitime autorité provoque une illimitation indue L'autorité se justifie par la nécessité d'une souveraineté, car pour qu'il y ait existence libre, le droit est nécessaire