Homographes Et Homophones

finales muettes comme: croc, accroc..., galop..., tas..., etc.) ; * séries par analogie étymologique (familles de mots) ; mise en relief de la similitude orthographique des éléments d'une même famille ; * séries homonymiques homographes : son ; homophones non homographes : pain, pin... peint). N.B. : Il s'agit, ici, d'un ensemble de procédés permettant de surmonter sans effort particulier des difficultés répétitives de la langue usuelle et de laisser ainsi l'attention, la vigilance orthographique

(comparatif et superlatif (1)) • les adverbes en -ment ULE p. 47-58 Lexique • les objets et les inventions • la quantité et les proportions • la date passée Phonétique • les homophones Culture • les inventeurs dans la bande dessinée francophone Discipline • mathématiques • histoire Apprendre à apprendre Comment reconnaître les homophones les plus courants ? Inviter les élèves à ouvrir leur manuel p. 47 et à observer la page. Les laisser réagir librement. Puis, faire lire le titre du module. Demander aux

intersection de sens 76 introspection 56 L langage 6 langue 4 lexicographie 114 lexicologie 3, 8, 25 lexie 25, 29, 32 ~ à valeur pragmatique 130 ~ antonyme 81 ~ causative 84 ~ contrastive 81 ~ conversive 82 ~ de base (d’un vocable) 108 ~ homographe 83 ~ homonyme 83 ~ homophone 83 ~ hyperonyme 77 ~ hyponyme 77 ~ synonyme 79 lexique 7, 48 lien lexical ~ paradigmatique 55, 91 ~ syntagmatique 55, 91 linguistique 3 locuteur 6 locution 30, 91 ~ adjectivale 30 ~ adverbiale 30 ~ nominale 30 ~ prépositionnelle 30

la seule prononciation des mots, même l’orthographe deviendrait une vraie partie de plaisir. Mais il n’en est rien. Entre les mots qui s’écrivent de la même façon, mais ont des sens différents, les homographes, et ceux qui ne s’écrivent pas à l’identique mais sonnent semblablement, les homophones ou homonymes, on ne sait quel est le pire fléau. Entre deux mots (maux), a-t-on envie de dire, il faut choisir le moindre ! Hypocrite son, mon semblable, mon frère ! Cinq cordeliers, sains de corps

(concession). © Éditions Belin Les reprises anaphoriques 6 1. La mère arriva tout essoufflée : elle avait couru pour être à l’heure. 2. Ta robe est très jolie, la mienne l’est beaucoup moins. 3. La mère ordonna Orthographe Conjugaison p. 85 Les homophones distingués par l’accent 1 1. Rencontrer des gens, connaître le monde, ça l’intéressait depuis toujours. 2. Je l’entendis s’écrier : « Comment ? vous estimez que ça ne me concerne pas ? » 3. Elle venait de coudre une robe et çà et là, des morceaux

71 ~ parlée 7, 71 lemmatisation 85 lexème 36, 37, 41 lexicographie 176 lexicologie 3, 10, 31 lexie 31, 41 ~ à valeur pragmatique 193 ~ antonyme 124 ~ causative 129 ~ contrastive 125 ~ conversive 126 ~ de base (d’un vocable) 166 ~ homographe 128 ~ homonyme 127 ~ homophone 128 ~ hyperonyme 120 ~ hyponyme 120 ~ synonyme 122 lexique 10, 64 lien lexical ~ paradigmatique 80, 132 N nœud (d’un réseau sémantique) 110 nom 75 nomenclature (d’un dictionnaire) 179 O objet sémantique 108 occurrence 82 onomatopée

diffèrent entre eux par tous leurs sèmes inhérents : « L’homonymie est un cas de polysémie dont on ne voit pas la motivation » (B. POTTIER, 1992 : 43). On distingue plusieurs catégories d’homonymes suivant que c’est l’aspect oral (homophones) ou scriptural (homographes) qui est concerné et suivant que les homonymes appartiennent à la même classe grammaticale (homonymie absolue) ou relèvent de classes grammaticales différentes (homonymie relative). 59 Le schéma suivant représente ces différentes

diffèrent entre eux par tous leurs sèmes inhérents : « L’homonymie est un cas de polysémie dont on ne voit pas la motivation » (B. POTTIER, 1992 : 43). On distingue plusieurs catégories d’homonymes suivant que c’est l’aspect oral (homophones) ou scriptural (homographes) qui est concerné et suivant que les homonymes appartiennent à la même classe grammaticale (homonymie absolue) ou relèvent de classes grammaticales différentes (homonymie relative). 59 Le schéma suivant représente ces différentes

cette étrange manie n’est pas encore très française… et qu’il faut souhaiter qu’elle ne le devienne 138 ACRONYME jamais, car c’est un très sûr moyen de multiplier les homographes (dans les cas de lexicalisation et d’abandon des majuscules) et surtout, imparablement et plus dramatiquement, de multiplier les homophones… O. Dupuis : Pourquoi ne pas suivre la lecture auditive de l’acronyme F.L.L.F. ? Primo, parfe qu’on ne lit pas avec les oreilles. Fecundo, parfe que F.L.L.F. n’est pas un acronyme