Homographes Et Homophones

les pièges orthographiques qu'ils représentent ? 1. Les différentes catégories d'homonymes a) Homonymes, homographes, homophones Il existe plusieurs sortes d'homonymes : * les homonymes homographes et homophones ; ils s'écrivent et se prononcent de la même façon ; par exemple, clocher (« aller de travers ») et le clocher de l'église ; * les homonymes homographes mais non homophones ; ils s'écrivent de la même façon mais se prononcent différemment ; ex. : nous portions les valises ; des

s’opposent, de façon à se croiser (forme une sorte de X s’il est dans deux vers successifs). Ex. : Rien ne me verra plus, je ne verrai plus rien. (Hugo) HOMONYMIE (une) : Accumulation de mots de sens différents, mais dont le son (homophones) ou l’orthographe (homographes) est identique. Ex. : Le fils tire les fils. Il a ancré son bateau pendant qu’elle encre son livre. HYPALLAGE (une) : Attribution à un mot du qualificatif revenant logiquement à un autre. Ex. : Ils allaient obscurs dans la nuit

l’homonymie (plusieurs signes, accidentellement confondus au plan du signifiant phonique ou graphique). Plus une langue a des mots courts, plus il y a de chance d’homonymie. Selon Dubois, on doit distinguer des homographes (mots qui ont la même graphie, et des fois la même prononciation), des homophones (mots qui se prononcent de la même manière mais qui ont une graphie différente). J’ai choisi un corpus avec différents groupes. Chaque groupe est composé d’homophones. (Abréviations employées : esp=espagnol

fracture-facture). - Homonymie: on peut distinguer trois cas de figures: ◊ les homophones hétérographes: Ce sont des mots qui ont des orthographes différentes, donc des sens différents, mais se prononcent de manière identique (porc-port). ◊ les homophones homographes: Ce sont des mots qui s'écrivent et se prononcent de la même manière, mais ont des sens distincts (la grève (plage de sable ou cessation de travail)) ◊ les homographes hétérophones : Ce sont des mots qui s'écrivent de la même manière mais

plus simple à établir. En effet, le français comporte 21 temps, dont chacun possède ses valeurs et indications morphologiques propres, souvent données par des lettres muettes, à l’exemple du « s » de la deuxième personne du singulier et des formes homophones à l’oral qui ne peuvent être interprétées qu’à l’aide d’indications fournies par le contexte linguistique. En outre, ces 21 temps sont répartis selon leurs aspects en 10 temps simples (aspect non accompli) et en 11 composés d’un auxiliaire et du

beaucoup plus répandu) Il existe très peu de mot d’un seul sens, relève du vocabulaire spécifique (science, terme emprunté) 2) Homonymie Quand on a 2 termes dont le signifiant est identique : Oral : se prononcent pareil (homophone) Ecrit : s’écrivent pareil (homographe) Mais le signifié est différent. Sa1  Sé1 Sa2 = Sa1  Sé2 Les mots homonymes n’ont pas le même étymon. 3) La paronymie Relation de quasi homonymie qui rassemble des signes de signifié distinct, dont les signifiants

vers / vermis > vers à ces homonymes s'ajoutent des homographes (non homophones) dus à l'insuffisance de l'alphabet : uile = uile / vile (huile / ville) Le français s'est éloigné de plus en plus des autres langues romanes, qui sont restées plus proches du latin. Par exemple, les mots qui ont donné cinq, saint, sain, sein, seing, ceint, ne sont pas devenus homophones dans les autres langues romanes, mais le sont devenus en français ; homophones, et totalement homonymes tant qu'on écrit phonétiquement

devenue depuis la Place de l'Hôtel de Ville. On disait alors que les ouvriers faisaient grève. L'expression est restée mais l'origine en a été oubliée. Les homonymes ont pour propriété d'être à la fois homophones et homographes :     Les homophones ne sont pas homonymes s'ils ne sont pas homographes et vice versa : Un vers de la terre Sur un ver de terre Dans un verre de terre Voilà trois ---- bien terre à terre. Paronymie Les paronymes sont des lexèmes dotés d'une similitude formelle mais

variante roumaine du ce livre est:« ... pe aici, prin apropiere, sunt câteva mari mine de muştar. Şi morala acestui lucru e : cu cât e mai mult la mine, cu atât e mai puţin la tine. » [4,75p.]-Heureusement, le roumain bénéficie des mêmes homonymes homophones (mine : pluriel du nom mină et pronom personnel) ce qui permet une traduction à peu près hétéronymique.Nous, les moldaves, povons comprendre facillement ce jeu de mot parce que nous avons la même stucture dans notre langue. Conclusion Les jeux

des signes comme éléments symboliques d'une culture. | | Hermétique | Difficile à comprendre. | | Homonyme | Mots de signifié différent, mais dont le signifiant est identique. | | Homographe | Même orthographe. | | Homophone | Même prononciation. | | Paronyme | Formes voisines. | Ex : collision et collusion | Hypallage | Figure de style par laquelle on attribue à un mot d'une phrase ce qui convient à un autre