Homozygote

l’autre de la mère. Allèle récessif → pas d’expression en présence de l’autre allèle. Allèle dominant → s’exprime totalement au niveau du phénotype. Codominance → chaque allèle participe au phénotype. L’hétérozygote exprime les deux phénotypes homozygotes. Ex : Système ABO chez l’Homme, A et B sont codominants, le génotype AB exprime les antigènes A et B ; Allèle multiples ou polyallélie → il existe plus de deux allèles différents pour le même caractère, cas le plus fréquent dans les populations

blanches. | | | | | |Les Belles de Nuit rouges et blanches sont homozygotes. La F1 hétérozygote possède un caractère intermédiaire car les deux allèles portés par les |1 | |parents sont codominants. La dose de pigment produite lorsqu’un seul allèle R est présent ne suffit pas pour donner une couleur rouge aux fleurs

de brassage chromosomique. Le brassage interchromosomique La première division méiotique sépare les homologues de chaque paire de manière aléatoire. De ce fait, elle sépare également les allèles portés par ces homologues. Imaginons un individu homozygote (A1//A1), pour un gène A quelconque. Cet individu ne pourra produire qu’un unique type de gamète, contenant obligatoi- rement l’allèle A1. 100 % de ses gamètes seront (A1). Si l’individu est hétérozygote (A1//A2), il pourra produire deux types

d’étude vDistinction entre : àLes jumeaux homozygotes : 100% de leur patrimoine génétique partagé àLes jumeaux hétérozygotes : 50% de leur patrimoine génétique partagé BOUCHARD ET MC GOO (1981) Résultats de 3 études calculant le degré de ressemblance du QI de jumeaux partant du postulat que les jumeaux partagent le même environnement Résultats : montre que les vrais jumeaux ont un taux de corrélation de 85% contre 56% ETUDE SUR DES JUMEAUX HOMOZYGOTES Jumeaux élevés dans le même milieu :

chaque gène. Pour tous les gènes existant sous plusieurs formes alléliques, un individu diploïde donné peut donc posséder soit deux allèles identiques du même gène, soit deux allèles différents du même gène. Dans le premier cas, l’individu est dit homozygote pour ce gène : il ne produit qu’un type de polypeptide sous le contrôle de ce gène. Dans le deuxième cas, l’individu est dit hétérozygote pour ce gène : il produit deux types de polypeptides sous le contrôle de ce gène. Le génotype d’un individu

| | | | - analyse de la migration des produits de PCR de gène MT La longueur du fragment amplifié est d’environ 470pb. Si un individu est homozygote on doit donc obtenir une seule bande à environ 710pb. Si on observe deux bandes à environ 710pb, l’individu est hétérozygote pour ce gène. Si il y a 3 fragments ou plus , il y a eu duplication du gène (ex : transposon) qui ont peuvent subir des

nouvelle, que même si nous sommes entourés de toute les personnes qu’on aime, notre famille, nos amis, nous pouvons souffrir de solitude et cela peut aller très loin, comme dans la nouvelle. Homozygote est le fait d’avoir les même gênes qu’une autre personne. Les « vrais » jumeaux sont homozygote. Acariâtre est le fait d’avoir mauvais caractère, d’être toujours de mauvaise humeur. L’exhibition est une démonstration, présentation. Une

autosomique récessive. Le terme de « récessif » est employé pour un gène qui manifeste son effet lorsqu'il est présent sur les deux chromosomes de la paire (un paternel et un maternel), c'est à dire à l'état B B homozygote. Dans ce cas là, B est récessif. Si la malformation du gène n'est présente que sur un seul chromosome (celui du

Phénotypes : [LG] X [vgeb] F1 : 100% génotypes : (L//vg ; G//eb) Phénotypes : [LG] Les parents sont homozygotes donc ne peuvent transmettre qu’un allèle pour chaque gène. Les individu F1 reçoivent donc pour chacun des deux gènes un allèles de chaque parent. Ils sont hétérozygotes. Ils sont tous à ailes longues et corps gris. Les allèles ailes longues (L)

veut dire qu'ils ont deux allèles différents pour le gène qui permet la fabrication des globules rouges. Un allèle normal et un allèle responsable de la maladie. On dit qu'une personne est homozygote si elle possède deux fois le même allèle pour le gène étudié. Dans le cas de la drépanocytose, il faut être homozygote pour le gène responsable de la maladie pour développer les symptômes. Il faut donc que les deux parents aient transmis l'allèle responsable de la maladie sans être nécessairement malade