Hugo Les Misérables Gavroche

précisément de l’insurrection de juin 1832 contre la monarchie de juillet « Les Misérables », La Révolution de 1848 qui aboutit à la chute de Louis-Philippe « L’Education Sentimentale » et le coup d’état du 2 décembre 1851 par Louis Napoléon Bonaparte « La Fortune des Rougon ». Nous dirons après avoir étudié les trois textes quelles visions du peuple les trois extraits du corpus donnent-ils ? Dans le texte de Victor Hugo, ce dernier choisit de mettre en lumière un personnage précis et non le peuple

Evocation de la défaite, de la mort, costume moderne représenté, domination du hayon, nu misérable. La liberté guidant le peuple. Delacroix offre une allégorie de la liberté, ainsi que la mort au pied de la femme, figure de martyr de cette révolution. Apparition de différente classe sociale avec le costume moderne pour faire appel a l’image militante des castes mélangées pour la liberté. Gavroche de Victor Hugo à gauche de la liberté, incite a penser à l’avenir et renforcé la fecondité.Oeuvre baroque

voit aussi un bataillon d’infanterie, attaqué par les coups de feu venant des fenêtres. Les lignes directrices évoquent une pyramide, très exactement une double pyramide. Les morts constituent la base, le fusil de Delacroix et la position du petit Gavroche composent les 2 côtés. La liberté est située au centre de cette figure géométrique, au point de rencontre de lignes obliques qui attirent le regard sur elle. Le peindre invente le « hors champ », avant la photographie. Le cadrage est serré et coupe

dans La Princesse de Clèves, qui narre la rencontre entre deux jeunes gens de la cour royale, Mme de Clèves et M. de Nemmour ; au milieu petit peuple de Paris dans Les Misérables, de Victor Hugo. L’engagement politique et sociale de se dernier explique son intérêt pour le Peuple, avec Gavroche, Fantine, Cosette ou les Thénardier, Hugo accorde une place nouvelle aux petits gens. Mais l’auteur qui s’est le plus intéressé à cette diversité social est bien entendu Balzac avec sa grande Comédie Humaine

barbe n’est pas bien taillée. Ce garçon est un romantique. Il représente la jeunesse bourgeoise qui réfléchit. Les enfants participent aussi au soulèvement. L’enfant qui brandit deux pistolets a peut-être inspiré le personne de Gavroche dans Les Misérables (1862) de Victor Hugo. Il porte un besace, une casquette, un pantalon de toile. Sa bouche est ouverte et il regarde vers le spectateur. Jambe droite en avant, bras droit en l’air, bras gauche en arrière. Il incarne la jeunesse passionnée par le

voltigeurs de la garde. A droite, devant la Liberté, figure un garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice et du sacrifice pour les nobles causes, il évoque, avec son béret de velours noir d’étudiant, le personnage de Gavroche que l’on découvrira dans Les Misérables trente ans plus tard. La giberne, trop grande, en bandoulière, les pistolets de cavalerie aux mains, il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. Il exhorte au combat les insurgés.

robes de déesses grecques. * LE JEUNE GARCON ARME. Au côté de la Liberté, un enfant d’une dizaine d’années porte deux pistolets. L’artiste n’a rien laissé au hasard : la présence de ce petit garçon qui rappelle beaucoup le Gavroche de Victor Hugo dans les Misérables est également symbolique. * L’ETUDIANT ARME D’UN FUSIL. Derrière la Liberté, un homme coiffé d’un haut chapeau et habillé de manière plus élégante que ses compagnons, tient dans ses mains un fusil. Il peut faire songer à un

révolution française de 1789 et la souveraineté du peuple. A sa droite, se trouve un petit garçon encourageant les insurgés, il représente la jeunesse révoltée et engagée pour les causes justes. Il évoque aussi le personnage de Gavroche dans les misérables, œuvre de Victor Hugo. L’homme au chapeau haut de forme à genoux, à gauche de la liberté, est un personnage dont on ignore l’identité, est-ce un citadin ou un bourgeois on l’ignore, on se demande bien qui Delacroix a voulu représenter, mais son pantalon

progressive de l’écriture hugolienne et parnassienne à laquelle il attachait un certain intérêt. En effet, à ses débuts, Rimbaud exprime sa volonté de reprendre des thèmes couramment utilisés par ses contemporains tels que les Parnassiens et Victor Hugo, probablement afin d’être reconnu par ces derniers et lui permettant ainsi d’accéder à une certaine gloire. C’est ainsi qu’en écrivant le « Bal des pendus », il reprend, pour ne pas dire plagie, « La ballade des Pendus » du parnassien Banville en dénonçant

Conséquences : lois en faveur de l’enseignement au 18e siècle. (Loi ferry, loi Duruy) Victor Hugo, Les Misérables : « Ouvrez une école, vous fermerez une prison ». Finalité politique des Lumières = éducation pour tous. Idéal des Hommes politiques = permettre à tous d’être de bons citoyens, croyance très forte en l’éducation. Objectif politique = éduquer les masses. Victor Hugo (L’année terrible) Il voit un gavroche mettre le feu à une bibliothèque et lui dit que le savoir est « le droit, la vérité