Huis Clos Regard Des Autres

Vipère au poing est un roman largement autobiographique et quelques peu romancé de Hervé Bazin. Le roman est un huis clos où les relations entre les membres de la famille sont au cœur des préoccupations. Les relations entre le jeune héros et sa mère sont complètement centrales. Cette dernière n’aime pas son second fils, il va donc tout faire pour se faire remarquer et l’obliger à le regarder. Il s’insurge contre son milieu, se dresse contre l’autorité de sa mère et fait en sorte de montrer sa valeur

la condamnation de six personnes, alors même que la plupart des charges à leur encontre semblaient s'être effondrées pendant le procès : ceux-là, continuant de clamer leur innocence, ont fait appel du jugement. L'audition des enfants eut lieu à huis clos, ce qui a entrainé les protestations des avocats des accusés et attisé le doute. Le procès en appel [modifier] Le procès en appel des six personnes condamnées en première instance s'est tenu en la Cour d'assises de Paris. Dès les premiers jours

lassitude de Renée : - la rêverie - la réflexion - le problème de Renée - les différences entre Renée et Maxime Deuxième Axe : Un moment d'abandon dangereux : 1) L'heure de la volupté : - le huis-clos ,de la calèche - le confort - l'obscurité - le décor 3) La concrétisation de l'indicible : - l'image de l'indicible - la solution : Maxime - annonce de la suite : • la serre

« L’enfer c’est les autres » Dans la pièce de théâtre de Jean-Paul Sartre qui s’appelle Huis Clos(1994) il fait dire à un de ces personnages, qui se prénomme Garcin : « L’enfer c’est les autres ». Cette parole a atteint plusieurs personnes et beaucoup de gens qui maintenant se posent des questions à propos de cette phrase assez mythique et philosophique. Des questions qui restent sans réponses ni explications mais qu’on va quand même essayer de développer un peu plus bas. Comme le dit si bien

" Puis elle accuse Garcin d'être son bourreau. Garcin trouve cela amusant et révèle que, non, il n'est pas un tortionnaire. Il était journaliste, et maintenant il partage son sort A ce stade, ils sont essentiellement essayer de sentir les uns les autres. Garcin est désireux de se montrer courtois, alors qu'Ines pense qu'ils devraient s'occuper de leurs propres affaires. D'ailleurs, elle dit, elle n'est pas une personne polie.   La porte s'ouvre de nouveau et le garçon fait entrer Estelle Rigault

Huis clos de Jean Paul Sartre Oral sur texte pages 44-47 En quoi « voir » révèle l’enfer ? Voir c’est l’enfer : Voir ce que les autres voit de nous dans le miroir  cela devient une obsession (Estelle : « je me voyais comme les gens me voyaient, ca me tenait éveillée » p.45) Pour Inès, voir Estelle c’est de la torture car cela lui rappelle de Florence, la femme qu’elle aimait et qui elle aussi était blonde. Voir Estelle ca lui rappelle aussi qu’elle ne pourra jamais l’avoir car Estelle

A. Camus, L'étranger, Début du procès. Comment s'exprime le sentiment d'étrangeté que le héros éprouve envers la société ? I- Le jeu des regards entre Meursault et les autres 1- Meursault est le spectateur d'un monde inconnu -verbes d'observation: "regardé"; "scruté"; "distingué" -journaliste: (+âgé), un peu grimaçant, souriant, cordial. contradictions. Meursault est attentif à ces petits détails contradictoires. Signes extérieurs qui sont incohérents. -Meursault est en quête du

permis d’innocenter le juif accusé à tort. III. Les limites de la littérature. 1 La litterature engagée peut ne pas réussir à mobiliser l' opinion exemple: Incompréhension de Huis Clos à sa sortie. On l’a pris pour une pièce misanthrope alors qu’il ne s’agissait pas de haïr les autres mais de se défaire de leur regard. 2 La littérature engagée peut-être anéantie par le pouvoir exemple: autodafé du 10 mai 1933, sous le pouvroi d' Hitler : 20 000 volumes détruits à propos du communisme et de

il y'a l'autre, lequel est liberté. Dans ce sens, Jean-Paul Sartre dit : « Ainsi l'homme qui s'atteint directement par le cogito découvre aussi les autres, et il les découvre comme la condition de son existence. Il se rend compte qu'il ne peut rien être (au sens où on dit qu'on est spirituel, ou qu'on est méchant, ou qu'on est jaloux) sauf si les autres le reconnaissent comme tel.»[footnoteRef:2]. Il paraît, en filigrane, que c'est par l'autre que je puis saisir réellement mon existence

FAUT-il CRAINDRE LE REGARD DES AUTRES ? Dissertation de philosophie qui analyse si l'individu doit fuir les autres de peur de connaître le jugement qu'ils portent sur sa personne. Résumé: Le regard d'autrui par son jugement subjectif ne nous est jamais indifférent. S'il est méprisant, il peut nous détruire, nous introvertir, nous faire perdre confiance en nous, nous tenons à nous préserver psychologiquement. Il peut dans certains cas, ajoutés à d'autres circonstances, engendrer des maladies