Humanisme Religieux Renaissance Philosophique

sciences), mais elles sont plutôt de l’ordre de l’absolu et de la valeur ; là où la vérité se cherche et se montre (plutôt qu’elle ne se démontre). Si nous la discernons, la vérité satisfait notre esprit par sa lumière et sa beauté. Cette vérité philosophique est l’objet d’une démarche libre, mais on ne peut déclarer soi-même ce qui est juste, bon ou vrai ! Cela ne dépend pas de notre volonté. Philosopher, c’est rechercher ce juste, ce beau, ce vrai en partant en voyage, à l’aventure, en prenant des

s’entraîner à répondre aux questions • Deux groupements de texte sur corpus ; • Une lecture cursive : Zadig • revoir la méthodologie de la lecture de Voltaire analytique. Introduction A. Deux notions clés : altérité et modernité B. Un parcours de la Renaissance au XXe siècle C. Méthode Chapitre 1 Découverte d’un continent et découverte de l’Autre A. La découverte de l’Autre, un événement fondateur dans l’histoire de la pensée occidentale B. Étude d’un corpus : Comment est perçu le Nouveau Monde lors

se décline en 3 temps : * Il élabore d’abord une morphologie sociale, càd la base géographique des peuples (rapport homme-femme, rapport classes sociales…) * Physiologie sociale ensuite, qui traite des différents aspects de la société (religieux, politique, économique, juridique, sociale, esthétique…) * Enfin, la sociologie générale, qui tire les lois du fonctionnement de la société à partir de ce qu’il a pu observer auparant ; il élabore donc une typologie de la société Cette typologie

fin de l’empire romain d’Orient  Les Ottomans deviennent la plus grande puissance d’Europe et du ProcheOrient.  La fuite des scientifiques et artistes byzantins en Italie entraîne un nouvel apport de connaissances qui sera à la base de la Renaissance.  « Découverte » de l’Amérique (1492)  L’océan n’est plus considéré comme une frontière mais comme une voie de commerce, de communication.  L’histoire européenne devient une histoire mondiale.  L’histoire du monde racontée par la Bible

du terme "siecle des Lumieres" qui designe generalement le 18e siecle. Troas aspects structurent le theme : L'origine et la semantique du terme "lumiere(s)"; sa valeur metaphorologique; finalement, 1'autodeflnition du 18e siecle et ses concepts philosophiques de 1'histoire. DESCRIPTEURS : Recherche bibliographique ; Synthese bibliographique ; Sciences humaines ; Siecle 18eme ; Lumiere ; M6taphore ; S6mantique ; Philosophie ; ffistoire ; Concept (soi). ABSTRACT: The present study consists of a bibliographic

précisément, elle porte sur la question de l’altérité : les textes étudiés nous permettront de comprendre comment, en dessinant sa modernité, l’homme européen considère autrui, celui qu’il rencontre notamment en découvrant le Nouveau Monde, à la Renaissance, et comment ce regard sur l’autre évolue. Et nous verrons enfin que, par cette évolution, l’homme parvient à se redéfinir. Ainsi, en confrontant deux notions, altérité et modernité, nous pourrons voir se dessiner un homme nouveau. Définissons

peut être associé à l'idée que seules les connaissances scientifiquement établies sont vraies. Il peut aussi renvoyer à un certain excès de confiance en la science qui se transformerait en dogme. Le courant zététique, qui s'inspire du scepticisme philosophique, essaye d'appréhender efficacement la réalité par le biais d'enquêtes et d'expériences s'appuyant sur la méthode scientifique et a pour objectif de contribuer à la formation chez chaque individu d'une capacité d'appropriation critique du savoir

en quelque sorte le chrétien parfait avec le peuple font de Pascal un penseur altruiste. Amour propre : Pour Pascal, « le moi est haïssable », c’est ce qui justifie sa distance à l’égard de Montaigne qui avait donné à l’expression de ses idées philosophiques une forme autobiographique. Toutefois, Pascal reconnait qu’il est nécessaire de bien se connaitre soi-même pour régler sa vie et ses actions ; mais il s’en prend principalement à l’amour propre lorsque celui-ci est inculqué aux enfants pendant

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Les choix des auteurs 1. Humanisme et Renaissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 CARTE SITUATION SITUATION SITUATION en + SITUATION COURS 1 COURS 2 ENTRAÎNEMENT MÉTHODE • L’Europe de l’humanisme et de la Renaissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .13 • Érasme et l’Europe. . . . . . . . . . . . . . . . .

ne sait pas pourquoi car les artistes étaient tout à fait capables d’effectuer des dessins de belle qualité ; y avait-il un interdit ?) ; ou ils semblent être dissimulés sous une peau animale, tels des « sorcier » _ reflet d’un pouvoir, social ou religieux ? Volonté de communiquer avec le monde animal vu comme supérieur ? L’homme, à travers les représentations, est très nettement inférieur par rapport aux bêtes, sur un plan qualitatif et quantitatif. Ce n’est pas une civilisation où l’homme domine