Homme Supérieur Nietzsche

et l’honnêteté ou la sincérité sont présentées comme des valeurs essentielles. L’Eglise dit « Tu ne mentiras point », c’est une « loi » qu’on nous a interdit de transgresser. A Athènes, l’éducation de la vérité était tellement délicate que le jeune homme qui désirait pratiquer l’honnêteté avait recours au parrhesiaste (guide qui ne devait être ni ami ni subalterne pour rester le plus neutre possible) afin de l’aider et de le guider dans la parrhesia ou le courage de dire vrai. Cependant le mensonge

ils n’aspirent pas à posséder un espace privé. L’homme sauvage ne répond qu’à ses besoins vitaux, il n’a donc aucun intérêt à dégrader la nature, il tient juste à sa propre conservation. Pour résumer, l’homme a besoin de la nature pour être un homme bon mais surtout pour sa survit. La nature nous procure des fruits, des légumes, de l’eau et de l’oxygène nécessaire à l’homme pour vivre. La nature n’appartient à personne pour Rousseau. Il énonce également une idée de respect moral envers la nature

................................... A] Platon : En quoi l'art nous détourne-t-il de la réalité.................................................. B] Hegel : L'art a-t-il vraiment pour but de donner l'illusion parfaite de la réalité ?... C] Nietzsche En quoi l'art n'est-il pas un détournement de la réalité mais une approche différente de cette même réalité ?....................................................................... II / Le mythe historique de Roméo et Juliette, ses représentations

cette méthode en considérant qu’il faut partir d’un doute méthodique pour toute chose, c’est le principe de la modernité, il faut douter de tout. Ce doute est-il complet et alors on tombe dans un scepticisme complet ? Selon Descartes, lorsqu’un homme rentre dans la logique du doute, il se découvre comme sujet pensant. Dire « je pense donc je suis » c’est dire que mon identité n’est pas sociale, sexuelle mais elle est fondée sur ma capacité à raisonner. Cela ne signifie pas que l’on va être révolutionnaire

perception possible. Pour Dilthey, les rationalistes comme Descartes et Kant, focalisent sur un côté de l’homme, celui de la perception et de la raison. L’homme qui est décrit par les rationalistes n’est pas l’homme total, ni l’homme concret. Cet homme abstrait du rationalisme fait tromper que l’homme peut traiter lui-même comme l’objet de connaissance qui est tout à fait identique de l’objet des sciences. Dilthey tient l’idée que montrer tous les agirs humains au même l’intellectuel que le non-intellectuel

la morale utilitaire sur ces deux points : • D’abord il éclaircit l’idée de bonheur en distinguant des degrés dans les plaisirs : « On donne une préférence à la vie qui exerce nos facultés les plus élevée. Aucun homme ne consent à devenir imbécile… Celui qui suppose qu’un être supérieur n’est pas plus heureux qu’un être inférieur confond les deux idées de bonheur et de contentement. (…) Si l’imbécile et le pourceau sont d’un avis différent c’est qu’ils ne voient qu’un côté de la question. (…) La

ordre qui a tjrs une dimenssion hiérarchique et explique une partie du caractère contraignant et sévère du droit . Le droit est la cève de la citée pour les raisons mm que la nature de l'Homme induisent . L'aide ext du bébé homme n'est pas celle d'un égal , c'est une force supérieur . Des la naissance le rapport politique se crée entre lui et ses parents , l'enfant survis grave a l'inégalité entre ses parents et lui . cette inégalité sera pour lui protectrice et il la retrouvera tout au lon de son existence

discours scientifique, traditionnellement masculin (les femmes scientifiques restant une minorité), conserve cependant beaucoup d'a priori3. On voit aujourd'hui une certaine recrudescence des discours scientifiques tentant de justifier des inégalités homme-femme. C'est le cas notamment des études sur les comportements différenciés et les réactions cérébrales (dimorphisme psychologique). Souvent prises hors de leur contexte, on vulgarise souvent ces études en disant notamment que les femmes sont plus

On doit à Friedrich Nietzsche une interprétation surprenante mais logique de la thèse darwinienne selon laquelle la survie des plus forts est la loi fondamentale de la nature. Le philosophe allemand affirmait que ce que l’on appelle la conduite morale n’est nécessaire qu’aux faibles. La conduite morale — en particulier celle que préconise l’éthique judéo-chrétienne qui, pour Nietzsche, est une morale d’esclave — tend à autoriser le faible à empêcher le fort de se réaliser. Pour Nietzsche, chaque action

[C]’est pourquoi, quelque paradoxal que cela paraisse, il faut attribuer beaucoup plus de vérité intrinsèque, réelle, intime à la première qu’à la seconde. (…) L’historien pur et simple, qui travaille seulement sur des données certaines, ressemble à un homme qui, sans aucune connaissance des mathématiques, sur des figures trouvées par hasard, calcule leurs rapports par des dessins ; le résultat, auquel il arrive empiriquement, est entaché de toutes les fautes de la figure dessinée ; le poète au contraire