Humanité Et Animalité

Le chinois dans l'Amant, est aussi occidentalisé, il porte le costume, a fait ses études à Paris, il n'a plus l'attitude d'un chinois tel qu'il serait au sein de son pays. Nous pouvons distinguer également une frontière évidente entre humanité et animalité, dans Deux frères, ou encore L'ours, 1988, l'homme vient arracher l'animal à son milieu naturel. Consciemment ou non, il le désanimalise. Dans Deux frères, Sangha se retrouve dans la chambre d'un enfant (Raoul) et devient un jouet, au service

culturel. La nature, désignant notre nudité originelle et ce qui est biologiquement acquis et inné pour les hommes dès la naissance, est souvent opposée à la culture qui, par l’éducation, nous conduit vers notre humanité, qui nous donne les connaissances nécessaires pour toute humanité. Merleau-Ponty nous invite à dépasser cette idée d’opposer ces deux notions qui sont en réalité mélangées. Il veut que nous prenions conscience que rien n’est que culturel comme rien n’est que naturel et que ce que

personnage principal : le Loup présentation ironique et moqueuse : antithése Loup et humanité, la parenthése nous impose d'avoir de l'imagination = caractére fabuleux: c'est une histoire qui sera racontée => personnification du Loup : on place une âme humaine dans le corps d'un animal qui a toutes les facultés humaines caractére principal du Loup : la cruauté amorce de réponse pk il est cruel par necessité rimes humanité/cruauté d'une part le théme de la fable : qui est humain qui est cruel => le Loup

CULTURE ET HUMANITE Grandes Notions Abordées: - Culture - Liberté - Autrui Intro: *Cultures - Savoir/Connaissance (ex: art, histoire) - Moeurs= cuisine/repas, manière de vivre, langues, savoir-vivre (croyances, valeurs) *Culture ≠ Nature En se cultivant, on dépasse notre nature (phénomène propre à l'homme) --> langage, notion d'interdit et d'éducation, donc acquis, transmission de savoir I- Les sens du mot Culture: Universalité et Particularité 1) Sens 1 La culture

le résultat de l'absence de contact avec les hommes. Il va lui apprendre le quotidien d'une vie d'enfant civilisé et le faire émerger de sa primitive animalité en lui enseignant ce qu'est le langage. Difficiles épreuves mais l'enfant sauvage articule quelques sons qui ont pour lui un sens. Victor devient son nom. Il acquiert peu à peu une humanité touchante. Victor contemple la nature près des fenêtres où il se tient lors de ses leçons. Transition entre l'enfermement et le dehors et aussi tentation

travers les rimes suivies . La rime dit l’écho , il fait des échos . Très nombreuses prises de paroles , elle est dite avec plusieurs voix . Polyphonique = signe d’humanité . La fontaine célébre la vie et l’humanité . Animalité = caractère grégaire contrairement a humanité = plusieurs voix . 2) La discours et la fable du cerf . Vers 40 : rejet = mise en valeur de « est passé » . Le roi a respecté l’exorde ainsi que le cerfs , exordes car les 2 entrées des répondent en échos , deux rejets

le résultat de l'absence de contact avec les hommes. Il va lui apprendre le quotidien d'une vie d'enfant civilisé et le faire émerger de sa primitive animalité en lui enseignant ce qu'est le langage. Difficiles épreuves mais l'enfant sauvage articule quelques sons qui ont pour lui un sens. Victor devient son nom. Il acquiert peu à peu une humanité touchante. Victor contemple la nature près des fenêtres où il se tient lors de ses leçons. Transition entre l'enfermement et le dehors et aussi tentation

d’accomplir notre véritable humanité. L’homme est à l’origine de la culture, il en est l’auteur, mais cette culture elle-même devrait être achevée pour qu’il puisse accomplir son humanité. Elle est l’ensemble des usages, coutumes, manifestations artistiques, religieuses, intellectuelles qui définissent et distinguent les sociétés. En somme l’homme est humain mais il pourrait l’être d’avantage. Ainsi cela tend à dire qu’en s’efforçant, il ne tient qu’à l’homme d’accomplir son humanité. L’humanité de l’homme

l'homme naît sans n'avoir aucune conscience de lui-même, il n'écoute que ses besoins primtifs, comme boire ou manger. On comprend donc pourquoi le philosophe pose cette affirmation : l'homme ne naît pas homme, il le devient en niant son animalité. Son humanité n'est pas innée. Mais pourquoi l'homme n'accepte t-il pas cette part de lui-même ? Georges Bataille dit que l'homme n'accepte pas le donné naturel car celui-ci fait tout pour s'en éloigner. Tout d'abord, par l'éducation. « L'homme, est la

dégringolade du travail au rang de simples moyens d'une nécessité biologique. C'est dire que la véritable nature du travail, l'opération du travailleur, ce par quoi il se prolongeait à l'extérieur de lui même dans un produit qui devenait témoin de son humanité en portant la trace de ses efforts et de son ingéniosité, est niée tout le temps qu'il travaille. Restent alors les forces d'un organisme animal pour qui le travail n'est plus qu'un moyen d'obtenir de quoi se réparer et donc compenser l'énergie