Homozygote

correspondance est appelé le code génétique.  L’écriture du génotype consiste à préciser les allèles possédés pour le caractère considéré. Les cellules non germinales possèdent deux allèles d’un gène : -si ceux-ci sont identiques, l’individu est homozygote pour ce gène. -si ceux-ci sont différents, l’individu est hétérozygote pour ce gène. A un même phénotype (normal) peut correspondre des génotypes différents (HbA/HbA ; HbS/HbA). Lorsque le phénotype macroscopique d’un individu hétérozygote traduit

Hardy-Weinberg. Pour se faire, les fréquences attendues et observées de chacun des sept allèles de ce locus ont été calculées. Selon l’équilibre de Hardy-Weinberg, les fréquences attendues se calculent de la manière suivante : pour les génotypes homozygotes, elles se calculent en multipliant la fréquence de l’allèle en question par lui-même, et le tout multiplié par le nombre d’individus. Pour les hétérozygotes, elles se calculent en multipliant par deux et par le nombre d’individus, les fréquences

On étudie chez la Drosophile la transmission de trois gènes différents possédant chacun deux versions alléliques : corps noir et corps gris ailes tordues et normales œil rugueux et œil lisse Tout croisement entre un individu sauvage, de phénotype [b+, c+, r+] de souche pure et un individu mutant pour un ou plusieurs de ces gènes donne toujours 100% d’individus de type sauvage qui constituent la génération F1. On ne considère que les caractères corps et ailes. On croise une Drosophile femelle

amélanistique ou « albinos rouge » (homozygote améla) http://www.herpregistry.com/acr/photo.php?fileid=6034 http://i22.servimg.com/u/f22/11/03/19/14/juv_am10.jpg http://www.cccorns.com/collection2008/Marley_2008-01-14_01.jpg http://www.herpregistry.com/acr/photo.php?fileid=5724 http://i22.servimg.com/u/f22/11/03/19/14/adulte13.jpg http://iansvivarium.com/cornmorphs/amelanistic-a.jpg amela milksnake (amela*miami*crimson) amela cinder ou amela anery C( double homozygote amela * anery c) http://iansvivarium

1ere loi  : Le monohybridisme permet de vérifier qu’a partir de deux parent de race pur (2 allèles identiques -> homozygote) on obtient des F1( enfant de première génération tous identique( même génotype et même phénotype). - 2e loi :Si on croise les F1 entre eux, on obtient 2 types de F2 différents : - types parent : génotype homozygote - types de recombines : génotypes hétérozygote I-1-2. 3è loi de Mendel : poly hybridismeOn étudie ici 2 gène indépendant a 2 allèles.- 3e

Il y a deux types de transmissions pour cette maladie, une personne peut être porteur sain et donc hétérozygote ou bien malade et donc homozygote. Nous allons expliquer la différence entre un hétérozygote et un homozygote. Un hétérozygote aura sur sa paire de chromosome, une protéine CFTR normale et une protéine avec la mutation DF508. Alors qu’un homozygote possédera sur ses deux chromosomes le même allèle soit celui de la mutation DF508 et il sera donc malade, ou ceux de la protéine normale CFTR

croisement n°1 entre une femelle homozygote à ailes normales [cv+] et un mâle homozygote à ailes sans nervures centrales [cv] donne une génération F1 dont les ressortissants porteront [cv+]/[cv]. A l’issue de ce croisement on obtient 50% de femelles [cv+] et 50% de mâles [cv+]. On en déduit donc que le phénotype dominant est [cv+]. On effectue le croisement n°2, croisement réciproque du croisement n°1, c'est-à-dire la femelle est cette fois homozygote [cv] et le mâle homozygote [cv+]. Cette génération

derniers dans du terreau on obtient ainsi les graines T2. On utilise la ségrégation des plantes c'est-à-dire qu’on regarde la descendance et selon le pourcentage on peut déterminer si la plante (mère) était homozygotes ou hétérozygotes. Nous on veut obtenir une plante transgénique homozygote donc, on fait plusieurs générations de descendance pour l’obtenir. [pic] Figure 10 : Photo de transformant de génération 1 I. Isolement d’un

facteurs environnementaux entrant également en compte, des expériences sur l'homme peuvent être rendues difficiles. Le modèle du rat a donc été privilégié, puisqu'il est possible d'étudier des souches dites "pures". Chacune des souches parentales est homozygote, réduisant le nombre d'allèles à étudier à 2 sans qu'il y ait perte d'informations. De plus, il est possible de réduire la variable environnementale en contrôlant les conditions d'élevage. Il sera ensuite possible d'extrapoler les résultats obtenus

génotypes des individus I.1 et I.2 ? (1 pt) a) Mère homozygote dominante, père homozygote récessif b) Mère homozygote récessive, père homozygote dominant c) Mère homozygote récessive, père hétérozygote d) Mère hétérozygote, père homozygote dominant7) Si dans une génération F2, on obtient 2 phénotypes (Ratio 1 :1), quels seraient les génotypes parentaux ? (parents dont le croisement produit la F1) (1 pt) a) Deux parents hétérozygotes b) Un parent homozygote dominant et un parent récessif c) Un parent hétérozygote