Homographes Et Homophones

Sensations olfactives récurrentes qui participent de cette exagération grotesque (« exhalaisons »v.8, « pourriture »v.9, « puanteur » v.15, « putride » v.17, « ordure », « infection » V. 37, 38 ❖ Rimes faciles, homographes : « comme une vague »/ « vague » v.21, 23, homophones « grâces » (v.41)/ « grasses » ❖ Le spectacle semble convoquer tous les arts : « étrange musique » (v.25), « ébauche lente » v.29 ❖ Détournement de termes utilisés par une poésie légère, une idylle (petit poème

- les pluriels irréguliers (en ou, en al, en ail), - les accords dans le GN (déterminant+nom), - les accords dans le GN (déterminant+ nom + adjectif qualificatif), - les homophones grammaticaux (a/à, est/et, on/ont, sont/son, ce/se, ou/où), orthographe lexicale - les homophones lexicaux (ex : mer, maire, mère), - les homographes (ex : le livre, la livre), - les mots invariables, - les signes orthographiques : accents, apostrophe, cédille, tréma, trait d’union. 15 Programme de français 5e AP

seront développées afin d’en tirer les conséquences pédagogiques en matière d’apprentissage. Les points de convergence Il est bien connu que le français présente un certain nombre d’homographes, sans doute en nombre plus limité que les homophones non homographes. Citons ainsi les paires verbe-nom : avions (V/N), couvent (V/N), portions (V/N), etc. On remarque que ce phénomène d’homographie connait une fréquence assez remarquable dans le langage SMS. À titre d’exemple, nous avons relevé les occurrences

Dans le vocabulaire des sciences, les mots sont monosémiques. Ex : foyer en optique, ne veut dire qu’une seule chose. Homonymie Il s’agit de plusieurs mots qui ont la même prononciation mais des signifiés différents. Il y en a deux types : les homographes (car : transport ou conjonction) et les hétérographes (temps / tant / taon) Remarque sur le logogramme : chez N. Catach (cf. La typologie des erreurs de Nina Catach, page 51) cela désigne le fait que l’on compense l’homonymie pas des variations

phonétique. Exemple : conjoncture/conjecture. 3-L’homonymie (homonyme) On appelle homonymie, des mots dont la prononciation est identique(homophone) et qui diffèrent par l’écriture (non homographe) ou qui ont une écriture identique(homographe) mais de sens différents. On les appelle homophones non homographes ou les homophones homographes. Exemple : ver/verre/vert/vers. 4-L’antonymie(antonyme) On appelle antonymie, des mots de sens contraire. Exemple : Grand/petit. Beau/laid

Plan de la séance : faire retrouver les mots qui riment dans le texte tronqué de Gianni Rodari. Faire prendre conscience, avec le texte de Maurice Carême, que jouer sur la sonorité des mots ce n’est pas que faire des rimes. Définir homonyme, homophone, homographe, allitération, assonance. TM ou TD 57CMaizièresPaulVerlaineAnn PASI Nancy-Metz 2005 5 Savoir orthographier des homonymes usuels. Compléter les comptines à trous de P.Coran ex : Comptines pour que les voyelles s’emmêlent. Rappeler «

lettres que nous percevrions (déchiffrerions) l’une à la suite des autres • Pour lire, nous utilisons des connaissances d’ordre lexical et syntaxique L’écrit, c’est plus que la traduction de ce qui est prononcé oralement Il existe des homophones non homographes On fait des hypothèses de sens à partir de ce qui est probablement écrit On peut lire des mots dont on ne distingue pas tous les traits On utilise l’ensemble du message pour interpréter (donner du sens) aux différentes parties

voyelles i, o, a, u - variations accentuelles des mots de la même famille (grâce / gracieux ; frais / fraîcheur), etc. - les signes auxiliaires : apostrophe, tréma, trait d’union, cédille 5 – Les homophones - les homonymes (mère, maire, - Reconnaître et écrire correctement mer) des homophones les homophones grammaticaux (sans, s’en, sent, etc.) à et Classe de Sixième III - Expression écrite Compétences Objectifs Contenus 1 – Au niveau de la phrase - la ponctuation : valeurs de sens -

bora izo teeburo koyo kopta koyo hincino jindo ‘le petit de la chèvre’ ‘le fils de la personne’ ‘le propriétaire de l'étalage’ ‘le propriétaire du kopto’ ‘le cou du bouc’. Il est à noter l'existence, en soŋay-zarma, de deux unités homophones et homographes : yaŋ suffixe qui nominalise un verbe et yaù marqueur du pluriel indéfini. S'agissant du -yaŋ, suffixe, il convient de préciser qu'il est toujours collé à un verbe pour donner un nom alors que le yaŋ, marque de l'indéfini pluriel, n'est pas

exempter 7. ti= si : révolution 8. Les oppositions Euil/ueil : fauteuil Accueil Ail/aille : bétail, bataille Eil/eille : réveil, abeille Euil/euille : fauteuil, feuille Le cas de œil : l’œil c/q/k : cahier, quotidien, kaki. 9. Les homonymes : homographes + homophones : c’est/ses. Sans/sang Les poules du couvent couvent [kuvâ] [kuv] NB : Quelques confusions 21 orthographiques 1. leur (pronom personnel) Leur (adjectif possessif) 2. sans/s’en/c’en 3. dans/d’en 4 .Quel/qu’elle 5.ça/sa/ ; là/la/l’a 6