Humanisme Et Renaissance Mentalité

la volanté de développement, le progrès industriel, après la grande dépression de 1873 à 1896, dominent. Les maîtres de l’avant-guerre ce sont Anatole France, Maurice Barres, traditionaliste et nationaliste, Charles Maurras, Charles Peguyet son humanisme chrétien, Romain Rolland qui propage l’héroïsme populaire qu’il oppose à la tendance à cette époque, ils jouent une grande importance en philosophie, aussi. Au début du XXe siècle existe la volanté de renouveler le roman pour presenter les impressions

tombé. On peut en conclure que chacun de ces auteurs a largement eu l’occasion d’entrer en contact avec les réalités allemandes de l’Ouest comme de l’Est. L’analyse des romans choisis vise à répondre aux trois questions suivantes: quelles mentalités et quels comportements les auteurs cités reconnaissent-ils aux Berlinois et aux Allemands en général? Comment décrivent-ils la réalité urbaine de Berlin? Et enfin: dans quelle mesure la perception de l’Allemagne est-elle influencée par les expériences

relative désacralisation des savoirs : à côté des savoirs religieux, il existe des savoirs profanes issus de la raison humaine digne de toute estime ⋄ « Pré renaissance » ❖ Les premières universités 1 : Origines  C’est dans ce contexte pré renaissance que naissent les premières universités : - Bologne (+- 1190) - Paris (+- 1200-1215) - Oxford (+- 1214) 2 : Organisation Comment fonctionnent les 1ères universités ?

littéraire et des connaissances précises sur le mouvement auquel appartient l'auteur qu'il lit. S'ajoute à ces deux approches un objectif plus large. L'étude des mouvements littéraires « contribue à la connaissance et à la compréhension de l'histoire des mentalités, des idéologies et des goûts » (Programme officiel, préambule). C'est donc de la connaissance du monde qu'il s'agit. Doit-on remettre en cause l'histoire littéraire ? Nous avons essayé de définir la notion même de mouvement littéraire, mais son

Célestin BOUGLÉsociologue français, [1870-1940]professeur de philosophie sociale à la Faculté de lettresde l'Université de Toulouse(1938)Humanisme, sociologie,philosophie.Remarques sur la Conception françaisede la Culture générale.Un document produit en version numérique par Réjeanne Toussaint, ouvrièrebénévole, Chomedey, Ville Laval, QuébecPage web[->0]. Courriel: rtoussaint@aei.ca[->1]Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales"Site web: http://www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/

Le Moyen Age Le Moyen Age, âge moyen, c’est-à-dire âge intermédiaire. Il est perçu très longtemps de façon négative par les hommes de la Renaissance. Il est considéré comme sombre. C’est une période intermédiaire entre l’Antiquité (considérée comme une période vaste du point de vue culturel) et la Renaissance (retour à l’Antiquité, on parle de deuxième naissance). Alors que le Moyen Age montant a été considéré comme une période sans grande valeur. Cette vision s’est maintenue du 16ème

sociétés se font d'elles-mêmes. Pour une communication orale il faut une proximité géographique cependant cette communication empêche la communication dans le temps.  • Pour traiter de l'histoire de l'écrit, nous aborderons : – L'évolution des mentalités collectives influencé par un mode de vie collectif, une culture … l'écriture nous met en direct relation avec le collectif. – La vie politique notamment ce qui concerne la vie politique et ses connaissances. C'est à dire la manière selon laquelle

Amsterdam va commercer avec les catholiques du monde entier. A partir de 1620, on fonde ou rénove les lieux de culte catholique. ! Ainsi si il existe à Amsterdam une tolérance, c"est due au patriotisme batave, au calvinisme tempéré à l"humanisme issu de la Renaissance et surtout pour favoriser le commerce. Cela explique pourquoi le magistrat d"Amsterdam a une plus grande puissance sur le religieux et en particulier sur les pasteurs qui ne sont que des fonctionnaires rétribués par la ville. C"est pourquoi

française commence à exister réellement à côté d’oeuvres latines. Mais on peut parler d’une littérature médiévale qui serait unique et aurait les mêmes caractéristiques. Entre l’an 1000 et la fin du Moyen Age, soit 500 ans plus tard, la société, les mentalités, les productions littéraires vont beaucoup évoluer. Au Moyen Age, une oeuvre n’est pas le fait du travail d’un auteur unique. Des remaniements successifs, dûs autant aux jongleurs qu’aux copistes ou aux clercs. Ce sont des oeuvres “anonymes”

l’un de ces Blancs résume en sa banalité formelle l’incompréhension fondamentale devant la tragédie : «C’est un épisode (il s’agit de la mise à mort de Lumumba), disons, folklorique, quelque chose comme une manifestation de la résurgence de cette mentalité bantoue, laquelle, périodiquement, vient faire craquer chez les meilleurs d’entre eux le trop frêle vernis de la civilisation». C’est plutôt une tragédie, le héros étant soumis à une fatalité intérieure, à un destin inéluctable qui sont annoncés